Edmund Husserl

musique s'inspire toujours d'un « matériau sonore » pouvant regrouper l’ensemble des sons perceptibles, pour construire ce « matériau musical ». À ce titre elle a, dans les années récentes, été étudiée comme une science[1],[2]. La phénoménologie de Husserl, réfutait ces points de vue. L'ouïe, qui est le plus adapté de nos sens pour la connaissance des sentiments est, a contrario, le moins apte à la connaissance objective qui fonde la science. La musique est donc un concept dont la signification est

connaissance, celle de mon existence et celle de ma nature. La conscience est intentionnalité : considérant les actes de la conscience tel que une perception un souvenir une émotion. Elle est toujours en action. Façon de viser l'extérieur. Husserl : «  Toute conscience est conscience de qqchose » La possession de cette faculté de représentation qu'est la conscience donne à l'homme une double existence. 1 : en tant que corps, il est chose parmi les choses; déterminé une fois pour toute.

ne manque-t-il pas la nature même de la conscience, comme ouverture sur le monde et sur soi ? C'est ce que Husserl essaie de montrer : loin d'être une chose ou une substance, la conscience est une activité de projection vers les choses. Elle est toujours au-delà d'elle-même, qu'elle se projette vers le monde, ses souvenirs ou l'avenir, à chaque fois dans une relation ou visée que Husserl nomme « intentionnelle » . 4. Qu'est-ce que l'intentionnalité de la conscience ? Que la conscience ne

de l’action morale le je dépasse ses particularités empiriques pour rejoindre l’universalité des sujets moraux, il ne peux se penser comme seul sujet face à un monde d’objets.     Dans la cinquième médiation Des Méditations cartésiennes, Husserl opère une seconde réduction phénoménologique. Par une première réduction phénoménologique il met le monde entre parenthèse, la seconde réduction opérer à partir de première permet d’élucider l’expérience d’autrui. A l’intérieur de ce même réduction

encore. L’oubli marquerait la disparition de la conscience. Mais ma lecture, appuyée sur le passé, court vers la proposition suivante, s’oriente vers le futur, anticipe, sous peine de s’arrêter. c- Toute conscience est conscience de quelque chose (Husserl) contre laquelle elle bute, qui l’arrête pour ainsi dire. -La conscience est donc un acte de relation producteur d'un modèle personnel (a+b) du monde, ensemble de significations données par les projets propres à un sujet.

essence (exemple : l'être de l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu, l'être parfait, Dieu. Je suis ce que je pense et je pense  ce que je suis. En tant qu'homme, je suis un être pensant. Toute conscience étant intentionnalité (Husserl), rien de ce que je suis ne m'échappe. Mais, ce que je suis est une chose. La conscience que j'ai de moi-même en est une autre. La preuve en est qu'autrui est capable de me révêler des traits inconnus de ma personnalité. De plus, nombre de mécanismes inconscients

passe par le langage, à travers la liberté de pensée qui se manifeste par une simple conversation entre deux sujets et celui de Kant qui disait que le simple fait de dire « je » est le signe d’une prise de conscience incontestable. Cependant pour Husserl, la prise en conscience ne passe pas forcément par le langage, il affirme que l’on peut reconnaitre autrui avant même de pouvoir entrer en conversation avec lui par empathie. Il généralise son idée en disant que le sujet n’existe qu’en s’opposant

mesure où il n’est pas vraiment une connaissance explicite et claire. SUIS-JE CE QUE J'AI CONSCIENCE D'ÊTRE ? Je suis ce que je pense et je pense  ce que je suis. En tant qu'homme, je suis un être pensant. Toute conscience étant intentionnalité (Husserl), rien de ce que je suis ne m'échappe. Mais, ce que je suis est une chose. La conscience que j'ai de moi-même en est une autre. La preuve en est qu'autrui est capable de me révêler des traits inconnus de ma personnalité. De plus, nombre de mécanismes

tout seul puis-je avoir conscience d’exister ? - Husserl va montrer que la conscience n’est pas une substance, mais une ouverture à l’altérité : je n’ai pas d’abord conscience de moi, puis d’autrui et du monde, parce que ma conscience est d’emblée rapport au monde et à autrui. En quoi la visée d’autrui est-elle spécifique ? - a même la perception, je distingue moi, les autres choses que moi, et autrui, c'est-à-dire l’autre que moi. Husserl nous montre donc que cette distinction qui nous semble

l’Homme dès sa naissance connait la notion de vivre en groupe. L’être humain finira donc par penser qu’être aidé par les autres serait une facilité. Ces autres pourraient réussir à satisfaire ses désirs sans qu’il ait à faire de très gros efforts. Husserl pense que vivre solitairement enlève à l’être humain toutes formes de réalités objectives. Pour lui, la vie se vit socialement et malgré les comportements parfois incompréhensibles des autres, il est possible que les pensées d’une personne puissent