Effets spéciaux

caméra objective. 6) Les effets spéciaux Vers la fin des années 70, le début des années 80, les effets électroniques apparaissent au cinéma (table de trucage, mosaïque, colorisation….). Dans les années 90, l’ordinateur fait son entrée dans le monde de l’audiovisuel. Ce sont les effets invisibles (on efface les antennes TV), les effets qui se voient beaucoup, les effets qui font le design audiovisuel pour créer une identité graphique et sonore. o Les effets sur les couleurs : utilisation

(Europe/France). 1950 : Vers 1950, le cinéma en trois dimensions (3D) est introduit. 1970 : Premier film avec le procédé Imax. 1978 : Introduction du système de son Dolby. C'est un système de réduction du bruit de fond. Vocabulaire du cinéma ACCÉLÉRÉ : Effet obtenu en projetant à vitesse normale (24 images/seconde) des images prises à vitesses inférieures. (Contraire : Ralenti) ACCESSOIRISTE : Technicien chargé des accessoires du décor. AMBIANCE : (son) Bruits produits par les éléments naturels (le vent

souvent la présence d’un revenant ou d’un monstre et plus que fréquemment celle de la magie dans les films récents, ces sujets étant plus populaires auprès des spectateurs ces derniers ayant un penchant pour les films qui pourraient leur faire peur. En effet les êtres surnaturels semblent être appréciés, le fait étant que depuis le début du cinéma fantastique, ils sont présents dans la plupart des films, comme les nombreuses suites inventées à l’histoire du monstre de Frankenstein, telles que « la fiancée

l'existence. » Voir un film ou une pièce est considéré comme un loisir culturel ou alors comme un simple divertissement. Un film ou une pièce de théâtre doit aussi respecter le scénario à la lettre : celui écrit par le réalisateur ou le dramaturge. En effet un film ou une pièce sans aucune histoire est très rare et souvent méconnu. Les acteurs ou comédiens jouent un rôle sur scène, ainsi ils ne sont pas vraiment eux même mais incarnent le personnage du scénario. Le Cinéma et le Théâtre sont aussi des

(Les 1er films de SF sont ceux du français Georges Méliès dont le Voyage dans la Lune (1962). Le tournage, à Berlin eut un budget de plus de 5 millions de reichsmarks, ce qui en fait le film le plus couteux du cinéma muet allemand. Les effets spéciaux fascinèrent également (dont le fameux procédé à miroirs Schüfftan qui permettait de mettre sur un même plan des maquettes miniatures et des personnages réels). A sa sortie Métropolis fut un échec (il ne resta qu’une semaine à l’affiche en

éléments empruntés au conte. Georges Méliès exploite des thématiques présentes dans les contes pour développer au sein de ses films un imaginaire propre au conte. Des courts métrages tels que Mélomane développe cette idée en faisant appel à des effets « spéciaux » pour créer un univers fictif. Dotant plus que dès les débuts du 7 éme art, Méliès adapte Cendrillon puis Barbe Bleue ce qui renforce l’idée selon laquelle le conte est d’actualité. L’engouement pour l’adaptation d’un conte au cinéma est dotant

cinéma est l’outil de dénonciation et d’illustration de la vérité et de la violence, alors que cette même violence du cinéma, moins brutale que celle du monde qui nous entoure, a été inspirée de la vie réelle. Premièrement, dans le monde réel, les effets spéciaux ou les ‘’super- héros’’ n’existent pas donc on peut dire que la plupart des films sont irréels. Par exemple, dans le nouveau film 2012 qui décrit la fin du monde, le personnage principal survit aux tremblements de terre alors que tout le monde

Le montage cut : les plans se succèdent sans effet d'enchaînement.   Le montage alterné : deux actions sont filmées en alternance, en montrant tantôt l'une, tantôt l'autre action. En alternant avec des plans courts, on crée un suspense. Exemple : une voiture roule à vive allure sur une route secondaire, venant de la direction opposée un motard roule sur l'axe médian. Le montage associatif : juxtaposition de scènes, au demeurant sans rapport, qui déclenchent chez l'observateur, des associations d'idées

Burton. Scénaristes : Michael McDowell, Warren Skaaren, Lary Wilson, Tim Burton. Producteurs : Michael Bender, Lary Wilson, Richard Hashimoto. Montage : Jane Kurson. Acteurs principaux : Michael Keaton, Alec Baldwin, Geena Davis, Winona Ryder. Effets spéciaux : Peter Kuran. Musique : Danny Elfman. En 1988, la Warner Bros demande à Tim Burton de réaliser Beetlejuice après le grand succès et les excellentes critiques qu’il a connu avec son premier long métrage, Pee-Wee Big Adventure. Bénéficiant d’un

livre. Grace à la recherche, l’inspiration du réalisateur, le jeu des acteurs,… le cinéma peut être considérer comme un art. Un art en mouvement. De plus les nouvelles technologies progressent énormément en qualité d’image et de son. Avec les effets spéciaux, le numérique, dernièrement le 3D qui s’invite sur nos écran de cinéma et toutes autres nouvelles technologies cinématographique certains films sont magnifiques à regarder comme Avatar par exemple. Dans la définition de l’art nous retrouvons