Dolores Ibarruri

No Need To Argue ( traduction française : pas besoin de faire valoir) en 1994. Cette chanson évoque le conflit nord-Irlandais, elle contient des riff de guitare aux sonorités inhabituelles pour le groupe. Cette chanson est composée et écrite par Dolores O'Riordan et produite par Stephen Street, et l'album sorti en septembre 1994 donne au groupe ses notes de noblesse et sa popularité mondiale. Présentation du groupe Se chargeant des percussions et de la batterie Feargal Lawler né le 25 décembre

avant le début du siècle dernier à Gallarta, ville de la province basque de Biscaye, Dolores Ibarruri, dès son plus jeune âge, rêve de devenir institutrice. Dans la petite école située au-dessus de la prison, elle dévore les livres que lui prête son institutrice, Antonia Izar. « Comment penses-tu pouvoir devenir institutrice alors que tes frères sont ouvriers ? » lui répète sa mère. Misère et ignorance. Dolores ne dépasse pas le cours préparatoire à l'école normale. Elle abandonne les cahiers pour

central du PCE en 1954 puis au Comité exécutif (Bureau politique) en 1956. Il effectue aussi plusieurs missions dans les pays de l'Est, en particulier auprès de Dolores Ibárruri, Secrétaire général du parti : en janvier 1956, à Bucarest ; et de nouveau en 1959, à Ouspenskoie (URSS), avec Santiago Carrillo : c'est à ce moment que Dolores Ibárruri annonce à ses visiteurs sa démission du poste de Secrétaire général. En 1962, Santiago Carrillo, devenu Secrétaire général, décide de le retirer du travail

eux l’Espagne devient un camp d’entraînement dans la perspective de la guerre mondiale. Hitler envoie la légion Condor, escadrille qui expérimentera le bombardement massif sur les villes ( Guernica ). A Madrid, c’est une femme, une communiste, Dolorès Ibarruri dite "La Pasionaria" qui s’adresse à la radio au peuple espagnol, elle lance : "No Pasaran".

Il fut fusillé à Grenade par des Franquistes et son corps jeté dans une fosse commune. Le régime de Franco décida l'interdiction totale de ses uvres jusqu'en 1953.   Affiche républicaine. Fait allusion à un discours à la radio, de Dolores Ibarruri, dite « la Pasionaria . Elle s’y adresse au peuple espagnol, en disant : « No pasaran » (« Ils ne passeront pas ! »), en parlant des Nationalistes. Que s’est-il passé à Guernica ?  Guernica est une petite ville de 7000 habitants, du Pays

appui massif. Le parti socialiste, puissant, s'appuie sur la non moins puissante Unión general de trabajadores (UGT) [Union générale des travailleurs]. Le parti communiste, de moindre importance, s'exprime aux Cortes, le Parlement, par la voix de Dolorès Ibarruri, « la Pasionaria », et bénéficie, avant et pendant la guerre, du prestige grandissant de l'URSS. Les élections de février 1936 Un nouveau parti fasciste, la Phalange, fondé par José Antonio Primo de Rivera, fils du dictateur déchu, se développe

opinion sur le papier (rôle) de cette personne -tous sont personnages compromis Clara Campoamor fut une très grande femme politique qui lutta afin que les femmes obtiennent un droit de vote. Avec Victoria Kent, Clara Campoamor, María Lejarraga, Dolores Ibárruri, Veneranda Manzano, Federica Montseny Mañé, Margarita Nelken, Matilde de la Torre, Francisca Bohigas... font suite à la liste non exhaustive; elles figurent parmi les premières femmes députées ou participant à un gouvernement espagnol dont les

insatisfaction en demeurant visiblement assis lors de l'acclamation honorant Manouilsky. Pieck prononce un discours afin de saluer les congressistes. Successivement à cela, a lieu diverses salutations réalisées par des délégués eux-mêmes, dont l'Espagnole Dolorès Ibarruri achevant son allocution par un hommage particulièrement élogieux à Staline. Enfin Ercoli (Palmiro Togliatti) énonce un salut du congrès "au camarade Staline, le Chef, le Maître et l'Ami du prolétariat et des opprimés du monde entier". Ce genre

Largo Caballero, le « Lénine espagnol » est très populaire, mais il est évincé par les communistes : les luttes et déchirements internes au sein des républicains contribuent à diminuer le prestige des héros potentiels. On peut cependant citer Dolores Ibarruri, la Pasionara qui reste une héroïne pour les communistes essentiellement : très enthousiasmée par la révolution russe, elle s’engage politiquement. Elle est repérée en 1934 par Staline alors qu’elle assiste à un Congrès du parti communiste comme

généraux José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole, Émilio Mola et Francisco Franco organisent un soulèvement militaire nationaliste et le putsch qui rallie plusieurs régions d'Espagne et marque le début de la guerre civile. Dolores Ibárruri, plus connue sous le nom de La Pasonaria, se dresse pour défendre la république avec le célèbre slogan ¡No pasarán! (« Ils ne passeront pas »), lancé du balcon du ministère de l'Intérieur au moment de l'offensive franquiste contre Madrid. Le