Front Polisario

fiscaux 5 documents (cartes, texte, photographies) B- Le continent américain entre tensions et intégrations régionales 1- Intégration ou désintégration ? 2- Les tensions Unions, accords, ALENA Frontières, tensions agraires, réformes agraires, front pionnier, agriculture illégale, tensions urbaines, favelas, tensions économiques, dette, voies de développement, tensions culturelles, pauvreté. Trois cartes pour comprendre les unions et désunions entre les pays d’Amérique. Grâce à de

en 1557 des assassins à la solde du pacha turc Hasan Corso décapitent le sultan marocain et envoient sa tête en trophée à Istanbul, où Soliman peut contempler ainsi son implacable ennemi de l'ouest. Ce meurtre n'a cependant pas d'incidence sur le front militaire et consolide même les assises de la dynastie saadienne.[30] L'apogée de cette dynastie se situe sous Ahmed al-Mansur Saadi (1578-1603) qui, tout en maintenant l'indépendance marocaine face à Istanbul, établit un État fort dont la force militaire

« Grand Maroc » et de la monarchie, mène alors la lutte des nationalistes pour l’obtention de l’indépendance. En Tunisie, Habib Bourguiba, le dirigeant par le Néo-Destour, un parti politique nationaliste moderniste et laïque, prend en 1950 la tête d’un Front national associant sa formation politique, divers mouvements nationalistes et l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), un syndicat d’obédience socialiste, qui réclame l’indépendance. Le 14 avril 1950, en accord avec le bey de Tunis (le souverain

vaste de la régionalisation, il pourrait être mieux accepté et plus rapidement entériné. En facilitant la coopération décentralisée - notamment avec les collectivités territoriales algériennes - il permettrait ainsi de mieux faire barrage au Front Polisario (soutenu par l’Algérie) qui réclame l'indépendance du Sahara marocain. Dans son discours, Mohammed VI a fortement exprimé sa volonté de placer les provinces du sud du pays au cœur du processus. Et a insisté pour faire «du Sahara marocain la première

marchandises. Plus qu’un signal, c’est une véritable rupture pour le royaume dans sa politique africaine, mise en stand by depuis que le Maroc s’est retiré de l’OUA (aujourd’hui Union Africaine), suite à la reconnaissance par cette dernière du Front Polisario en 1984. L’enlisement permanent du projet du grand Maghreb arabe, né en 1989 à Marrakech, en présence des cinq chefs d’Etat et placé depuis sous le boisseau du conflit du Sahara, contraint le Maroc de se redéployer vers un axe Nord-Sud allant

organiser un référendum d’autodétermination après consultation du Maroc et de la Mauritanie. Cette résolution demeure sans effet. Sur le terrain, plusieurs mouvements de libération nationale vont se constituer. En 1973, c’est la naissance du front POLISARIO qui va revendiquer l’indépendance du Sahara espagnol et la création d’une république arabe non alignée. Il recevra l’appui de la Mauritanie. En 1974, l’Espagne procède à ce référendum mais en octobre de la même année le Maroc et la Mauritanie

la Gomera, du Peñon de Alhucemas et des Chafarinas et de leurs eaux environnantes. Le Maroc est l'un des principaux points de passage des immigrants clandestins en Europe à partir de l'Afrique Algérie : L'Algérie  soutient les Sahrawi du Polisario Front et rejette l'administration marocaine du Sahara Occidental;  La frontière entre l'Algérie et le Maroc continue d'empoisonner les relations bilatérales, chaque pays accusant l'autre d'abriter des militants et de ne pas empêcher la contrebande

décembre 1992 « en raison de divergences de vues concernant la notion de chef de tribu », alors que le représentant du Secrétaire Général avait prévu d’inviter trente-huit chefs de tribus, dix-neuf nommés par le Maroc et dix-neuf autres par le Polisario. Une mauvaise perception de la situation par l’ONU elle même peut aussi l’amener à se tromper et à compromettre la possibilité d’un règlement du conflit. L’Organisation des Nations Unies a été confrontée à de telles situations ces dernières années

qui attend des progrès concrets en matière de lutte contre l’inégalité et la corruption. La question du Sahara occidental continue d’entraver les relations avec l’Algérie. Ainsi, une 8ème session de négociations informelles entre le Maroc et le Front Polisario sous l'égide des Nations unies (ONU) s'est soldée par un échec en juillet 2011. Le Conseil de sécurité de l'ONU avait adopté, fin avril, une résolution prorogeant le mandat de la mission de l'ONU au Sahara occidental (Minurso) jusqu'au 30 avril

s’emparant de Marrakech en septembre 1269 pour ensuite se lancer dans une audacieuse politique espagnole en intervenant par quatre fois en Andalousie (en 1275/6, en 1277, en 1282/3 et en 1285) s’y épuisant sans que l’Islam réussisse à faire reculer le front de la Reconquête chrétienne. Plus grave encore, à sa mort en 1286, le Maroc se trouve désormais possesseur de villes espagnoles qu’il fallait défendre. Abou Youssef, à l’étroit dans sa capitale Fès, décide de créer une ville nouvelle afin d’y installer