Isidore de Séville

pratique du théâtre semble inconnue du Haut Moyen Âge : si les œuvres dramatiques de Térence ou de Sénèque ne sont pas totalement oubliées, elles sont envisagées indépendamment de toute pratique scénique, à tel point que dans ses Étymologies, Isidore de Séville (vers 570-636) commet un contresens sur ce que devait être le théâtre antique : il pensait que le texte et le jeu étaient dissociés, qu'un récitant prenait en charge l'ensemble des répliques de la pièce tandis que d'autres intervenants se contentaient

après la destruction de la seconde basilique, l'empereur Justinien décide de la reconstruire, cette fois beaucoup plus grande et majestueuse que les deux précédentes, consacrée à la Sagesse Divine. Justinien choisit comme architectes le physicien Isidore de Milet et le mathématicien Anthémius de Tralles, qui mourut au bout d'un an. Les architectes dessinèrent un bâtiment inspiré du Panthéon de Rome et de l'art chrétien primitif d'Occident. Ce style, qui a également subi, dans d'autres bâtiments, des

montagnes, la sierra Nevada, qui culmine au mont Mulhacén (3 481 m), le plus haut d'Espagne. Climat : les températures les plus élevées d'Europe, oscillant entre 14 °C en janvier et 26 °C en août, avec des pointes à près de 40 °C. Principales villes : Séville (704 000 habitants), Málaga (524 400 habitants), Cordoue (314 800 habitants), Grenade (240 000 habitants), Jaén (115 000 habitants), Almería (181 700 habitants), Cadix (133 360 habitants) et Huelva (142 300 habitants). Population : 8 353 843 habitants

Superficie d'environ 2,5 millions de kilomètres carrés. Son ouverture vers l'océan Atlantique par le détroit de Gibraltar est large de seulement 14 kilomètres. Littéralement une « mer au milieu des terres » [en latin mare medi terra (selon Isidore de Séville au VIIe siècle)].  Durant l'Antiquité, la Méditerranée était une importante voie de transports maritimes; permettant l'échange entre les cultures de la Mésopotamie, de l'Égypte, sémitiques, persanes, phéniciennes, carthaginoises, grecques

ville, le Port de la Lune, est classée depuis juin 2007 au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO pour l'ensemble urbain exceptionnel qu'elle représente. Par le passé, plusieurs hypothèses ont tenté d'expliquer l'origine du nom Bordeaux. Isidore de Séville avançait comme origine Burgos Gallos (le bourg gaulois); en 1695, le Mercure de France proposait «la bourde et la jall ». Dans Recherches sur la ville de Bordeaux, l'abbé Baurein se basait sur origine celtique de burg (la ville) et de cal (le

Ifuraces habitaient l'ancienne tripolitaine et sont des Zénètes Berbères, que Corripus a désigné dans son livre de Johanide par Ifuraces18,19. Les étymologies antérieures au 20e siècle ne sont plus aujourd'hui que des curiosités historiques : Isidore de Séville tirait ce nom du latin aprica (« ensoleillée »); Léon l'Africain invoquait un motgrec fictif a-phrike (« sans froid »). Longtemps, le terme Afrique n'a servi qu'à désigner l'Afrique du Nord à dominante arabo-berbère, le sud à majorité noire

furent pour le IVème siècle le "De doctrina christiana" de saint Augustin6, pour le VIème siècle les "Institutiones divinarum et saecularium lectionum"7 de Cassiodore (v.485-v.580), pour le VIIème siècle les "Origines" ou "Etymologiae"8 d'Isidore de Séville, et pour le IXème siècle "l'Institutio clericorum"9 de Raban Maur (776-856). Dans tous les cas, il s'agit d’œuvres qui analysent les instruments de travail qu'on peut utiliser pour comprendre et interpréter correctement la "Scriptura Divina", puisque

Distinction entre lois humaines et divines La définition du droit naturel par Gratien dans un premier temps lui permet ensuite de définir les lois divines qui en découlent, et de les distinguer des lois humaines. Dans ce but, Gratien cite Isidore de Séville, religieux du 7ème siècle : « Les lois divines se tiennent dans la nature, les lois humaines dans les mœurs ». Gratien ne distingue aucun autre type de lois, selon lui « Toutes les lois sont soit divines, soit humaines ». Le caractère religieux

semble inconnue du Haut Moyen Âge[->31] : si les œuvres dramatiques de Térence[->32] ou de Sénèque[->33] ne sont pas totalement oubliées, elles sont envisagées indépendamment de toute pratique scénique, à tel point que dans ses Étymologies, Isidore de Séville[->34] (vers 570-636) commet un contresens sur ce que devait être le théâtre antique : il pensait que le texte et le jeu étaient dissociés, qu'un récitant prenait en charge l'ensemble des répliques de la pièce tandis que d'autres intervenants

nouveau à l'Antiquité, ce qui accompagna le mouvement intellectuel de l'« humanisme »5. En fait, l'Antiquité était loin d'être inconnue au Moyen Âge : une partie de la culture antique était conservée dès le haut Moyen Âge grâce à Boèce, Isidore de Séville, Bède le Vénérable… ; Platon était déjà connu à la cour de Charlemagne (même si celui-ci avait des difficultés à écrire), sous l'influence de plusieurs lettrés (Alcuin…) ; les auteurs tels qu'Ovide, Virgile, Cicéron, (liste très incomplète)…étaient