Infini

cela, alors sincèrement pourquoi le blâmeraient- t- ils ? il ne fait que ce qu’on lui demande !!! La vie est une sphère dont le noyau est notre environnement, la physionomie de la sphère nous permet d’observer son noyau à partir d’un nombre infini d’angle, comme la vie nous procure une infinité de point de vue sur notre environnement, à nous de choisir celui qui nous conviens et nous procure le résultat souhaité, vous me dirait ce n’est pas si simple que ça ; je vous répondrais que la rose

le nombre 4 ça veut dire que le nombre 4 est autorisé ! Donc si on écrit x  3; 4 ça veut dire 3  x  4 (sans le signe égal sous inférieur du côté du 3 car on a pas le droit de prendre 3 par contre on peut prendre 4 !) Le symbole  signifie infini ! L’infini n’existe pas alors forcément du côté où il y a l’infini c’est ouvert ! l’infini n’est pas un nombre, on ne peut pas l’atteindre ! Voilà la correction de ton exo mais je vais pas faire ça toute l’année !!!! x  7; 7, 5 ça veut dire

absolument heureux »[19]. « Il n’est jamais moins misérable que quand il paraît dépourvu de tout ; car la misère ne consiste pas dans la privation des choses, mais dans le besoin qui s’en fait sentir. Le monde réel a ses bornes, le monde imaginaire est infini ; ne pouvant élargir l’un, rétrécissons l’autre ; car c’est de leur seule différence que naissent toutes les peines qui nous rendent vraiment malheureux »[20]. « En général, la vie dure, une fois tournée en habitude, multiplie les sensations agréables

le nombre de lancers. Graphiquement, on observe un « lissage » des hauteurs de bâtons lorsque l’on augmente considérablement le nombre de lancers (« Notion d’équiprobabilité pour un dé non truqué »). Conclusion : En extrapolant sur un nombre infini de tirages, l’expérience confirme bien la prévision.

quatrains et les deux tercets. Ce qui montre les deux thèmes abordés par le poète grâce à cet séparation. b).Nous pouvons observer deux sortes d'allitérations, en « r » : « crachats », « mitraille », « croulent » et en « f » : « sifflent », « infini », « feu » ; qui donnent des sonorités dures au texte. Les sonorités en « r » souvent utilisés pour exprimer un sentiment négatif, désagréable est utilisés ici pour montrer la violence, la saleté et l'horreur de la guerre. Les sonorités en « f »

durent que des instants sans épaisseur. Si l'instant mathématique n'a pas de durée, pas plus que le point mathématique n'a de dimension, il est exclu que quelque chose se passe durant une somme, serait-elle infinie, d'instants et il est clair que la série convergente oblige à considérer une somme infinie de durées, qui deviennent de plus en plus petites sans jamais équivaloir à des instants. Il faudrait dire que puisque la somme des espaces parcourus a une limite finie, il en est de même pour le temps

strophe,la métonymie du "coeur" représentant les sentiments, et la mention d'"esprits" étant sans ambiguité.Avant d' évoquer l' échange de regards, la scène offre la mise en abyme de deux êtres similaires plongés l' un dans l' autre et se reflétant à l' infini par la métaphore du miroir. L' union se répercute aussi dans le ciel " rose et bleu" , pôles masculin et féminin, et l' éclair est le symbole du Kairos,figeant un instant crucial avant la séparation: " Nous échangerons un éclair unique, Comme un

mais le choix est limité. Il s’agit bien d’une résolution du problème: quel film choisir parmi ce qu’on nous offre? La seconde option est d’organiser une soirée à thème avec des amis. C’est beaucoup plus complexe car le nombre de possibilités est infini, et il faut “négocier” certains choix avec les amis en question. Nul ne peut savoir à l’avance ce que donnera la soirée, qui sera en quelque sorte “créée au fur et à mesure”. La soirée ainsi conçue est donc, dans une certaine mesure, une action entrepreneuriale

16 Style indirect libre (l17 à 21) « pleins d’ambitions idéales et de délires fantastiques » , l.14 Manque de précision (lesquels ?). Adjectifs un peu creux - Comparaison : la vie rêvée, la ville rêvée = Paris comparée à un océan (caractère quasi infini de cette étendue qui révèle la notion d’immensité). Superlatif : « plus vague que »l.1 - Anaphores «  on y était pâle, on se levait, l.8…on soupe, l.12 - Enumération et accumulation : des parquets dans des salonsl.5, « des robes…des angoisses…des

61 : de même que la science, qui constate que la nature est formée d’une infinité de composantes (exemple de la campagne), la théologie est une science dont le sujet est l’homme et elle est par conséquent confrontée à sa diversité. • Dans cet espace infini, l’homme est bien petit et prend conscience de sa contingence : « je m’effraie et m’étonne de me voir ici plutôt que là, car il n’y a point de raison pourquoi ici plutôt que là, pourquoi à présent plutôt que lors. Qui m’y a mis ? » (fr. 64). Et même