Infraction D Omission

intellectuel ou moral, on navigue dans l’intention - SECTION I : L’élément matériel de l’infraction Acte d’action ou anti-acte cad une omission qui englobe très svt mais pas tjrs un résultat Le DP ne sanctionne pas les simples idées ni les mauvaises pensées DP n’intervient que lorsque ces éléments ne se manifestent que par un acte ou une absence d’acte ex : omission de porter secours L’infraction repose tjrs sur un fait Ppe posé par l’art 121-1code pénal : « nul n’ai responsable pénalement que

l’arbitraire des juges est synonyme d’injustice. Les infractions et les peines doivent être fixées par la loi. Montesquieu sera le premier philosophe a exprimé cette idée dans De l’Esprit des lois. Mais c’est Beccaria qui va la conceptualisée dans son Traité des délits et des peines. Le rôle du juge devra se limiter à appliquer la loi et seul le législateur, représentant le peuple et investi de la légitimité populaire, doit déterminer les infractions et peut donc limiter les libertés individuelles. 

difficultés: ➢ l’application dans le temps ➢ l’application dans l’espace ➢ l’interprétation de la norme pénale §1. L’application de la loi pénale dans le temps Définition: Il y a un conflit de loi pénale dans le temps lorsqu’une infraction est commise sous l’empire d’une loi et qu’elle est jugée sous l’empire d’une autre. A/ Conflit de lois pénales de fond 1/Définition La loi pénale de fond est la loi qui définit une incrimination et qui précise les peines attachées à cette incrimination

Le code pénal se contente de dire que la complicité est surtout celle d’une infraction. Cependant le fait punissable principal est très important. On peut avoir des conceptions différentes de la complicité. On peut imaginer de réprimer la complicité uniquement en prenant en compte ce que fait le complice. Autrement dit réprimer la complicité d’une manière indépendante, d’une manière autonome par rapport à l’action principale. Ce n’est pas le système que l’on retient en droit français dans lequel

1807, sous Louis XV, scandale sur titres papier soldé par banqueroute => premières grandes infractions apparaissent sous le 2nd empire avec apparition du phénomène sociétaire Loi du 24/07/1866 : réglemente certain nbre d'infraction du DPS Années 30 : affaire Stavisky => mise en examen pour affaire d'escroquerie Décret-Loi 1935 : nouvelles infractions du DPA : délit de biens sociaux et présentation de bilan inexacte Loi du 24/07/1966

ordres : l'autorité judiciaire, dans son pouvoir de qualification/requalification, ne peut en aucun cas englober par une qualification nouvelle des faits dont elle n'est pas saisie (« le juge ne doit pas modifier la prévention ») la qualification d'une infraction doit être déterminée au regard du « temps de l'action » : tout changement ultérieur de la situation est inopérant ; l'infraction est « cristallisée » dès lors que ces éléments constitutifs sont rassemblés → souci de sanctionner une volonté délictueuse

au sens pénal du terme sans loi. Il n’existe aucune peine ne correspondant pas à ses infractions sans loi. Conséquences : - Il n’est pas possible de reprocher pénalement à une personne une action, une omission, une conduite avec l’appuie de poursuites si ce qui lui est reproché n’est pas contenu dans la loi. Art 111-3// Art 8 de la DDHC. Il faut que le législateur décrive une conduite comme étant une infraction méritant une peine - Le juge n’a pas la possibilité de décider par lui même que

ainsi que les sanctions applicables. Le principe de la légalité revêt ainsi une double signification. D’abord, il impose que les infractions pénales soient clairement définies. Cette acception correspond à la légalité matérielle exprimée par la formule Nullum crimen sine lege, nulla poena sine lege. Dans un second sens, le principe de la légalité implique que les infractions soient définies par la loi au sens strict, c’est-à-dire déterminées par les représentants du corps social. Il s’agit de la légalité

 Chapitre 1 Le fait imputable C’est un fait personnel car la responsabilité pénale est une responsabilité du fait personnel, article 121-1 du NPC. C’est un fait injuste, une infraction ne peut être imputée à une personne si elle est juste, certains faits peuvent donc légitimer la commission d’une infraction. Section 1 Le fait personnel On se fonde sur le libre arbitre, la liberté individuelle. Chacun doit répondre du mauvais usage de sa propre liberté. C’est d’abord la jurisprudence qui a reconnu

existe des milliers d’infractions, sous ce terme, on retrouve des comportements différents. On retrouve aussi bien le crime de l’humanité, ainsi que la vente à perte, en prenant les deux extrêmes. Il y a un point commun entre toutes les infractions, en effet, une infraction présente toujours identique, soit la réunion de 2 éléments, un matériel et un moral (ou élément intellectuel). Ce sont des éléments constitutifs puisque à eux deux, ils constituent l’infraction. L’élément matériel renvoie au comportement