Iroquois

rivalités existaient déjà avant que les Européens débarquent, la traite des fourrures ne fait qu’accentuer les conflits par l’appât du gain. Les Anglais ne vont pas sur le territoire des Iroquois, contrairement aux Français qui envoient des missionnaires et construisent des forts. Les Anglais demandent aux Iroquois de subordonner les autres peuples autochtones. Ainsi, l’idée iroquoise est de déstabiliser le commerce avec les Français pour amener les autres peuples à venir commercer à Albany. C’est

crédules et ignorantes, bien que bonnes (« son caractère était bon et sensible », « elle aimait le plaisir », « aimé de ses voisins », « une grande considération »). La sœur de l’abbé demande «croyez-vous que notre belle-sœur ait été mangée par les Iroquois, comme on nous l’a dit ?» et cette question montre sa crédulité. Les Kerkabon se laissent également offrir de la boisson par un inconnu à plusieurs reprises (« Il leur en fit reboire encore ») et ils en sont tellement charmés qu’ils « lui offrent

nom de la personne réelle était caché, le lecteur s’amusait à l’identifier. -“il est à quelque quarante-huit degrés d’élévation du pôle, et à plus d’onze cents lieues de mer des Iroquois et des Hurons”—>Termes techniques empruntés à la géographie —> LB prend comme point de repère le pays des Hurons ou des Iroquois (l’Amérique) pour situer la France. On comprend ainsi que le locuteur est un Indien. —>Le regard de l’étranger opère un renversement : c’est la Cour qui apparaît comme un

membres meurent durant l’hiver atteints par le scorbut. En 1541, Cartier retourne à Québec. Alors que la mission était confiée à Jean-François de La Roque de Roberval. La relation avec les amérindiens se dégrade, car ils remarquent qu’aucun des 7 iroquois qu’il avait emporté au cours de son précédent voyage n’est revenu. Au retour, il fait évaluer des pierres du Canada. Elles sont finalement sans valeur. Roberval fonde une colonie à Québec qui est un échec. Les programmes de colonisation : Programme

voir dans cet usage une espèce de subordination ; car ce peuple paraît adorer le prince, et le prince adorer Dieu. Les gens du pays le nomment*** ; il est à quelque quarante-huit degrés d'élévation du pôle, et à plus d'onze cents lieues de mer des Iroquois et des Hurons. »Présentation de l’auteur et de l’œuvre : Moraliste académicien du XVIIe siècle et précepteur du Duc de Bourbon, La Bruyère observe avec ironie et lucidité les milieux aristocratiques de la cour de Louis XIV. Il est rendu

mythes et les légendes d'un peuple lointain. Il montre une opposition, un fossé entre la vie de la Cour et la vie du peuple. Tout au long de ce texte La Bruyère utilise une métaphore filée sur le thème du '' pays étranger '' comme si de idiens ( Iroquoi ou Hurond ) venaient visiter la France est ici plus particulièrement la cour de Versailles. Nous relevons successivement les mots suivants : '' Une région '' (l.1) ; '' Cette contrée '' (l. 13) ; ''la nation '' (l.17) Il adopte un point de vue

une croix de 30 pieds de haut à Gaspé pour prendre possession du territoire au nom du roi de France. Sur cette croix, un blason royal est apposé avec l’écriteau « vive le Roy de France ». Il nomme cette terre « Canada » dont l’origine vient du mot iroquois « Kanata » signifiant village. Cependant, cette croix déplaît fortement à Donnacona, chef des autochtones. Pour calmer la colère du chef, Cartier présente la croix comme un simple point de repère. Le 25 juillet, Cartier quitte Gaspé et explore le

trouver foyer à Québec et Samuel leur vient en aide. Il fait par la suite alliance avec les Montagnais et les Algonquins pour faire la guerre aux Iroquois et aux semi-nomades, ennemis pures. Il effectue également de nombreux aller-retour entre la France et le Québec mais revient en Amérique du Nord en 1610 pour faire la guerre à nouveaux aux Iroquois et avec une autre victoire dans la poche, il apprend la mort d’Henri IV. Quelques années plus tard, il n’y a toujours pas de population au Québec

critiquer ni les personnages ni la société. Si on publiait une œuvre jugé comme une critique ou une attaque elle était censurée. Un auteur ne pouvait donc pas publier n’importe quoi, il devait être attentif au jugement du roi Louis XV. -Huron : iroquois, ou indien du Nord ayant ni religion ni culture. Les anglais avaient évangélisés la plus part des habitants de leurs colonies. En Europe on les considérait comme des sauvages. -Jésuites : Ordre fondé par Ignance de Loyola, valorisant le libre arbitre

dispositifs à caractère démocratique ont également été distingués dans certaines tribus de la Confédération des Iroquois. Seuls les hommes de certains clans pouvaient être nommés chefs et certains clans étaient exclus, seules les femmes les plus âgées d'un même clan pouvaient s'exprimer pour choisir ou révoquer le chef de ce clan, ce qui excluait une majeure partie de la population des Iroquois. Un détail intéressant est qu'aucune décision n'était prise sans l'obtention d'un consensus parmi les chefs