Individualisme

elle-même créatrice de partage et de lien social. Pour répondre à cette question nous nous appuieront sur différents articles sociologiques, psychologiques et économiques. Nous poserons d'abord un état des lieux de la société actuelle, de son individualisme et de la force de son associatif, puis nous traiterons dans une seconde partie des raisons qui peuvent pousser l'individu lambda à faire du bénévolat. Le constat est clair, nous sommes dans une société individualiste. Alors que tout le monde

Pré-requis : Socialisation Valeurs / normes Statut / rôle Reproduction Culture Intégration Notions du programme officiel : Lien social Socialisation Intégration Exclusion Pauvreté Anomie Déviance Individualisme Solidarité organique / mécanique État-providence Assurance / assistance Redistribution Risques sociaux Universalisme / communautarisme Problématiques essentielles : Comment peut-on expliquer la fragilisation du

marchandise * La plus –value est la valeur produite par la force de travail – la rémunération de la force de travail. Le courant néoclassique : - Chaque agent optimise l’utilisation des biens d’ont il dispose * Equilibre général * Individualisme méthodologique * L’homo oeconomicus (maximum d’utilité pour le consommateur, maximum de profit pour le producteur). * Le libéralisme et la propriété privée. Le courant keynésien : - Nécessiter d’ « aider » les lois naturelles dans la

des degrés et des séparations…là où il faudrait au contraire travailler pour un « centre de l’union » ? Je crois qu’une première réponse est que nul ne peut mépriser la devise républicaine, qui prône l’égalité citoyenne, et la fraternité… Individualisme des sociétés occidentales nanties face à la paupérisation…voire au pillage organisé par leurs soins des ressources de la planète…pour satisfaire une idée économique capitaliste, les Bourses mondiales, les actionnaires, etc.…On fait trimer des

lesquelles il ne peut plus se voir, ni se sentir sans éprouver un profond dégoût. Roquentin n'a plus d'affection pour personne, malgré la « rencontre » de l'Autodidacte à la bibliothèque, avec qui il entamera un dialogue opposant l’humanisme à son individualisme désengagé. Roquentin sent un profond éloignement avec tout ce qui l'entoure. Il ne supporte plus la bourgeoisie de Bouville, ni M. de Rollebon qui lui semble vite bien terne et sans intérêt, car « l’histoire parle de ce qui a existé, [et] jamais

sociales, Genève, Droz. Hannan, M. (1971). Aggregation and disaggregation in sociology, London, Lexington Books. Hirschman, A.O. (1972). Face au déclin des entreprises et des institutions, Paris, Éditions Ouvrières. #Lantz, P. (1986), Holisme ou individualisme : faux dilemme, Bulletin du MAUSS, 20 : 71-87. Olson, M. (1978), La logique de l’action collective, Paris, PUF. •Schelling, T. (1979). La tyrannie des petites décisions, Paris, PUF. #Sivré, V. (1987), L’individualisme méthodologique de Raymond

individuelle face aux diverses institutions sociales et politiques (la famille, le clan,...) qui exercent sur lui certaines règles. Il s'oppose ainsi à l'obligation du groupe envers lequel l'individu a des devoirs. Il ne faut cependant pas confondre individualisme et égoïsme à courte vue. Car si l'égoïste ne considère que ses intérêts personnels, l'individualiste considère l'intérêt des individus et non le sien uniquement. Par exemple, faire partie d'une organisation n'est pas incompatible avec le principe

l’humanitas et s’achève aussi peu en elle que l’individualisme n’y parvient dans le collectivisme sans histoire. Le collectivisme est la subjectivité de l’homme sur le plan de la totalité »3. Du même coup s’éclaire aussi la parenté entre nationalisme et individualisme libéral : le « nous » qui forme le socle du premier n’est qu’un élargissement du « je » caractéristique du premier. Dans le libéralisme, l’individu est légitimé à rechercher en permanence son meilleur intérêt ; dans le nationalisme, l’intérêt

avant l'intérêt individuelle. L'individu est fortement lié aux groupes dont il dépend matériellement et psychologiquement. L'autre partie de la planète vit dans des sociétés de culture individualisme. Dans ces sociétés, l'individu ne dépends du groupe ni matériellement ni psychologiquement. Le degré individualisme est fort dans les pays a potentiels économique élevé alors que les pays a potentiel économique faible, c'est le collectivisme qui prime. Culture à orientation individualiste Culture à

courants sociologiques : 2 approches de la société : holisme et l'individualisme Holisme : Une approche holiste est une approche qui considère que ce sont les structures sociales qui influencent et expliquent les comportements individuels. Individualisme : Considère que les phénomènes collectifs sont le résultat d'action, de croyance ou d'attitudes individuelles. Action sociale = action entreprise en tenant compte des réactions des autres. Il ne faut pas sous estimer la portée de ces 2 courants