Harm principle

philosophie Thèse/principe: L’Etat n’est légitime de ses interventions/contraintes qu’en cas de nuisance à autrui (principe de non-nuisance) «prevent harm toothes » → tort aux autres → Exclut l’intervention coercitive de l’Etat lorsqu’il y a naissance seulement à soi-même. → L’Etat n’a pas le droit de nous protéger contre notre gré, ni de faire notre bien à notre place/contre notre volonté. Conclusion 2): les lois ne s’opposent pas à la liberté humaine
Le droit et l’Etat fixent les conditions

L'éthique aujourd'hui : Maximalistes et minimalistes (Pp 111-115) A la page 111, Ruwen Ogien évoque les conditions d'annulation du devoir moral de chacun de porter assistance à autrui. Pour illuster ces conditions, il nous présente deux exemples de situation dans lesquelles on ne peut demander à une personne de porter assistance. Il donne l'exemple d'un témoin de jéovah qui refuse de donner son sang, acte qui est pourtant dans l'intérêt d'autrui, et celui d'un moine qui a fait voeu de silence

limites à la liberté et à la tolérance, on ne devrait les tracerqu’en considérant les torts effectifs que les individus peuvents’infliger les uns aux autres dans l’exercice de la liberté. Cetteinterprétation robuste du principe de non-nuisance (Harm Principle)nous semble, au contraire, discutable. Le perfectionnisme de Mill etl’inscription de sa conception de la liberté dans une théorie utilitaristegénérale limitent la portée de la tolérance 4 conçue à la fois comme une vertu morale individuelle et

La liberté, si difficile à définir constitue pourtant, pour chacun d’entre, nous une expérience. Être libre, cela signifie tout d’abord ne pas être empêché de faire ce que l’on veut. La liberté est conçue habituellement comme absence de toute contrainte étrangère. On trouve donc ici un paradoxe, car les deux expressions « libre » et « forcer » sont opposés. Soit nous sommes libres de faire ce que l’on veut, donc nous ne sommes forcés à quoique ce soit, soit nous sommes forcés à faire quelque chose

AMOUR ET AUTRUI « Il arrive qu'un asservissement total de l'être aimé tue l'amour de l'amant. Le but est dépassé : l'amant se retrouve seul si l'aimé s'est transformé en automate. Ainsi l'amant ne désire-t-il pas posséder l'aimé comme on possède une chose ; il réclame un type spécial d'appropriation. Il veut posséder une liberté comme liberté. Mais, d'autre part, il ne sautait se satisfaire de cette forme éminente de la liberté qu'est l'engagement libre et volontaire. Qui se contenterait d'un amour

Mais, en outre, autrui, en figeant mes possibilités, me révèle l'impossibilité où je suis d'être objet, sinon pour une autre liberté. Je ne puis être objet pour moi-même car je suis ce que je suis ; livré à ses seules ressources, l'effort réflexif vers le dédoublement aboutit à l'échec, je suis toujours ressaisi par moi. Et lorsque je pose naïvement qu'il est possible que je sois, sans m'en rendre compte, un être objectif, je suppose implicitement par là même l'existence d'autrui, car comment serais-je

et voici et voila Etre libre, c'est être capable de dire non, ce n'est pas nécessairement dire non. En effet, une des caractéristiques principales de la liberté, c'est la capacité de révolte, mais le NON de la révolte est nécessairement sous-tendu (soutenu) par un OUI à autre chose et toujours par une affirmation de valeurs, sinon ce n'est plus la révolte libératrice, mais le caprice aliénant. Etre libre, c'est être capable de rupture (dire non à un certain passé, à un certain ordre établi, à certaines

"La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres" : cette phrase est devenue une évidence, presque un proverbe. Elle est sans cesse répétée, jamais repensée. Le sujet consiste précisément à s'interroger sur cette "évidence" pour tenter de la remettre en question. Cette affirmation est une tentative de répondre au difficile problème : comment les libertés des différents individus peuvent-elles coexister au sein d'une même société ? "La liberté des uns s'arrête là où commence celle des

Être libre, est-ce pouvoir faire tout ce que l'on veut ? Cette conception répandue de la liberté consiste à assimiler la liberté avec la toute-puissance de la volonté. Être libre serait alors accomplir tous ses désirs. Or l'expérience la plus quotidienne nous indique que l'homme est toujours soumis à des contraintes externes (physiques ou sociales) et internes (instincts, habitudes, passions). Si la liberté est absence d'obstacles, alors elle reste étrangère à la condition humaine. Mais si faire

Autrui et la passion " Il arrive qu'un asservissement total de l'être aimé tue l'amour de l'amant. Le but est dépassé : l'amant se retrouve seul si l'aimé s'est transformé en automate. Ainsi l'amant ne désire-t-il pas posséder l'aimé comme on possède une chose , il réclame un type spécial d'appropriation. Il veut posséder une liberté comme liberté. Mais d'autres part, il ne saurait se satisfaire de cette forme éminente de la liberté qu'est l'engagement libre et volontaire. Qui se contenterait d'un