Discontinuité de Lehmann

la dette souveraine Grecque ou Portugaise) décidés en pleine récession économique et dont la conséquence immédiate est d’aggraver encore une crise que par ailleurs elles n'ont pas été nécessairement capables de prévoir (rôle procyclique). _ La discontinuité des notations, alors que ces mêmes notes influencent des cotations continues, engendrant de facto de brusques variations de cours.  Exemples : _ En 2001, Standard & Poor’s et Moody’s notent la société Enron en catégorie « investissement »

superficielle du globe terrestre. TP4 : Les discontinuités du globe 2. La zone d’ombre Lors d’un séisme, les ondes P ne sont pas reçues aux stations situés entre 11500 et 14500 km de l’épicentre. On parle de zone d’ombre. Cette zone d’ombre est encore plus grande pour les ondes S car elles ne sont pas enregistrées au-delà de 11500 km. 4 La vitesse diminue La vitesse augmente Cette zone d’ombre s’explique par la présence en profondeur d’une importante discontinuité séparant de milieux de nature différente

d’une discontinuité de vitesse séparant la croûte terrestre du manteau (discontinuité maintenant appelée « le Moho ») - la présence d’une « zone d’ombre » (absence d’arrivée d’ondes sismiques à une distance comprise entre 105° et 142° d’un séisme) a révélé la présence d’une autre discontinuité, dite de Gutenberg du nom de son découvreur. Cette discontinuité, en dessous de laquelle la vitesse des ondes sismiques chute, sépare le manteau du noyau. - une troisième discontinuité majeure

liquide conventionnel et celles d'un solide cristallisé. On exprime son état par le terme de mésophase (La mésophase est une phase propre aux cristaux liquides qui est un intermédiaire entre la phase liquide et la phase...). Historique En 1877, Otto Lehmann utilisant le tout récent microscope à lumière (La lumière désigne les ondes électromagnétiques visibles par l'œil humain, c'est-à-dire comprises dans des...) polarisée constata que certaines substances passaient par un état intermédiaire, optiquement

naturelles. Elle répond au « principe d’économie linguistique : un même signe servant à plusieurs usages. La langue est apte alors à exprimer avec un nombre limité d’éléments une infinité de contenus inédits (ex : souris en micro-informatique) (Lehmann) 2) L’homonymie  a) Pourquoi y-a-t-il homonymie ? L’homonymie procède de l’évolution sémantique (voler) mais aussi de l’évolution phonétique : en français, importante érosion phonétique qui s’est produite du latin au français qui a créé

des ondes de cisaillement déplaçant les particules perpendiculairement à la direction de propagation de l'onde. Ex : on agite une corde accrochée au mur. - Les ondes de surface L: Lorsque les ondes de volume se réfléchissent sur des surfaces de discontinuités (et notamment sur la surface du globe), elles interfèrent et g énèrent des ondes de surface (ondes longues = L), canalisées le long de la surface où elles concentrent le maximum d'énergie. -se propagent à la manière de grandes vagues faisant onduler

où les clients mécontents viennent déposer leurs réclamations. Sa fonction est de subir les accusations de son chef de service, Lehmann, comme s’il était le seul et unique coupable de tous les maux subis par la clientèle. Le jeu agressif de Lehmann est tel que les clients, compatissants, s’adoucissent et finissent par retirer leurs plaintes. Dans l’épisode proposé, Lehmann l’accuse d’être responsable de « l’incinération » d’un repas complet de réveillon dans un frigo défectueux et l’ampleur des menaces

de données de sismogrammes du réseau ASTER. - Visualisation des rais sismiques à l’intérieur du globe, leur réfraction lors des changements de milieu et la zone d’ombre : logiciel de simulation « ondes P » de J-P. Madre. - Identification de discontinuités en utilisant des enregistrements sismiques. Estimation de la profondeur du  « Moho » à l’aide du logiciel Sismolog + utilisation du tableur EXCEL (Problème posé à partir de l’analyse de sismogrammes et de l’interprétation du retard des ondes

compte pour moins de 2% en volume et qui est solide. Deux discontinuités importantes séparent croûte, manteau et noyau: la discontinuité de Mohorovicic (MOHO) qui marque un contraste de densité entre la croûte terrestre et le manteau, et la discontinuité de Gutenberg qui marque aussi un contraste important de densité entre le manteau et le noyau. Une troisième discontinuité sépare noyau interne et noyau externe, la discontinuité de Lehmann. La couche plastique du manteau supérieur est appelée

compte pour moins de 2% en volume et qui est solide. Deux discontinuités importantes séparent croûte, manteau et noyau: la discontinuité de Mohorovicic (MOHO) qui marque un contraste de densité entre la croûte terrestre et le manteau, et la discontinuité de Gutenberg qui marque aussi un contraste important de densité entre le manteau et le noyau. Une troisième discontinuité sépare noyau interne et noyau externe, la discontinuité de Lehmann. La couche plastique du manteau supérieur est appelée