Empirisme logique

connaissance). On peut distinguer trois grandes objections épistémologiques à la démontrabilité de l’existence de Dieu. a) Le principe vérificationniste   La première nous vient d’une école de pensée appelée « positivisme logique »  (également appelé empirisme logique, néo-positivisme, ou empirisme rationnel), et plus précisément du « vérificationnisme ». Le postulat de base de cette philosophie est le suivant: pour avoir du sens, une proposition doit pouvoir être vérifiée de manière empirique. La proposition

verrons par la suite que ces conflits ont eus beaucoup d’influence sur la principale thèse que Quine exposera. Le naturalisme fait partie de la philosophie de notre protagoniste mais ne suffit pas tout seul. Il faut également y attacher un profond empirisme que tiens à cœur Quine. Sa principale tâche sera de défaire l’empirisme de ces dogmes pour mieux le reconstruire et le mettre au centre de sa philosophie et c’est notamment en cela que Quine reste dans les mémoires. Pour comprendre la suite, il

CONSTRUCTIVISTE INTERACTIONNISTE (voir constructivisme) D DOMAINES DE VERBALISATION DANS L’ENTRETIEN D’EXPLICITATION (voir entretien d’explicitation / verbalisation de l’activité ou de l’action vécue) E EMPIRISME EMPIRISME ANGLAIS (voir empirisme) EMPIRISME LOGIQUE (voir empirisme) ENSEIGNEMENT STRATÉGIQUE (voir cognitivisme) ENSEIGNEMENT COOPÉRATIF (voir Collaboration / travail collaboratif) ENTRETIEN D’EXPLICITATION / VERBALISATION DE L’ACTIVITE OU DE L’ACTION VECUE F FONCTIONALISME

humain de John Locke (1690): (+ point sur Leibniz) Rupture. Opposé à toute forme de pensée dogmatique, mais ne se satisfaisant pas du scepticisme, Locke impose un style « pratique » qui domine encore aujourd'hui la philosophie anglo-saxonne. Empirisme et science des signes : L’observation et l'expérimentation. Tout un travail critique lui paraît nécessaire pour dégager la nouvelle science de conceptions inopérantes et d'obstacles liés à l'emploi de la langue commune. « Des idées innées » L.I:

-Démarche de Kant ne se définit as par une critique des ouvrages et concepts (« systèmes ») mais par une critique du pouvoir détenu par la raison. En effet, la raison détient un pouvoir vis à vis de diverses connaissances qui ne requiert aucun empirisme. Ce pouvoir consiste en la décision suprême de la « possibilité ou impossibilité de la métaphysique en général », et en la décision des frontières et espaces à délimiter ainsi que des sources. -Kant justifie son entreprise en la présentant comme

« la vérité d’un fait » ou « la vérité d’une proposition ». Dans le premier cas, on s’accorderait donc au fait à l’instar d’un empirisme assez naïf qui ferait des faits concrets des vérités et qui laisserait donc à notre sensibilité le soin de s’y conformer. Dans le second, cas, « la vérité d’une proposition », nous décelons d’avantage un raisonnement, qui par sa logique et sa cohérence remporterait notre adhésion sans conteste. Dans les deux cas l’objet de persuasion est externe : les faits d’une

horaires, journaliers, saisonniers et annuels. L'ECOLE DES NOMS Elle fut d'extrême importance. Elle est à l'empirisme chinois ce que les variables sont aux sciences mathématiques. Née au IVième siècle av. J.-C., elle illustre un grand débat sur la logique et l'utilisation des noms. Il n'est pas un grand philosophe chinois qui n'y ait participé. Le rapport entre le nom et sa réalité effective, un des problèmes majeurs de la philosophie de ce peuple, nous est signalé par le grand penseur contemporain

est l’origine est une tabula rasa, une tablette sur laquelle rien n’est gravée et qui attend de recevoir les impressions des sens. Locke s’oppose ainsi très fortement aux idées innées postulées par Descartes. L’affrontement entre rationalisme et empirisme semble ainsi entériner l’opposition entre entendement et sensibilité. Mais par là même il ne fera que rendre plus nécessaire leur « réconciliation ». 3- LA CAUSALITE « Si donc nous

des données sensibles, et qu'elles renferment la science dans l'enceinte de la logique. On peut donc considérer les deux dernières solutions comme n'en faisant qu'une, et les confondre ensemble dans le caractère dialectique qui les comprend toutes les deux; ce qui réduit à deux points fondamentaux tout ce dialogue : le premier qui contient l'explication de la science par la sensation, le second par les procédés logiques. Dans l'école empirique de l'antiquité grecque, ce principe psychologique, Toute

caractère scientifique de leurs travaux. Une telle réflexion épistémologique permet en effet de mettre à jour d’une part la « logique de l’erreur » d’après G.Bachelard, c’est-à-dire de connaître l’erreur et les mécanismes qui l’engendrent pour mieux la surmonter, et d’autre part d’analyser les conditions sociales dans lesquelles sont produites les oeuvres sociologiques. La logique de l’erreur et la sociologie de la connaissance constituent ainsi 2 instruments privilégiés de vigilance épistémologique.