Ganelon

Roland, d'envoyer Ganelon. Mais Ganelon, corrompu et haineux envers Roland, décide de trahir Charlemagne et propose un plan à Marsile. Marsile fera semblant de conclure la paix avec Charlemagne, qui se retirera. Roland commandera l'arrière-garde. Les Sarrasins attaqueront alors par surprise l'arrière-garde isolée. Une fois Roland, le plus vaillant des chevaliers de Charlemagne, tué, Ganelon considère que l'armée de Charlemagne ne vaudra plus rien. Marsile approuve le plan. Ganelon rejoint Charlemagne

Charlemagne s’avançait à pas lourds vers Ganelon. Ce dernier était toujours attaché à une petite poutre qu’il portait sur ses épaules, surveillé constamment par deux soldat du royaume de France. Ses muscles lui faisait mal, le beau-père de Roland gémissait de douleur. Un très grand silence régnait sur la plaine, même les corbeaux et les mésanges avait cessé de chanter. On n’entendait plus le fer aiguisé des soldats qui se battait, ni même de ceux qui aiguisait leur lame. Il régnait une ambiance

le sujet en quelques mots : L’Espagne est conquise ; Saragosse seule est restée debout, défendue par le roi africain, Marsile ; enfin ce prince propose de se soumettre ; Blancardin se présente en son nom devant Charlemagne qui, à son tour, envoie Ganelon traiter des conditions de paix ; celui-ci, chargé de cette mission périlleuse contre son gré et à l’instigation de Roland, se venge de ce dernier en le trahissant, et s’engage à faire tomber dans une embuscade Roland et l’élite de l’armée de Charlemagne

Oliviers et Ganelon. Roland ne croit pas aux bonnes intentions de Marsile. Ganelon pense le contraire. Sur les conseils de Roland, Charlemagne décide d'envoyer Ganelon comme messager à Saragosse, pour dicter ses conditions a sa soumission. Roland et Ganelon se querelle, car Ganelon à peur d'être tué par Marsile. - La trahison. Arrivé à Sargosse, Ganelon rencontre Blancarin, un conseillé de Marsile. Ganelon, lui d'écrit Roland, comme étant dangereux pour son roi. Devant Marsile, Ganelon propose

de ses chevaliers pour dialoguer avec Marsile. Charlemagne choisit Ganelon pour accomplir cette tâche. Roland proteste car il veut y aller à la place de Ganelon. Ce dernier prend cette proposition de Roland pour un manque de confiance de la part des chevaliers de Charlemagne. Ganelon sera finalement choisi pour parler au roi Marsile. Vexé par ce manque de confiance, Ganelon promet de se venger. Arrivé auprès du roi Marsile, Ganelon lui explique que l’armée française sera séparée en deux parties :

Roland ? Il est assez emporté, agressif. C’est ainsi que le voit Olivier (p. 20) « violent et farouche ». Il ferait un mauvais ambassadeur, car il n’a pas l’esprit de conciliation. Il est provocateur à l’égard de Ganelon (son rire, p. 22). C. Ganelon - Étudiez le portrait de Ganelon (p. 21-22) : est-ce le portrait conventionnel d’un traître ? Non, il est beau et fier. À ce stade du roman, rien ne laisse supposer une fourberie. - Qu’est-ce qui va l’entraîner à trahir ? C’est sa haine

établissant les principaux champs lexicaux de la laisse. La Chanson de Roland est structurée en symétrie parce que le poème est relié autour de quatre scènes importantes qui maintiennent l’équilibre du l’histoire. Au début on découvre le crime de Ganelon puis à la fin on témoigne de sa punition. Au milieu on a le mort de Roland, puis la vengeance de Charlemagne. Le poème est divisé dans des strophes aux paragraphes à différentes longueurs, qu’on appelle des laisses. Pour commencer l’analyse du poème

messager pour lui livrer sa décision. Ganelon, le beau-père du comte Roland qui est le neveu de Charlemagne et aussi son meilleur chevalier, est désigné comme messager contre son gré par Roland. Il craint de se faire tuer et ne veut pas y aller mais il y est obligé. De rage, il promet de se venger de Roland et prend la route. Chapitre 3. La trahison Ganelon repart avec Blancardin chez Marsile pour lui dire que Charlemagne accepte sa proposition. En chemin, Ganelon et Blancardin se mettent d’accord

chansons ont été nombreuses en France, la plus connue de l'époque est la Chanson de Roland, qui raconte la défaite de l'arrière-garde de l'armée de Charlemagne, harcelés dans la vallée de Roncevaux par le roi maure de Saragosse, Marsile, allié avec Ganelon, le traître de Charlemagne. Roland apparaît comme le neveu de Charlemagne et en charge des troupes. Il meurt dans la bataille. Une curiosité de laquelle je suis en train de parler, c’est que la chanson raconte l'histoire d'une manière légendaire

bataille !" Répond Ganelon : "Qu'un autre l'eût dit, Ces paroles sembleraient grand mensonges". Roland, à grand-peine et à grand effort, A grande douleur, sonne l'olifant. Et de sa bouche jaillit le sang clair, Et de son crâne la tempe se rompt. Du cor qu'il tient, le son porte fort loin : Charles l'entend, lui qui passe les ports. Naimes l'entend avec tous les Français. Le roi dit "J'entends le cor de Roland. N'en sonnerait, s'il ne livrait bataille." Répond Ganelon : "De bataille, point