En passant

A une passante. Sonnet sect° des 18 poèmes (Tableaux parisien). Fleurs du mal, 1857. (symbolisme). 1ère édition 1860 dans l'Artiste. Sect°= scène de la vie quotidienne, scène pris sur le vif. ----> x spectacle et personne, excite l’imagination. A une passante = rencontre d'une femme belle et mystérieuse. Aperçue de manière éphémère. 2 quatrains = Vision de la rue puis l'inconnu vu de loin puis un gros plan sur son visage et ses yeux.2 tercets = Poète s'adressant à cette femme, s'interrogeant

A une passante : Sonnet icu de »Tableaux parisiens ». 2e section des fleurs du mal, ajoutée en 1861. Section consacrée à des personnages étranges, pittoresques. « Les aveugles », « Les petites vieilles »… On est à l’époque des travaux d’Haussmann. Titre : A une passante : Le poème s’adresse à une inconnu. Alors que les poèmes amoureux sont souvent dédiés à femmes nommées.   Introduction A une passante fait partie de la section des Fleurs du Mal intitulée « Tableaux parisiens ». On trouve

Fiche Révision Référence au texte: Auteur: Charles Baudelaire Titre de l’œuvre: Les Fleurs du Mal Date de parution: 1857 Titre de l’extrait: « A Une Passante » Ressenti: Emotions, Sentiments: mélancolie, désespoir, nostalgie, mal-être, tristesse…   Hypothèse quant à l’intérêt littéraire du texte, sa singularité, son originalité quant à ce qui est dit (= fond) et quant à la manière de l’exprimer (= forme), les intentions de l’auteur: - Poème fait partie des tableaux parisiens

A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité

A une passante Pb : comment Baudelaire restitue-t-il ici l’instantanéité d’un échange de regard furtif ? I) Une scène de la vie parisienne II) Deux personnages que tout oppose III) une vision ambivalente et tragique de la vie. I) Une scène de la vie parisienne 1 : la rue. -La rue => métonymie de la ville (le tout par la partie) -Personnification : « hurlait »l1 -Allitération en « r » : « la rue assourdissante autour de moi hurlait » l1 -Allitération en « s » : « assourdissante ». -2 hiatus (2 voyelles

« A une passante » Intro : - Ce poème est dédicassé à une anonyme («une» pronon indéfinie). Cette inconnue est définie essentiellement pour son mouvement. - Grâce au titre on peut constater que ce poème est placé sous le signe de la rapidité et de l’éphémère. @ - Dans ce poème, on a ici un acte de la vie quotidienne, c-t-d, une rencontre hasardeuse avec une des inconnues de la capitale. --> C’est donc l’occassion pour le poète d’évoquer sous le mode lyrique le tragique de la condition humaine. -

‘A une Passante’ – Les fleurs du mal Charles Baudelaire Baudelaire est un poète français, héritier du romantisme tirant au symbolisme, du XIXe siècle et fera parti des plus célèbres poètes maudits. Les fleurs du mal est une des œuvres les plus marquantes de Baudelaire et une des plus importantes pour la poésie. Les fleurs du mal est un recueil de poème qui a été publié en 1857 et qui sera condamné pour outrage aux bonnes mœurs du aux sujets tabous abordés tel que l’homosexualité féminine. Baudelaire

A une passante, «Les fleurs du mal», Baudelaire I. La rencontre         Cette rencontre se réalise dans un contexte sonore. Le contexte va être souligné par son aspect déplaisant. C'est tout le vacarme de la rue moderne qui est exprimé d'abord:     - par la personnification de la rue     - par la distance entre le sujet "la rue" et le verbe "hurlait", comblé par la présence de l'adjectif "assourdissante"     - par deux hiatus (fiction entre deux sons ou voyelles) qui sont, eux aussi évocateurs

tant publics que privés, pour construire une ville durable « passante ». Durable pourrait être un mot-valise comme l’a longtemps été celui de projet urbain. Pas pour David Mangin qui n’est pas homme de modes et de séduction facile, mais d’engagements résolus de longue haleine. Ces territoires, il a tenté de comprendre leur logique intrinsèque avec minutie, rêvant de transformer « les produits en projets », défendant la « ville passante » et métisse, contre les logiques de secteurs et d’enfermement

Introduction         A une passante est un sonnet qui appartient aux tableaux parisiens, il est donc lié à l'inspiration de la vie. L'univers urbain offre à Baudelaire des sujets de description, de narration, de réflexion. Mais le poète ne reste pas extérieur au spectacle de la rue. Il y participe à la recherche de rencontres décisives en quête de symboles qui font de ces spectacles et de ces rencontres les reflets d'un monde complexe, celui de la condition humaine, celui de sa propre vie. En ce