En Attendant Godot

Fin de Partie, Beckett • Dramaturge Irlandais, bilingue • Ecrivain de l’absurde avec En Attendant Godot et Fin de Partie. Fin de parie raconte l’histoire d’un père et de son fils adoptif qui vivent seul au monde avec les parents du père vivant dans une poubelle. • La signification du titre • Une relation seulement entre deux personnages • Ce texte est un dialogue entre Hamm et Clov, sans aucune autre personne. • On peut imaginer qu’ils sont les deux dernières personnes du monde.

Princesse de Clèves, de Mme de la Fayette. Pauline, d’Alexandre Dumas. L’Assommoir, d’Emile Zola. Trois contes, de Gustave Flaubert. Une vie, de Guy de Maupassant. Le Grand Meaulnes, d’Alain Fournier. 1984, de Georges Orwell. SEQUENCE 7 : EN ATTENDANT GODOT, 1953, BECKETT. En quoi cette œuvre bouscule-t-elle les règles du théâtre traditionnel ? Travaux Entrainement de commentaire littéraire sur les extraits comparés. Lecture Dom Juan, de Molière. Britannicus, de Jean Racine. Le jeu de l’amour et

compte du drame de l'incommunicabilité. Introduction Amorce : Dans la seconde moitié du xxe siècle, pour rendre compte de l'absurdité de la vie humaine, certains dramaturges prennent le contre-pied du théâtre traditionnel. Beckett, après En attendant Godot (1952) écrit Oh les beaux jours (1962). Présentation du texte : La pièce débute par une longue didascalie : deux personnages - un couple - sont visibles, mais la scène est composée d'un long monologue de Winnie, sans réelle consistance. Annonce

Les procédés comiques utilisés dans les différents médiums Dans En attendant Godot «ESTRAGON. – J’ai faim. / VLADIMIR. – Veux-tu une carotte? / ESTRAGON. – Il n’y a pas autre chose? / VLADIMIR. – Je dois avoir quelques navets. / ESTRAGON. – donne-moi une carotte. (Vladimir fouille dans ses poches, en retire un navet et le donne à Estragon.) Merci. (Il mord dedans. Plaintivement.) C’est un navet! / VLADIMIR. – Oh pardon! J’aurais juré une carotte.»[4] Beckett exploite beaucoup la stupidité

• Refus du réalisme, des personnages et de l’intrigue. Souvent on ne trouve pas de personnalités marquées ni d’intrigue dans le sens « narratif » du terme. • Le lieu où se déroule l’action n’est souvent pas cité avec précision (dans « en attendant Godot », on sait que l’action se déroule dans une lande, sans plus de précision). • Le temps est lui-même tourné à l’absurde par certains moyens (pendule sonnant un nombre improbable de fois). • Volonté de créer un spectacle total : utilisation

d'importance. On peut parler ici d'abondance. Et Beckett en tient vraiment compte. I° Etude du langage   A) Un langage qui ne raconte pas Le langage dans l'anti-théâtre montre le vide le non sens, l'absurde : pas de progression d'intrigue, (" En attendant Godot " ( le gérondif indique un état et non une action)   B) Un langage sans logique 1) Les mots ne se suivent pas pour donner du sens logique. Ils se suivent par - association phonétique et calembour - association inconsciente - association

théâtre de l'absurde est né. Ionesco et Beckett en sont les figures principales. Leur succès ne se démentira jamais. L'attente est également au centre de l'œuvre de Beckett. Dans En attendant Godot, les deux personnages, Vladimir et Estragon, sont des vagabonds, ils représentent le dénuement de l'âme humaine. Ils attendent Godot, un hypothétique espoir de changement. Il ne viendra pas. L'attente confine à l'absurde. Dans Oh! les beaux jours, c'est Winnie qui attend sa fin, engloutie peu à peu par la butte

et sa raison. Dans une pièce absurde également nous pouvons trouver un sens caché. Dans En attendant Godot de Samuel Beckett, le langage se réduit à sa fonction pratique, il s’agit de parler pour parler, de dire n’importe quoi pour maintenir un semblant de communication (on retrouve une situation similaire dans La cantatrice chauve de Ionesco). Pendant toute la pièce, Vladimir et Estragon vont attendre Godot. Cette pièce est une analyse de la condition humaine, à savoir, attendre continuellement quelque

l'un des precurseur du theatre de l'absurde qui vient du fait de rejeter les conventions traditionnelles du theatre. Beckett ecrit aussi bien dans sa langue qu'en français c'est pourquoi il a ecrit de nombreuse pieces en français telles que: en attendant godot ou encore fin de partie. Dans son oeuvre Fin de partie ecrite en 1957, Beckett raconte la misérable vie de 4 personnages infirme vivant dans un endroit que l'on a du mal a qualifier.C'est pour cela que nous allons ici interroger sur la composition

Lecture analitique N°3 « Les voix Morte »(En attendant Godot de Beckett) Introduction : Nous sommes au début se l’Acte II, « lendemain mm heure, mm endroit » →c presque leur résidence→ Les 2 pers se sont disputés. On arrive a ce txt et on change complètement de theme,page qui parait détacher , en apesanteur → moment d’improvisation Est-ce que c’est une manière d’exister ? Txt déroutant et particulier, temps mort, Absurde oui, B moment marqué particulièrement par l’absurde, mais telle que B