Iroquois

tout moment de se faire tuer ou d’être fait prisonnier.   Le régiment de Carignan-Salières a été envoyé en Nouvelle-France en 1665 afin de défendre les établissements français.  Des villages iroquois ont été brûlés, ne laissant plus qu’une seule issue à cette communauté.  Le 10 juillet 1667, les Iroquois ont donc accepté de faire la paix et le régiment a été renvoyé en France. Attirés par la perspective de posséder une terre en propre, de nombreux soldats ont toutefois décidé de rester en Nouvelle-France

(École des Ursulines) et des Hospitalières (Hôtel-Dieu de Québec) 1642: Paul Chomedey de Maisonneuve et Jeanne Mance fondent Ville-Marie (Montréal) 1648-1650 : Destruction de la Huronie par les Iroquois 1659 : Monseigneur de Laval, premier évêque de Montréal 1663 : Arrivée des premières Filles du Roy. 1665 : Arrivée du régiment de Carignan-Salières 1665 : Jean Talon premier intendant de la Nouvelle-France. Politique

sandales, le chef orné de long cheveux en tresses […] ». Mais il se montra toujours d’une grande politesse et l’étonnement s’accroit lorsque l’inconnu aux pieds nu parle très bien le français. Il rompt totalement avec l’image européenne donné aux Iroquois mais n’est en aucun cas un anglais. Nous pouvons sous entendre dans cet incipit une satire dans ses différents portraits, il y a une évocation plaisante de la religion ainsi qu’une relation entre l’européen et l’étranger très distincte. Ensuite

à coups de flèches, que nous prenons du poisson partout où il s'en trouve, que nous suivons les hommes et les bêtes fauves à la piste dans les prairies et les bois, l'été comme l'hiver, que nous vivons de racines quand nous sommes aux portes des Iroquois, que nous savons manier la hache et le couteau pour faire mille ouvrages nous-mêmes. Car, si nous faisons toutes ces choses, pourquoi ne les feriez-vous pas comme nous ? N'êtesvous pas aussi grands, aussi forts et aussi robustes ? Vos artisans ne

de France décide, à l’aide de ses ministres, de faire un remodelage de la traite des fourrures. On cherche premièrement à mettre un terme aux conflits avec les Iroquois qui avaient tendance à mettre un frein a la traite des fourrures. On envoie donc des hommes provenant de France et on construit des forts pour se défendre contre les Iroquois. La paix entre les deux partis est conclue en 1677 et la traite est relancée, mais d’une autre façon. Plutôt que d’attendre les fourrures dans les postes, on se

culturelle : subarctique de l’est Famille linguistique : algonquinne Mode de vie : nomade Activités de subsistance : chasse et pêche, cueillette de petits fruits et de plantes Habitations : tente contituée de stucture de bois circulaire (wigwam) Iroquois Aire culturelle : Nord-est Famille linguistique : iroquoienne Mode de vie : sédentaire Activités de subsistance : cultures, chasse et pêche, cueillette de petits fruits Habitations : maison longues Stucture sociale Nomade : moins complexe

Dela ligne 33 à la ligne 35, on peut noter la présence du champ lexical de la marine : « quarante-huit degré » (l33), « pôle » (l34), « lieues » (l34), « mer » (l34) . Ce champ lexical évoque lesvoyages des grands explorateurs. La référence aux « Iroquois » (l) et aux « Hurons » (l), nous donne l’idée que la cour est un pays que l’on a du mal à situer clairement. L’hyperbole « onze cents

sauvages Amériquains comparées aux mœurs des premiers temps, Paris, 1724) 12. Fête générale des Morts chez les Hurons et les Iroquois ......................................................................................................51 (Joseph Lafitau, Mœurs des sauvages Ameriquains comparées aux mœurs des premiers temps, Paris, 1724) LISTE DES TABLEAUX 13. Guerrier iroquois .........................................................................................................................

opasser l'hiver à cause du gel entourant les navire . Beaucoup defrançais vont mourir ( 25 sur 110 ) . Cartier lui survit et retourne en France en compagnie de Donnacona qui voulait presenter à François 1er . Donnacona meurt en 1539 , d'autre iroquois meurt aussi , certains se marrie . Mais aucun ne partiras de France . Son troisieme voyage un peu calamiteux lui feras ramener des diamant en Fance .. des dimants qui ne sont qu'enfaite du pyrite et du quartz sans valeur . Il meurt le 1 er

Wrestler  : 2 catcheurs sur le ring avec un arbitre caractérise ces règles du jeu. Mais le but recherché est toujours le même : battre l’adversaire, obtenir la victoire. Cette violence dans l’exercice de la lutte était également habituelle chez les Iroquois comme nous le précise François Delsahut : les jeux des enfants s’apparentaient à une véritable mise en situation de guerre, empreinte d’une grande violence ; deux camps qui s’affrontent pour la victoire finale. Luc Collard dans son interview nous