Humilité

cerner son sujet dans l’espace-temps (passé, présent, futur) et dans l’espace du sujet (ne pas sortir du sujet). Faire attention à la date et l’actualité des documents ! Reprendre les supports, les analyses et le plan. Exprimer son opinion avec humilité en utilisant « Il semble que » plutôt que « il est un fait » car soucis de donner sa chance à l’opinion adverse. Se relire régulièrement pour éviter le hors-sujet et afin que la rédaction soit claire. Toujours veiller à la qualité orthographique

Son projet est de faire un autoportrait « C'est moi que je peins ». Il veut laisser un souvenir à sa famille, ses amis. Projet : Autoportrait (vrai, naturel, sincère) qui met en avant la modestie(autocritique, humilité) Ton ironique, provoquant. Introduction : p146-147 Les essais ont été rédigé plusieurs fois entre 1580 et 1588 . Montaigne est guidé par sa nature et son style . C'est un texte paradoxal. « A sauts et à gambades » « A lecteur »

pauvre frappe à ta porte, garde-toi qu’il emporte une aumône. » En autres mots, si quelqu’un vient cogner pour de la charité, fait pas de dons, même pas un dons de faible valeur. Il continue, et ceci démontre très bien son caractère, « Douceur, humilité, pitié, et charité et amitié, la pratique du jeune, la pénitence me font grand mal a la panse. » En autres mots, toutes ces valeurs de catholicisme lui donne mal au ventre. Il continue, « Faire l’aumône et prier Dieu peuvent aussi me causer un

une femme désirante, qui met au service de son désir tous les avantages dont elle peut user pour conquérir un amant. Elle utilise un langage qui montre une volonté de séduction. Cette scène montre comment s'exprime l'espoir de Phèdre, puis son humilité devant Hippolyte son vainqueur. Une intensité pathétique se dégage de ce moment d'espoir que son destin tragique consent à l'héroïne avant de la broyer. I. L'élan de la conquête (vers 790-812) Renforcée par l'espoir, Phèdre retrouve un langage

la direction du monde avec ardeur, cynisme et violence. Et voyez combien l’ombre de ses monuments s’étend et se multiplie. Chaque mouvement de l’Europe a fait craquer les limites de l’espace et celles de la pensée. L’Europe s’est refusée à toute humilité, à toute modestie, mais aussi à toute sollicitude, à toute tendresse. Elle ne s’est montrée parcimonieuse qu’avec l’homme, mesquine, carnassière homicide qu’avec l’homme. Alors, comment ne pas comprendre que nous avons mieux à faire que de suivre

de la patience, de la lenteur b) Toujours recommencer -> Travail = la deuxième vertu du poète « polissez-le sans cesse et le repolissez » ; « Ajoutez quelques fois et souvent effacer » = guerre aux mots c) Attention aux éloges, aux flatteurs : Humilité, modestie = la troisième vertu du poète Autocritique Ecoute des critiques des autres Flatteurs : vocabulaire dépréciatif, péjoratif : #artiste = humble Conclusion Nous pouvons donc répondre à la problématique, en quoi ce texte correspond-il à

hypocrite et un jaloux, un goinfre et un bon vivant (scène IV). Orgon lui le voit comme un humble, un doux, priant avec de grands soupirs, refusant l'aumône et se chargeant de tous les péchés, un être vertueux combattant tous les vices. Sous cette humilité se cache un ambitieux qui a pris le pouvoir dans la maison d'Orgon. Ainsi la double facette du personnage est présentée et quand Tartuffe paraît, le spectateur connait déjà la duplicité de ce faux dévot et se demande seulement comment les honnêtes

réflexion sur la poésie? I. Une épître adressée au Roi pour lui demander une faveur a) Le poète flatte le Roi Tradition de l’épître: lettre adressée au Roi: “je / vous / nous” (le connaît bien, se permet de parler de “nous”) Humilité de Marot: “vous trouvez assez de rime ailleurs” (pas besoin de lui, le Roi a tous les poètes qu’il veut) Se tourne volontairement en dérision avec des termes dépréciatifs pour le poète, cjoix de sonorités un peu ridicules : “rimailleurs”,

remerciements, ils savent mieux que quiconque la valeur d’une obole), n’a d’égale que leur dépouillement matériel. Une telle personne révisera ses caprices et aura, sans peut-être les pratiquer, connaissance des valeurs qui font avancer les humbles : humilité, courage, détermination, opiniâtreté, etc. Parmi les instruments d’ouverture à la différence ou à l’altérité on peut citer les productions artistiques, en tant que fruits d’une vision propre à une culture donnée, comme instruments par excellence

fois dans ma vie le luxe de me dire ce que je pensais d’Isabelle, de me le dire tout haut ! ». Il n’écarte pas l’éventualité qu’elle refuse, « je me dirai […]. que vous n’avez pas encore dit non », ou même qu’elle ignore sa demande, exposant son humilité de manière tragi-comique: « Ou ne me répondez jamais, et laissez-moi fuir en me bouchant les oreilles. ». Isabelle montre qu’elle a bien entendu et écouté la tirade du Contrôleur qui vient de révéler son prénom ; son adresse à celui-ci, « Monsieur