Fascio

that searches for a politics of national expansion, potency and conquest. Fascism, in short, was not a mere reactionary ideology. Rather, fascism aimed at creating a new order and a new civilization.3 The word fascism derives from the Italian word fascio and refers to a political group (such as the political group lead by Giuseppe Garibaldi during the time of Italian unification.) Fascism also refers visually and historically to a Roman imperial symbol of authority. Its place of birth as a modern

pris un sens beaucoup plus large, notamment pour désigner dans leur ensemble, durant les années 1930, les mouvements politiques ayant eu en commun des thèmes et des représentations politiques avec le mouvement italien. Le terme même vient du mot « fascio » (« faisceau ») désignant le rassemblement des fusils au repos ou l'attribut du licteur dans la Rome antique[1]. Au sens strict, le terme désigne le mouvement politique fondé par Benito Mussolini, ainsi que le régime qui était en vigueur sous la

faibles, Rochetti est bien en train de mendier son pain dans la rue). On notera également que ce sont deux personnages assez faibles d’esprit, largement influençables (vraisemblablement illettrés, on le remarque lorsque Rochetti essaye d’écrire « fascio » sur un mur) dans une certaine mesure néanmoins, nous y reviendrons. Comme beaucoup d’Italiens alors, et dans une situation post- première guerre mondiale sensée ouvrir « une ère de bien-être et de travail pour tous, enfin peut-être pas pour tous »

D’abord les exilés de La Commune de Paris, qui fondèrent « Les Travailleurs » , ceux de la Section française de l’Internationale, « Le Révolutionnaire » , et « L’Avenir social » . Puis les exilés allemands, le « Club Vorwater » , les Italiens, « Le Fascio dei Laboratori » , les Espagnols, « L’Association socialiste » , les immigrés français, « L’Association des Egaux » , « L’Internationale des Charpentiers » et « La Fraternité des Cheminots » ... L’Argentine des années trente est un pays en ébullition

fois = circulaion fluide cf : Knol, fauteuil Bracelone. ( pilliers en acier chromé avec des formes cruciformes ) Knol a racheté ts les droit sur les meubles de Mies Van der Rohe. Le rationalisme en Italie: Giuseppe Ferragni = casa del fascio Rare réalisation it se déclarant comme rationalisme comme l'avait défini le Bauhaus à la fin des années 20. Edifice rare en Italie , style fonctionalisme . 1932- 37 : Régime fasciste = totalitaire = exaltation très forts sentiment nationalistes

rationalisme italien s’incarna de manière officielle dès 1930 dans le Movimento italiano par l’architettura razionale. Pietro Maria Bardi affirmait que seule l’architecture rationaliste pouvait exprimer les principes révolutionnaires fascistes. - Casa del Fascio à Côme, en 1932, Terragni : Elle allait devenir le paradigme du rationalisme italien. Inscrite dans un carré parfait, d’une largeur égale au double de sa hauteur, cette moitié de cube est au fondement de la stricte géométrie rationaliste. Comme le

troisième classe. L’oncle D’après Nouveau Dictionnaire Etymologique, Larousse, 1964 et Dictionnaire Encyclopédique Universel, Larousse-Bordas/HER 2000 6 Jean-Freançois Revel, Pour l’Italie, René Julliard, Paris, 1958, p. 163-164 5 5 appartient au Fascio de sa province. A cette époque-là, on changeait de train à Vintimille, et mon ami se rappelle encore la peur qu’il ressentit au brusque mouvement de recul, et au spectacle du visage décomposé et affolé que fit son oncle, pendant le transbordement

sous la coupe des spécialistes, à savoir les élus des couches agraires dominantes. 2. Forces et vie politique (1931-1934) : Nouvelle force, dont les formes s’inspirent de l’exemple italien (une revue phalangiste, mort-née, s’appelle El Fascio), la Phalange est fondée en octobre 1933 par José Antonio Primo de Rivera[20], fils de l’ancien dictateur, señorito (+/- play boy, voire « fils à papa »[21]) courageux et sympathique à ses adversaires, fasciste catholique, qui lisait If de Rudyard

régime fasciste est le premier à professer une certaine préoccupation pour les émigrés en France promettant, souvent de façon démagogique, la défense de leurs intérêts et légitimant l’appartenance nationale des Italiens à l’étranger. Les “Case del fascio” (bureaux du fascisme à l’étranger), les activités consulaires et les missions catholiques italiennes deviennent ainsi les points de référence pour les Italiens jusqu’alors abandonnés aux mains de la xénophobie de la société d’accueil. Par cette action

régime fasciste est le premier à professer une certaine préoccupation pour les émigrés en France promettant, souvent de façon démagogique, la défense de leurs intérêts et légitimant l’appartenance nationale des Italiens à l’étranger. Les “Case del fascio” (bureaux du fascisme à l’étranger), les activités consulaires et les missions catholiques italiennes deviennent ainsi les points de référence pour les Italiens jusqu’alors abandonnés aux mains de la xénophobie de la société d’accueil. Par cette action