Gardnerella vaginalis

Clostridia. — Espèces inconstamment sensibles: Peptococcus, Peptostreptococcus, Veillonella. — Espèces habituellement résistantes: Propionibacterium, Actinomyces. Il est également bactéricide pour le Gardnerella vaginalis (Haemophilus vaginalis). L'activité antiparasitaire concerne Trichomonas vaginalis, Giardia intestinalis, Entamoeba histolytica. Le métronidazole est un inhibiteur de la synthèse des acides ribonucléiques des bactéries et parasites sensibles, qui le métabolisent rapidement; dans le

infections génitales basses sont dues essentiellement aux champignons de la famille des Candida : Candida albicans dans 85-90 % des cas, plus rarement Candida tropicalis, kruseï ou grabrata, à un parasite : Trichomonas vaginalis, et à une bactérie gram-négative : Gardnerella vaginalis (en association avec d’autres germes anaérobies type Bacteroïdes ou Peptostreptococcus). Les données épidémiologiques précises manquent pour donner la fréquence exacte de ces affections. Rien que pour les candidoses,

Fallope. Tandis que sur la radio de Mme B., les trompes n’apparaissent pas. Ceci est peut-être du à une obstruction des trompes. Celle-ci peut provenir d’une infection des trompes (IST, MST) ou encore d’un germe anormal (trichomonas vaginalis, salpingite, gardnerella vaginalis, gonocoque (gonococcie ou neisseria gonorhea)…). 3- Les méthodes médicales : Il existe différentes méthodes médicales qui font partie de l’AMP (Assistance Médicale à la Procréation). - Insémination artificielle

bactérienne est due à des bactéries naturellement présentes dans le vagin, dites anaérobies parcequ’elles peuvent vivre sans oxygène. En termes médicaux, on parle de vaginose bactérienne. Une bactérie souvent présente dans ces infections est la Gardnerella vaginalis. Symptômes possibles : démangeaisons dans le vagin et autour ; pertes grisâtres, très liquides, avec odeur de poisson ; légères pertes de sang entre les règles. Les bactéries responsables d’une infection peuvent aussi provenir de la région

pneumocoque : levofloxacine (respi) et grépafloxacine) - Bactéries à dvpt intra-cellulaire - Mycobactéries Cocci (G+ et G-), quelques G- (Brucella, Légionella) M. tuberculosis et atypiques Anaérobies G(Bactéroïdes) et G+ (clostridium perfringens, Gardnerella vaginalis) certains protozoaires (Giardia, Trichomonas, Entamoeba), nématodes intesti, cestodoses larvaires Pompes moléculaires pour expulser l’antibiotique, modification ADN gyrase Protéine mutée, muion chromo. (association) Peau, arthralgies, ruptures

traitement est nécessaire. Trichomonas vaginalis : Il s'agit d'un parasite dont la présence dans le vagin est anormale. Une infection vaginale à Trichomonas n'est, en général, pas grave mais peut donner des brûlures vaginales et des pertes verdâtres malodorantes. Un traitement est nécessaire. Gardnerella vaginalis : Il s'agit d'une bactérie dont la présence dans le vagin est anormale dés qu'elle dépasse un certain seuil. Une infection vaginale à Gardnerella n'est, en général, pas grave mais peut

ou psychiatriques. La contraception orale peut aussi faire varier la lubrification vaginale. En plus, ou à la place de la microflore vaginale naturelle, divers pathogènes (bactéries dont anaérobies telles que Gardnerella vaginalis, champignons ou parasites tels que Trichomonas vaginalis) peuvent se développer dans le mucus vaginal, notamment après destruction de la flore naturelle par des antibiotiques. Des pertes vaginales responsable de prurit (irritations associées à des démangeaisons), de

colonisation et infection dans le cadre des pneumopathies nosocomiales. M. Archambaud , D. Clave, DCEM 1, 2008 16 EXAMEN BACTERIOLOGIQUE DES PRELEVEMENTS GENITAUX CHEZ LA FEMME CIRCONSTANCES Mycose : Candida albicans Vulvovaginite à Trichomonas vaginalis (IST) Vaginoses bactériennes : prolifération polybactérienne, diminution Lactobacilles Vaginites bactériennes : prolifération d’une espèce bactérienne fillette et femme ménopausée Endocervicites à Neisseria gonorrhoeae et Chlamydia trachomatis

Leucocytes. Hématies. Cellules épithéliales. Parasites (Trichomonas vaginalis : grâce à sa mobilité) Levures. Après coloration : Permet d’observer la réaction cellulaire (Polynucléaires, cellules épithéliales) et la densité de la flore microbienne, la lame colorée doit être conservée c’est elle qui servira de référence pour l’interprétation des résultats de culture. Certaine vaginites non spécifiques Gardenerella vaginalis peuvent être suspectées à, l’examen direct par la présence de

l’ouvrir et le maintenir ouvert en serrant la vis ; - visualiser le col ; - procéder à l’écouvillonnage à l’aide d’un ETB (écouvillon tige bois) ; * Écouvillonner la paroi vaginale (cul de sac + paroi) pour la recherche de trichomonas vaginalis, candida, entérobactéries, et pour le typage de la flore ; * Écouvillonner l’exocol pour la recherche des mycoplasmes et chlamydia. * Retirer le speculum. Remarque : chez la fillette et la jeune fille vierge on n’effectue pas de prélèvement