Existence

vieillesse de la femme, puisqu’elle sera « bien » âgée : cet adjectif intensifie cette idée, qui accompagnera le lecteur tout au long du poème. Les images utilisées par le poète présentent Hélène comme « au soir » de sa vie, sur le déclin de son existence ; elle est éclairée « à la chandelle », d’une flamme de vie qui finira par s’éteindre. L’auteur utilise le terme violent de « vieille accroupie », qui n’est pas louangeur pour la belle « à demi-sommeillant ». Encore une fois, le poète insiste sur

chagrin, et non le pluirit, est l'élément positif, dont la présence se fait remarquer. De même nous avons èonscience du temps dans les moments d'ennui, non dans les instants agréables. Ces deux faits prouvent que la partie la plus heureuse de notre existence est celle où nous la sentons le moinqJ SCHOPENI{AUER l-Dégagezla thèse de ce texte et montrez comment elle est établie. 2. Expliquez: a) < lè piuitit devenu habitude n'est plus éprouvé comme tel)) ; b) < ta possession accroît la mesure de nos

forme concise. Puis, nous trouvons les conséquences de sa peine d'emprisonnement, à la fois physique et psychique. Probablement, implicitement, à ce point c'est quand nous savons mieux du personnage, ses préoccupations, comment il se sent et sa existence en tant qu'homme penseur opprimé dans une société qui ne parvient pas à comprendre son comportement. Finalement, avec la mort de Zénon, sous-entendue, une conclusion est laissée ouverte qui mène le lecteur à réfléchir.

qu'il fait pour la collectivité. Cet engagement qu'il prend reflète aussi son accord vers la monogamie. Un choix individuel qui devient alors aussi collectif. C'est parce qu'il se choisi lui, qu'il choisi tout les hommes. La liberté que notre existence donne à l'homme parce qu'elle survient avant l'essence de l'être est la définition que donne Sartre dans la possibilité dont l'homme dispose pour se définir. Pour dire qui il est. En conclusion. Bien que les hommes et leurs situations varient d'un

du philosophe à travers l’histoire et les personnages du roman. Tout d’abord, le titre donné par Maupassant « Une Vie » frappe avant tout par sa platitude. L’utilisation de l’article indéfini, et l’absence d’adjectif annonce le récit comme une existence quelconque, banale et pourtant abordant un sujet très large. Par la définition de l’existence humaine donnée par Schopenhauer (tout dans la vie d'un homme, le conduit à la déception), Maupassant ne choisit pas de raconter une vie heureuse, épanouie

l'humanité ? Est-il plus intéressant de dévelloper les sentiments par rapport aux idées ? Tout d'abord, je pense que l'homme doit se développer au niveau sentimentale pour pouvoir vivre heureux et être capable d'apprécier chaque moment de son existence, en effet, il est préférable de pouvoir se réjouir de l'instant présent plutôt que non et c'est là que les œuvres développant les sentiments ont pu avoir un rôle bénéfique. Prenons par exemple un homme riche, qui vit dans un luxe par rapport à

flux et le reflux de cette eau, son bruit continu mais renflé par intervalles frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l’instabilité des choses de ce monde dont la surface des eaux m’offrait l’image : mais bientôt ces impressions légères s’effaçaient dans l’uniformité

conscience réfléchie : le moi se pose lui-même comme un objet. Cela suppose d’établir une distance critique à l’égard de ses propres représentations. Référence : la mise en œuvre du doute méthodique permet a Descartes d’établir avec certitude sa propre existence en tant qu’être pensant. C’est la connaissance de ce qui définit tout homme : la pensée. Transition : La conscience réfléchie telle qu’elle s’exerce dans le « cogito » cartésien ne nous permet pas de connaître ce qui fait notre personnalité

Le métronome est un objet qui incarne la mécanique implacable, un arbitre intransigeant de la mesure, du temps. Notre vie est remplie de rythme et de pulsations (battements du cœur, respiration, marche...), ils sont l'expression lucide de notre existence et en même temps ses limites tragiques. Cet objet, qui lui, n'a pas d'existence en tant que tel, illustre alors cyniquement la notre en la réduisant à ses principes fondamentaux. Dans son détournement, le compositeur fait de cet objet un interprète

LA LUCIDITE EST-ELLE UN OBSTACLE AU BONHEUR ? Lequel d’entre nous n’a pas souhaité, à certaines occasions pénibles de son existence, pouvoir oublier ses soucis pour savourer la vie dans une bienheureuse insouciance ? Profiter de l’instant présent sans s’inquiéter de l’avenir ni des autres, n’est-ce pas le moyen le plus efficace et rapide d’atteindre le bonheur ? Si le bonheur dépend souvent de circonstances dont nous ne sommes pas les maîtres, il relève aussi de notre disposition intérieure. Envier