Front sandiniste de libération nationale

l'échec du Vietnam, l'expansion de l'URSS s'étend, notamment en apportant son appui aux sandinistes au Nicaragua en 1979. Depuis le début du XX e siècle, le Nicaragua était dirigé par la famille didactoriale Somoza jusqu'en 1979 où une coalition anti somoziste pris le pouvoir grâce à la perpétuelle contestation du Front sandiniste de libération nationale (FSLN), pro-communiste,ce qu'on a appelé la révolution sandiniste ou nicaraguayenne. Ce mouvement politique provient d'Augusto César Sandino qui fut

règlement du conflit centre-américain. Ainsi, de 1937 à 1979 le Nicaragua vit sous la domination du clan Somoza que les Etats-Unis soutiennent. En 1978 l’opposition rassemblée dans le Front sandiniste de libération nationale déclenche l’insurrection. Le dernier Somoza de la famille abandonne le pouvoir en 1979 et les Sandinistes prennent peu à peu la tête du pays en s’appuyant sur Cuba et l’URSS. Un mouvement contre révolutionnaire y fait alors face, le mouvement « Contra ». Les Etats-Unis entreprendront

États-Unis », par exemple lors du renversement de João Goulart au Brésil (1964), soutenu par Washington (opération Brother Sam), ou d'Allende au Chili (1973). La dictature brésilienne (1964-85) diffuse en Amérique latine la doctrine de sécurité nationale du Pentagone. L'année suivante, l'occupation de la République Dominicaine par les États-Unis, pour réprimer un soulèvement d'officiers progressistes, marque la fin de l'Alliance pour le progrès. Dans les années 1970, le président Nixon et son conseiller

prend le pouvoir en 1909) l'appui des marines américains pour protéger son régime. . 1933 : Le bourgeois Anastasio (Tacho) Somoza Garcia prend en charge la Garde Nationale, les marines américains quittent le pays, rappelés par le président de l'époque, Roosevelt. Juan B. Sacasa (libéral) est élu président du pays. . 1936 : La Garde nationale et Somoza font un coup d'État: c'est le début de 43 ans de dictature somoziste accompagnée d'un régime militaire de terreur. Somoza se fait élire lors d'une élection

contre les infrastructures déployées par les groupes rebelles en territoire colombien, voire à l’extérieur du territoire national ; l’affaiblissement qui en est résulté pour les FARC, en terme de communication entre ses différents fronts opérationnels et au sein même de sa hiérarchie ; le renforcement graduel du sentiment de sécurité dans certaines portions du territoire national, désormais (re)conquises par l’Etat au moyen notamment de sa politique, controversée, dite de « sécurité démocratique »

(UCCIFE) ET DE l’ASSEMBLÉE DES CHAMBRES FRANÇAISES DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE (ACFCI) L’année 2011 au Nicaragua a été marquée par la réélection du Président Daniel Ortega, l’ex-commandant révolutionnaire, leader incontestable du Front sandiniste de libération nationale (FSLN), qui mit fin par les armes en 1979 à la dictature de la famille Somoza. Ayant remporté le Parlement avec une majorité qualifiée, le Président Ortega exercera son troisième mandat avec les pleins pouvoirs, qui lui manquaient

interviennent militairement en Angola et au Mozambique pour y appuyer des guérillas pro-soviétiques. Au Nicaragua, en Amérique latine, le régime de Somoza, soutenu depuis des décennies par les États-Unis, est renversé par un mouvement de guérilla, le Front sandiniste, à qui l'URSS offre son soutien. La diplomatie américaine réagit à cette offensive en durcissant le ton. Le président Carter décrète l'embargo sur les céréales américaines vers l'URSS et boycotte les jeux Olympiques de Moscou en 1980. C'est

et au Nicaragua. En 1978, il partage pendant un an la vie des indiens shuars dans le cadre d'un programme d'étude pour l'UNESCO afin d'étudier l'impact de la colonisation sur ce peuple. Au Nicaragua, il s'engage dans la lutte armée aux côtés des sandinistes (il intègre en 1979 la Brigade Internationale Simón Bolívar). Après la victoire de la révolution, il travaille comme reporter. A partir de 1982, Luis Sepúlveda s'installe en Europe, d'abord à Hambourg en Allemagne et y travaille comme journaliste

et au Nicaragua. En 1978, il partage pendant un an la vie des indiens shuars dans le cadre d'un programme d'étude pour l'UNESCO afin d'étudier l'impact de la colonisation sur ce peuple. Au Nicaragua, il s'engage dans la lutte armée aux côtés des sandinistes (il intègre en 1979 la Brigade internationale Simon Bolivar). Après la victoire de la révolution, il travaille comme reporter. A partir de 1982, Luis Sepúlveda s'installe en Europe, d'abord à Hambourg en Allemagne et y travaille comme journaliste

Soutenu par l’URSS, il combat le nouveau pouvoir en place, le régime prochinois des Khmers rouges. En Amérique latine : un « 2nd Cuba » menace le périmètre de sécurité des américains : au Nicaragua, l’URSS soutient la révolution sandiniste (= Front de libérat° nationale du Nicaragua, se référant à Augusto César Sandino, héros de la résistance latino-américaine des années 1930. A pour priorité de chasser du pouvoir le dictateur Somoza soutenu par les USA depuis 1936) qui renverse la dictature en place