Homozygote

l'obtention d'une lignée pur et ses enjeux, ensuite nous verrons les croisements entre lignées sélectionnées et enfin les avantages et les limites de cette culture. I. Sélection des lignées homogènes et stables. Lignée : Ensemble d'individus homozygotes identiques entre eux et reproduits identiques à eux-mêmes par autofécondation. Pour obtenir une lignée pure, il faut durant de nombreuses générations, forcer les plantes issues d'un croisement de départ, à recevoir leur propre pollen

chaque génération. Cette graine est prise au hasard dans la récolte de chaque plante de la génération précédente. Back cross La méthode du rétrocroisement consiste à remplacer un locus donné, un allèle défavorable (présent dans un génotype homozygote dit « receveur » ayant par ailleurs de nombreux autres gènes favorables) par un allèle favorable. Ce dernier est apporté par un génotype, dit « donneur » ayant souvent des caractères défavorables contrôlés par les autres locus. Les transfert est

NGAHA AUGUSTIN (pédiatre et diplômé en génétique médicale),la drépanocytose est une maladie génétique à transmission autosomique récessive selon les lois de Mendel où l’on retrouve deux formes : la forme homozygote(HBSS et la forme hétérozygote HBAS) et il en ressort que seuls les sujets homozygotes sont malades. Lors de nos stages pratiques dans certaines structures sanitaires ,nous avons constate la présence et l’évolution de cette pathologie .conscient de son caractère incurable et surtout des complications

l'hémoglobine (Hb) qui est impliqué dans la maladie : La version mutée, l'allèle HbS, de ce gène est responsable de l'anémie, c’est un allèle létal récessif. Dans les populations où sévit le paludisme les individus homozygotes HbS//HbS meurent jeunes suite à une anémie. Les homozygote HbA//HbA sont sensibles au paludisme et risquent d’en mourir. Les hétérozygote HbS//HbA présentent une légère anémie (sans risque vital) et résistent au paludisme. Ils ont plus de chance que les deux autres catégories

En F2 on retrouve 73,3 % de souris grises et 26,9% de souris albinos : ¾ de phénotypes dominants et ¼ de phénotypes récessifs. Les résultats de F3 montrent que les souris blanches sont de lignée pure et que les souris grises F2 sont soit homozygotes soit hétérozygotes. Il est possible de tester la nature des souris grises de F2 en réalisant des croisements-tests: ceux-ci consistent à croiser un individu dont on n'est pas sûr de la nature (souris grise hybride ou de lignée pure) avec

situés au même locus chromosomique, chacun sur 1 des 2 chromosomes homologues. [pic] Le phénotype ne renseigne pas directement sur le génotype (étude plus difficile que chez les Haploïdes) 1) notion d'homozygotie ou d'hétérozygotie | individu homozygote pour le gène considéré | 2 allèles identiques | | individu hétérozygote pour le gène considéré

gouvernant la couleur, c1 l'allèle possédé par les poulets blancs de lignée pure, c2 l'allèle possédé par les poulets noirs. Document 1 : Un organisme diploïde possède dans chacune de ses cellules deux exemplaires de chaque gène. Les parents sont homozygotes (=de lignée pure), donc : - le génotype des coqs blancs est (c1/c1);- le génotype des poules noires est (c2/c2).Les gamètes ne possèdent qu'un seul exemplaire de chaque gène (cf méiose). Chaque parent ne possédant qu'un seul allèle, ne produit qu'un

d'homologues), chaque gène est présent en deux exemplaires, chacun sur un des deux chromosomes homologues. On en déduit qu'il y a donc deux allèles. Deux possibilités existent alors. Soit ceux-ci sont identiques et on dit de l'individu qu'il est homozygote pour le gène, soit ils sont différents et on parle de caractère hétérozygote pour le gène. 3 Expression des allèles et phénotypes 3.1 Phénotype et génotype L'ensemble des allèles détenus par un individu constitue le génotype. Celui-ci reste

Lorsqu’ils sont homozygotes=identiques et hétérozygotes=différentes. Gène dominant : hétérozygote et s’exprime toujours. Gène récessif : homozygote et est masqué par un allèle dominant. Échiquier de Punnett : Exemple : On considère le gène de la couleur des fleurs. On suppose qu'il possède deux allèles : - l'allèle r codant pour la couleur blanche - l'allèle R codant pour la couleur rouge. Les deux variétés de fleurs sont des lignées pures. Les parents sont donc homozygotes pour le caractère

2 - Spécialité Autosome – récessivité – enzymes de restriction – hétérozygotie, homozygotie – un individu est porteur de deux allèles, l’un hérité du père, l’autre de la mère. Evaluation du risque : on est certain que II.2 et II.5 ne sont pas homozygotes (ils ne sont pas albinos), donc leur probabilité d’être hétérozygotes est de 2/3 (et non pas 1/2, si l’on considère l’ensemble de la descendance) Se laisser perturber par des informations inutiles (document 2b, au moins, est inutile). L’exploitation