Iroquois

religieux. On en trouve de grandes manifestations sur la côte du Nord-Ouest (Kwakiutl, Haidas, Tsimshians), dans les grandes Prairies du Nord (Pieds-Noirs, Peigans, Gens du Sang, Sarsis) et dans les forêts du centre et de l'Est (Ojibwés Cris, Hurons, IROQUOIS). En général, les groupes athapascans de la région subarctique et les Inuits de l'Arctique ont des cérémonies religieuses moins complexes, mais riches en mythes traditionnels (voir INUITS, MYTHES ET LÉGENDES DES). Mythes de la création, du filou

Ericksson se fait chasser et arrive au canada VinLand (raisin, bleuts) Maison 70 pieds x 50 pieds Quatre a six chambres Sable et argile ----» Toit de tourbe » Isolation » Protection Forge (forgeron) Fillages (Femmes) Skraeling : Affreux (les iroquois) L'anse aux meadows Motifs des explorations Européens #1 Économique #2 Politique #3 Religieux #4 Technique En Europe 5 grandes puissances 1 Portugal 3 Millions de personnes Berthelemy Diaz 2 Espagne 3.5 Millions de personnes Christophe

les objets, et un jour il va être missionné par un musée pour récolter des objets dans une tribu des indiens Iroquois. En 1847 il va passer 2 ans avec la tribu, et va s’intéresser à la forme d’organisation sociale qu’il va ensuite théoriser pour un donner un schéma de l’évolution. C’est la naissance de l’anthropologie en termes de pratique. Puis en 1851 Il publie la « ligue des Iroquois », et se consacre désormais à son travail de théorisation de l’évolution de l’être humain, c’est un anthropologue

colonies françaises contre les colonies anglaises. Les troupes françaises de Nouvelle France sont commandées par louis Joseph, marquis de Montcalm. Les anglais envoient 50000 soldats pour soutenir les colons ainsi que leurs allies indiens ; les iroquois regroupent cinq tribus. Tandis que les français sont soutenus par les indiens de l’ouest. Les anglais sont « les maitres de la mer » en capturant 300 vaisseaux marchand et faisant prisonnier 6000 marins en atlantique. Lors des premiers combats

démocratie, des conseillés élu par les citoyens, proposaient des nouvelles lois au roi. Enfin, la confédération des Iroquois. Seuls les hommes de certains clans pouvaient être nommés chefs et certains clans étaient exclus, seules les femmes les plus âgées d'un même clan pouvaient s'exprimer pour choisir ou révoquer le chef de ce clan, ce qui excluait une majeure partie de la population des Iroquois. Un détail intéressant est qu'aucune décision n'était prise sans l'obtention d'un consensus parmi les chefs

c'est-à-dire de la capacité à surmonter un traumatisme (NB : B. Cyrulnik a écrit la préface du livre Tagueurs d'espérance écrit par Tim Guénard). Abandonné à l'âge de trois ans par sa mère, qui l'a eu à l'âge de 16 ans, il est confié à son père, Iroquois d'origine, ancien commando et garde du corps dans une ambassade. Furieux du départ de sa compagne, le père de Tim se réfugie dans l'alcoolisme et dans la maltraitance. Alors qu'il a cinq ans, il se plaint auprès d'une assistance sociale. Apprenant

siècle, les Hurons et les Iroquois de font souvent la guerre. Les Hurons désignent par « onantsira » le trophée guerrier composé de la peau de la tête avec ses cheveux5. La colonie du Canada n'est jamais bien rassurée, car la violence entre peuples sauvages et entre sauvages et colons est fréquente. Guerrier Iroquois, par Jacques Grasset de Saint-Sauveur. En 1703, un métis appelé Dubosc, né d'une mère française et d'un père métis, avait été fait prisonnier par dix Iroquois, et attendait avec crainte

mon visage. Mon nez, à lui seul, compte vingt-sept fractures. Vingt-trois proviennent de la boxe ; quatre, de mon père. Les coups les plus violents, je les ai reçus de celui qui aurait dû me prendre par la main et me dire " je t’aime ". Il était iroquois. Quand ma mère l’a quitté, le poison de l’alcool l’a rendu fou. Il m’a battu à mort avant que la vie ne poursuive le jeu de massacre. J’ai survécu grâce à trois rêves : me faire renvoyer de la maison de correction où j’étais placé - un exploit jusqu’alors

Que serait l’homme dans l’état qu’on nomme de pure nature? Un animal fort au-dessous des premiers Iroquois qu’on trouva dans le nord de l’Amérique. Il serait très inférieur à ces Iroquois, puisque ceux-ci savaient allumer du feu et se faire des flèches. Il fallut des siècles pour parvenir à ces deux arts. L’homme abandonné à la pure nature n’aurait pour tout langage que quelques sons mal articulés; l’espèce serait réduite à un très petit nombre par la difficulté de la nourriture et par le défaut

Kerkabon, sa femme, sur la frégate l'Hirondelle, en 1669, pour aller servir en Canada. S'il n'avait pas été tué, nous pourrions espérer de le revoir encore. -Croyez-vour, disait mademoiselle de Kerkabon, que notre belle-soeur ait été mangé par les Iroquois, comme on nous l'a dit, Il est certain que, si elle n'avait pas été mangée, elle serait revenue au pays. Je la pleurerai toute ma vie : c'était une femme charmante; et notre frère, qui avait beaucoup d'esprit, aurait fait assurément une grande fortune »