Du Contrat Social

par la force. Il y a donc la théorie du contrat social qui garantit une convention, et la légitimité du droit et du pouvoir politique par la reconnaissance de celui-ci par la souveraineté populaire. Le droit du citoyen a d'abord été une règle de proportion juste qui mesure le rapport des échanges. Aristote montre ainsi que le droit est dans les choses, il suppose une rétribution, un équilibre, une répartition juste entre des biens, des honneurs sociaux, entre un délit et sa sanction pénale

pensée classique, on insiste essentiellement sur l’idée de communauté ou de cité. La notion d’Etat n’est pas conceptualisée en tant que telle. C’est une notion récente qui se développe à partir du XVIIème siècle. Pour la pensée classique, le lien social ou communautaire entre les hommes est une évidence. On parle de sociabilité naturelle. L’homme est un être non autarcique. On ne conçoit pas que l’individu puisse vivre isolément et de manière indépendante. Les hommes ont besoin les uns des autres

pouvoir est le résultat d'un contrat entre les hommes sans origine divine. Cette philosophie s'impose a partir du XVIIIeme siècle. C'est un contrat, mais il peut être différent selon les auteurs. Il y a les monarchomaques, pour qui le contrat est un contrat entre les hommes et le roi. Le peuple s'engage a obéir au monarque et en contrepartie le monarque s'engage a respecter des règles. Si le roi ne respecte pas les règles qu'il s'est engagé a respecter son contrat, il le destitue ou l'exécute.

Turgot, conseiller du roi. Les éco classique revendiquent des grandes lois. Les lois sociales et naturelle découvertes (naturelle et physique), entraine l'intérêt dynamique des économies sur l'évolution de la société. Les classique sont attiré par l'évolution et mettent l'accent sur l'interdépendance. Tout est liée (c'est le cas dans les lois naturelles). Cette science qu'on essaye d'intégré dans le corps social n'est pas encore mathématique. Il y a aussi la valeur dans la conception classique. La

contraintes. Dans ce contexte, la liberté se définit comme indépendance et comme la possibilité de suivre son bon plaisir sans être gêné ou entravé par autrui. La liberté serait alors une lutte contre tout ce qui la restreint : l’Etat, les règles sociales etc.. Dans ce sens, la loi apparaît comme une contrainte à la liberté naturelle de l’homme et à la fantaise de son désir. L’absence de loi, et donc de contraintes, serait donc le pré-requis à la liberté totale de l’individu. On peut voir ici la théorie

animal social ? : 3) La justice et le droit : B) Le droit nous rend libre. 1) La liberté politique : II) Le droit peut en même temps réduire la liberté d’une civilisation. A) Obéir est-ce renoncer à sa liberté ? 1) L’obéissance est un renoncement libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat : répression de la liberté ou au contraire garant ? 1) Etat et pouvoir : 2) Le contrat social : C) Le devoir peut être une contrainte sociale ou une

première vue, la liberté ainsi définie s'oppose à la loi, car la loi constitue bien une entrave extérieure à l'action individuelle. Les lois humaines seraient donc des entraves à la liberté, et nous serions plus libres à l'état de nature qu'à l'état social. La liberté culminerait dans l'anarchie. Le slogan des anarchistes est d'ailleurs : « La liberté ou la mort ! » B. Les lois sont la condition de la liberté collective Mais si la loi m'interdit de nuire à autrui (et limite ainsi ma liberté), elle

Définition générale des libertés fondamentales -a°) une définition qui diffère en fonction des différentes idéologies et époques…………………………………………….7 -b°) le contrat social………………………………………………..12 B°) Aperçu des libertés fondamentales sur le plan juridiques -a) sur le plan juridique marocain…………………………16 -b) sur le plan juridique français……………………………19 -c)sur le plan juridique anglo-saxon………………………21 II°)Les

individu s’arrête là où commence celle des autres ». L’individu doit se gouverner lui-même. L’Etat est producteur de la séparation de la population en classes, ce qui est contre l’idée de liberté, comme le suggère Marx. On parle alors de marginalisation sociale. L’Etat brime les libertés individuelles au nom de ses propres intérêts, des buts qu’il vise, du pouvoir qu’il cherche à conserver. Toute institution qui entend dominer au nom d’un quelconque ordre supérieur est mauvaise, car elle entrave la volonté

ensuite d'analyser les dysfonctionnement du régime démocratique. I- La démocratie, un espoir pour le peuple A) L'idée de souveraineté pour les citoyens • A l'époque révolutionnaire , la souveraineté populaire a été théorisé par Rousseau ( du contrat social, 1762 ). Selon lui, la souveraineté réside dans le peuple. Elle est indivisible, inaliénable, infaillible et absolu. Sa théorie démocratique implique plusieurs choses : ◦ Démocratie directe ou semi-directe doit être la règle. ◦ Instauration suffrage