Existence

corps étant visible et palpable, son existence n’est plus à prouver. Il reste donc à se demander s’il est possible d’avoir un corps, sans avoir un esprit. Ceci voudrait dire que nos corps ne serait plus « animé » par notre pensé, mais par des mouvements reflex, ou par des mouvements totalement incontrôlée, dont le corps n'aurait aucune conscience ni interaction avec des objets spécifiques et que nous n’aurions plus conscience de nous-mêmes, de notre existence … On peut donc conclure que le corps

ce qu’on appel une table rase… Clara : Hein? Une table rase? Mais c’est quoi ca! Jean : Bon, ca veut dire que je douterai de tout! Clara : Bon je ne sais pas c’est quoi que tu a dans ta tête mais tu veux douter de tout, même peut-être de mon existence… Je ne sais pas quoi te dire, de toute façon tu réussiras jamais, tu perdras que ton temps! Jean : Justement, j’ai trouvé deux moyens efficaces avec lesquelles je réussirai sans perdre mon temps. Explique moi donc comment? Premièrement, je rejetterai

qu’il fait 2ème texte ; l’homme ne peut rien être seul * Je dois passer par l’autre pour avoir une vérité sur moi (je suis un être pour autrui) * L’autre est indispensable à mon existence (intersubjectivité) L’existentialisme est un humanisme Il n’y a pas d’autre point de départ que l’homme. Existence | Essence | L’existence n’est pas simplement exister, le terme « existant » est réservé à l’homme car l’homme est le seul à avoir conscience qu’il existe. Exister, c’est ne pas être soumis

dépêcher ? Pourquoi circuler doucement ? Telles sont les différents question sur les façons de conduire. Le mode de vie dans lequel ont vie, montre les divergence au niveau de la façon de vivre les choses. Tout d’abord, s’aventurer dans notre existence de manière rapide permet de concevoir plusieurs choses en même temps dans cours laps de temps. Aussi, lorsque l’on attend un moyen de transport, pourquoi attendre patiemment alors que l’ont peut exécuter d’autres taches. Ont trouvent qu’il est impossible

mort. Pour commencer, pour pouvoir choisir son existence, il faut lui donner un sens. Celui qui gardera son objectif en tête et ce même dans les moments les plus compliqués, qui campera sur ses positions, peu importe les situations, tout en reconnaissant ses erreurs mais sans toutefois se laisser influencer par des facteurs extérieurs et par conséquent par l’opinion commune, les préjugés pourra dire qu’il a choisi sa vie. Qu’il a mené son existence comme il l’entendait. Ses choix de vie que nous

pour savoir que c’est bien moi, que ce sont bien mes perceptions ? Le texte débute ainsi « Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre Moi, que nous sentons son existence et sa continuité d’existence. » Cela signifie que certains philosophent s’interrogent sur l’existence du « moi », une présence interne que l’on ignore. C’est alors la thèse que Hume dénonce. Selon lui, nous sommes tous des sujets identiques. « Pour

n’existe pour moi-même qu’en me différenciant (en me distinguant) de ce qui n’est pas moi, Ie. en m’opposant au monde et aux autres. De sorte que je ne suis moi-même qu’en n’étant pas les autres. Cette originaire séparation, constitutive de notre existence consciente, nous isole des autres ; nous isole dans une solitude si profonde qu’elle semble se confondre avec la condition humaine. Or, le paradoxe de notre condition c’est que l’homme est en même temps une espèce loquace et sociable, si bien que

collectif de l'avenir. Quelle est cette liberté qui est visée comme valeur essentielle ? Quelle qualité veut-on pour son existence lorsqu'on récuse l'emprise des pouvoirs ? 1 – La spontanéité Le pouvoir peut se définir, très classiquement, comme la capacité d'imposer sa volonté à d'autres. La relation de pouvoir est considérée comme ce qui me vole une partie de mon existence, des possibilités de bien vivre qui étaient inscrites en moi, et qui par là me met dans du malheur. Mon malheur, conjugué

Exister est –ce simplement vivre ? L'Homme, tout au long de sa vie, existe au sein même de la société, il est conscient aussi bien de son existence, que de son terme, à savoir la mort. Exister, c'est avoir une présence dans le monde, mais en savoir aussi le terme. Aussi, exister, est-ce seulement vivre ? N'est-ce pas aussi avoir conscience de l'Homme dans sa finitude ? Effectivement, il apparait aux premiers abords qu'exister, c'est vivre, c'est se trouver au milieu des autres, sous leurs regards

dimension of the existential anxiety of the modern individual. The characters of the play are condemned to live in an absurd, unknown space and they are incessantly in search of “nothingness” which will provide them the way of escaping from their own existence. According to the themes of being, nothingness, anguish, death and rebirth, this sudy aims in the first place to analyse how the characters oscillate between the will to live and the will to die to escape from the existential impassibility and secondly