Grog

départementaux, spécifiques ou non (par ex : 200 laboratoires de bactériologie et de virologie sur toute la France, en collaboration avec le RNSP) ; laboratoires et praticiens s'intéressant à des agents pathogènes précis (RENAVIE : VIH ; RENAGO : gonocoque ; GROG : grippe) • absentéisme professionnel ou scolaire (indicateur en période d'épidémie de grippe...) ; • Centre National de Transfusion Sanguine.Etc…LA SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUEDéfinition : c’est un processus continu et systématique de collecte de

d’avoir de lui un enfant. En outre, elle assume de manière concomitante plusieurs rôles : celui d’amie, celui d’amante, qui éveille son compagnon à la sensualité et l’initie à la sexualité, et celui de mère qui protège son enfant (lorsqu’elle apporte un grog au Narrateur alors qu’il est trempé par la pluie). Son amour pour le Narrateur est vital, au sens propre. Sur le plan symbolique, sa mort marque son refus de vivre à nouveau, comme avant, avec Jacques. En donnant à son enfant le prénom de son amant

du gallo-romain : « Le geai gélatineux geignait dans le jasmin » Raymond Queneau, Oulipo « Lipogramme en A, en E et en Z » Ondoyons un poupon, dit Orgon, fils d’Ubu. Bouffons choux, bijoux, poux, puis du mou, du confit, buvons non point un grog: un punch. Il but du vin itou, du rhum, du w h i s k y, du coco, puis il dormit sur un roc. Un bruit du ru couvrit son son. Nous irons sous un pont où nous pourrons promouvoir un dodo, dodo du poupon du fils d’Orgon fils d’Ubu. Un condor prit son vol

faisaient payer bien cher mes dix sous mensuels. Mais, en dépit de la terreur que m’inspirait l’homme de mer à une jambe, j’avais beaucoup moins peur du capitaine en personne que tous les autres qui le connaissaient. À certains soirs, il buvait du grog beaucoup plus qu’il n’en pouvait supporter ; et ces jours-là il s’attardait parfois à chanter ses sinistres et farouches vieilles complaintes de matelot, sans souci de personne. Mais, d’autres fois, il commandait une tournée générale, et obligeait

comportements de débauche qui en découlent, n’était pas combattu, car il profitait au capitaine qui dirigeait le trafic de grog2. » D’après Stephen de Vere cité dans Collins, ME; “Ireland Three”, The Educational Company, 1972. 1. fétide : puante. 2. grog : rhum coupé d’eau. Questions Pourquoi les conditions de voyage sont-elles déplorables ? Quelles en sont les conséquences pour les émigrants ? À quel autre type de voyage peut-on comparer cette traversée ? Réponses Les Irlandais qui s’exilent

comportements de débauche qui en découlent, n’était pas combattu, car il profitait au capitaine qui dirigeait le trafic de grog2. » D’après Stephen de Vere cité dans Collins, ME; “Ireland Three”, The Educational Company, 1972. 1. fétide : puant. 2. grog : rhum coupé d’eau. Questions ᕡ Pourquoi les conditions de voyage sont-elles déplorables ? ᕢ Quelles en sont les conséquences pour les émigrants ? Réponses ᕡ Les Irlandais qui s’exilent sont pauvres et souvent transportés par des capitaines

comporte des idées qui ne se trouvent pas ailleurs. Reprenons donc l’extrait de roman avec les entrées des autres documents : - Définition du blog : l’auteur souligne l’étrangeté du nom « blog », « borborygme scandinave, moitié blizzard et moitié grog » et d’affirmer qu’il s’agit d’un nouveau mode d’expression. C’est là aussi un « journal intime ». Le phénomène du blog a un tel succès que même Monsieur Spitzweg, pourtant réticent, se laisse convaincre d’en créer un. Notons que Monsieur Spitzweg

monde; du grog à l'eau-de-vie chaud, fort sucré, et qu'il y en ait beaucoup. L'oeil endommagé, monsieur? Garçon, un bifteck cru, pour l'oeil de monsieur. Rien comme le bifteck cru pour une contusion, monsieur. Un candélabre à gaz, excellent, mais incommode. Diablement drôle de se tenir en pleine rue une demi-heure, l'oeil appuyé sur un candélabre à gaz. La bonne plaisanterie, hein! Ha! ha!» Et l'étranger, sans s'arrêter pour reprendre haleine, avala d'un seul trait une demi-pinte de grog brûlant

glace, globe, gloire, grâce, gradin, grand, gros, etc. • Dans le mot devant a, o, u :  gare, bagarre, argot, ragoût, aiguille, figure, etc. • Dans le mot devant l et r :  règle, agriculteur, dégringoler, etc. Orthographe • En fin de mot :  gag, grog, touareg, etc. ◗ Le son [g] s’écrit gu devant e et i. • En début de mot :  gué, guêpe, guère, guerre, gueule, guide, guitare, etc. • Dans le mot :  baguette, languette, anguille, etc. • En fin de mot devant un e dit muet :  bague, catalogue, figue

un roman lipogrammatique en «e» (donc sans aucun «e») de 320 pages. exemple [Raymond Queneau, lipogramme en «a », «e» et «z»] Ondoyons un poupon, dit Orgon, fils d'Ubu. Bouffons choux, bijoux, poux, puis du mou, du confit, buvons non point un grog : un punch. Il but du vin itou, du rhum, du whisky, du coco, puis il dormit sur un roc. Un bruit du ru couvrit son son. Nous irons sous un pont où nous pourrons promouvoir un dodo, dodo du poupon du fils d'Orgon fils d'Ubu. Un condor prit son vol.