Existence

 Mon existence Comment définir mon existence par le biais de mon corps ? J'opterais pour mes yeux. Ces deux miroirs à double fond ont vu, observer, toutes les bonnes, comme les mauvaises choses qui me sont arrivées. Toutes ces expériences qui m'ont changé, qui m'ont fait évoluer, mûrir, ont été enregistrés par ces deux êtres. Ces yeux, mes yeux, qui ont changé avec le temps, qui sont devenus plus forts, qui ne diffusent plus les émotions qui me rongent de l'intérieur, qui sont devenus vides

angoissante : en effet le futur (la nouveauté) ne comporte que la certitude de notre propre mort. 1) L’EXISTENCE : On distingue deux sens d’existence, le premier plus courant évoque le fait d’être. En effet, dire qu’une chose est, c’est poser sont existence et c’est aussi par opposition définir sont essence (la nature de quelque chose. Ce sont les caractéristiques permanentes qui définissent une chose). L’existence par conséquent renvoi à l’être tant qu’il s’oppose au néant (ce qui n’est pas). De plus’exister

“Deviens ce que tu es” Nietzsche temps = flux d’instants liés (emboités)/ (orientés vers une fin) c’est “par” et “pour” la consceibnce que le devenir est abordé comme du temps vécu. Réfléchir sur notre existence impose de penser ses limtes. Experience du temps implique la finitude de notre existence. Saint-Augustin : “le temps n’est rien d’autre qu’une distention de l’âme” -> c’est elle qui fait trait d’union entre differents moments : c’est pour elle que le temps surgit. Instantanéité : temporalité

que l’existence est non existence. Dans ce cas, nous pourrions éventuellement trouver une preuve d’existence dans la non-existence au delà du seul aspect « physique », « biologique », donc immédiatement visible de l’existence. Dès lors, prouver l’existence par le biais de la métaphysique semble être une preuve plus satisfaisante dans la mesure où elle rendrait compte de l’existence dans son entièreté. En premier lieu, nous pourrions expliquer l’existence par la non-existence. Dans le Phédon notamment

sens à son existence ? Pourquoi le faut-il ? Faut-il un sens ? Ou plutôt des sens ? En premier lieu, nous nous demanderons si le sens de l'existence est préétabli ou non, puis nous verrons en quoi ce sens peut-être ou non essentiel à l'homme. Enfin, nous verrons en quelle mesure l'homme se donne-t-il l'impératif d'un sens à son existence. L'existence est la réalisation de quelque chose. Cela signifie que la chose est et demeure véritablement. Quand je dis je suis, j'affirme mon existence et ma présence

et universellement acceptable n’aboutissant point « je suis ramené à mon être personnel concret ». Le sujet de l’être moi-même, l’être là, l’être en situation, l’être personnel, l’être concret est né. Mais ne nous trompons pas car « être » et « existence » ne s’explique pas d’un terme. C’est pour cette raison, que nous établissons ici l’idée d’éclaircir la valeur de l’existence. Préciser les idées directrices de cette philosophie, observer la structure et les articulations de cette doctrine, élucider

l’homme, créature finie et mortelle, pourrait se mesurer à Dieu, son Créateur. L’idée d’un Etre éternel, infini et parfait, existant nécessairement, créateur de toutes les existences, fait partie de la quête spirituelle de l’humanité. Dieu existe-t-il ? L’homme, créature finie et bornée, est-il capable de prouver son existence ? L’existence de Dieu peut-elle s’expliquer rationnellement ? Telles sont les interrogations que suscite l’idée ou la seule possibilité d’un Etre qui soit immatériel et éternel

si vraiment l'existence précède l'essence, l'homme est responsable de ce qu'il est. Ainsi la première démarche de l'existentialisme est de mettre tout homme en possession de ce qu'il est et de faire reposer sur lui la responsabilité totale de son existence. Et quand nous disons que l'homme est responsable de lui-même, nous ne voulons pas dire que l'homme est responsable de sa stricte individualité, mais qu'il est responsable de tous les hommes. Il n'est pas un exemplaire d'une norme ou d'une nature

l'apparence est une crispation sur le corps tel qu'il doit être selon les normes; elle n'est en tout cas pas une libération par rapport au corps. Ce souci de l'apparence participe d'un principe qui règle de manière beaucoup plus vaste toute notre existence: celui de maîtrise. L'homme en arrive ainsi à une production pharmacologique de lui-même. On parle assez d'abus des psychotropes, des analgésiques. Il ne s'agit nullement dans mon intention de nier les soulagements qu'ils ont apportés. Il s'agit

au devenir c'est-à-dire à la fois en fuite vers l’avant par ses projets et comme néantisation par la négation perpétuelle de ce qu’il a été. Existence humaine : l’homme est un être de soucis, il est fait de la question permanente de « plus tard ». Cela implique la question « Pourquoi », en vue de quoi c'est-à-dire quelle direction prends notre existence. Ce cache derrière cette question l’exigence d’une vie autonome et une certaine image de ce que c’est d’être authentiquement humain. Conscience