George Sand

un idéal, qu'il devient par exemple lâche ou cupide, ce dernier peut être qualifié d'antihéros. En effet, dans la pièce “Lorenzaccio” d'Alfred de Musset, tirée de son oeuvre Spectacle dans un fauteuil, datant de 1832 et inspirée par l'écrivain George Sand, le personnage éponyme Lorenzaccio nous préoccupe : la pièce porte son nom et l'intrigue principale est centrée sur son évolution et son action mais celles-ci suscitent de nombreuses interrogations auprès des autres personnages. Nous nous demanderons

Les Personnages dans Lorenzaccio d’Alfred de Musset. Lorenzaccio est un drame romantique d’Alfred de Musset publié en 1834. Cette oeuvre librement inspiré d’Une conspiration en 1537 de George Sand et de la Chronique florentine de Varchi traite de l’assassinat d’Alexandre de Médicis à Florence en 1537. Musset ayant écrit cette oeuvre pour n’être que lu, c’est accordé des libertés dans l’écriture de celle-ci. Nous connaissons déjà le traitement originale de la règle des trois unités. Mais

dramaturge français de cette époque, il est né en 1810 et a peu vécu. Ses premières pièces ont été des échecs comme Nuit Vénitienne. Il a donc décidé de faire du «Théâtre à lire dans un fauteuil» (qui ne sera pas joué mais lu) Quand il rencontre George Sand, il pense s'être débarrassé du pire : Le public. Plus tard, il sera jaloux d'elle et de ses écrits. Son plus gros succès a été On ne badine pas avec l'amour, publié en 1834. Il s'agit d'une histoire impossible entre Camille et Perdican, les deux

à Jules Champfleury qui pourtant se défiait de ce terme ("Le nom me fait horreur par sa terminaison pédantesque ; je crains les écoles comme le choléra, et ma plus grande joie est de rencontrer des individualités nettement tranchées", Lettre à George Sand). Il rappelle d'ailleurs combien il réprouve ce terme, inventé par les journalistes critiques, dans un ouvrage de 1857 justement intitulé… Le Réalisme. Ce mouvement consisterait, en littérature, à « s'inspirer des méthodes de la science, de s'en

les objectifs poursuivis et le contenu de leurs œuvres autobiographiques ainsi que la valeur, personnelle ou universelle, que le public leur accordera dans l’histoire de la littérature. Le point de vue de chaque auteur (Rousseau, Chateaubriand, Sand et Quinet) sur ce qu’est une autobiographie fera l’objet d’une courte analyse avant de proposer des réflexions personnelles quant à la question de savoir si l’intérêt principal d’une autobiographie est de dire toute la vérité sur son auteur ou s’il

en 1791. Du XIXe siècle à 1944[modifier] Chronologie[modifier] En 1848, le club La Voix des femmes cherche à « rendre visible l'illogisme de la mise à l'écart des femmes dans le domaine politique »39 en encourageant une candidature de George Sand aux élections législatives. Cette dernière se désolidarise de cette initiative. En 1849, Jeanne Deroin mène campagne et tente de se présenter aux élections législatives. Elle réussit à rendre son combat public mais sa candidature n'est pas acceptée40

uniquement à la lecture et non plus à la représentation. Sur le plan politique, Musset prend sans doute part à la Révolution de Juillet en 1830. 1833-1835 : période marquée par sa liaison mouvementée et douloureuse avec la romancière française George Sand (de son véritable nom Aurore Dupin). Leur liaison s’épanouit en Italie puis, de retour en France, s’ensuit une série de ruptures violentes qui marqueront l’œuvre de Musset d’une empreinte lyrique. 1834 : publication d’œuvres majeures comme la

roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux ; il y rencontre entre autres George Sand. À la fin de l'année 1856, Madame Bovary paraît en revue puis, en avril 1857, le roman sort en librairie et fait l’objet d’un procès retentissant pour atteinte aux bonnes mœurs : Flaubert est acquitté grâce à ses liens avec la société du Second

roman réaliste et psychologique en mai 1856 après 56 mois de travail. Il fréquente épisodiquement les salons parisiens les plus influents du Second Empire, comme celui de Madame de Loynes dont il est très amoureux ; il y rencontre entre autres George Sand. À la fin de l'année 1856, Madame Bovary paraît en revue puis, en avril 1857, le roman sort en librairie et fait l’objet d’un procès retentissant pour atteinte aux bonnes mœurs : Flaubert est acquitté grâce à ses liens avec la société du Second

de la souffrance d’amour. Le poèmes de Musset, par exemple, montrent une sensibilité extreme, une exaltation de l'amour et une expression sincère de la douleur qui renvoie à sa vie tumultueuse qu'illustre emblématiquement sa relation avec George Sand. C’est ainsi que dans le sonnet «  Une promenade au Jardin de plantes », extrait du livre poèsies posthumes, Alfred Musset, traite du thème de la soufrance d’amour. Considérées comme l’une des oeuvres les plus representatives du romantisme