Jean-Jacques Servan-Schreiber

en 1977 au financier James Goldsmith, patron de la Générale Occidentale. Françoise Giroud en restera longtemps blessée. En réalité, il semble que Servan-Schreiber n'avait plus envie de s'occuper au quotidien de L'Express. D'après son frère Jean-Louis, la vraie cassure avait eu lieu en mai 68 où il avait senti son journal commencer à lui échapper. Jean-François Revel prend alors la direction de L'Express avec Olivier Todd comme rédacteur en chef. Et Raymond Aron rejoint la rédaction comme éditorialiste

acceptables pour atteindre le but que l'on s'est fixé. 1943: Il rencontre Jean-Paul Sartre et devient lecteur chez Gallimard. 1944: Caligula et Le Malentendu 1945: Lettres à un ami allemand 1946: Il quitte Combat et publie La peste . 1948: L'Etat de siège 1949: Journaux de voyage 1950: Les Justes et Actuelles I 1951: Engagé à gauche, il dénonce le totalitarisme en Union soviétique dans L'homme révolté puis se brouille avec Jean-Paul Sartre, après la publication d'un article dans la revue Les Temps

5ème république le parti radical va perdre de son influence, car il s’est imposé au retour du général de gaule au pouvoir et à l’adoption de la nouvelle constitution. En 1971, le parti connait un nouvel élan avec l'arrivée à sa tête de Jean-Jacques Servan-Schreiber, qui va faire passer le parti au centre droit. En 1974, le parti radical va soutenir François Mitterrand pour l'élection présidentielle. A cette même date, il prend le nom de parti radical valoisien, en référence à la place de Valois où

indignées de ses lecteurs. Jean-Jacques Servan-Schreiber publiera une lettre d'excuses en première page du journal, ce qui n'arrangera pas ses relations avec Siné, celui-ci continuant à publier des dessins engagés dans le journal. Défendu par Jacques Vergès, alors avocat du FLN, il quitte L'Express en 1962 pour créer son propre journal, Siné Massacre, dans lequel il exprime son anticolonialisme, son antisionisme, son anticapitalisme, son anticléricalisme et son anarchisme. Jacques Vergès fonde une revue

insuffler l’esprit d’entreprise et aider les dirigeants de PME dans leurs décisions quotidiennes, le magazine mensuel L’Entreprise s’est vite imposé sur son créneau. Il a trois pères fondateurs: Jean-Louis Servan-Schreiber (vrai entrepreneur de presse), Jean Boissonnat (le plus économiste des journalistes) et Jacques Barraux, devenu ensuite directeur de la rédaction du quotidien Les Echos. Lancé par le groupe Expansion et Ouest-France, ce petit frère de L’Expansion est d’abord vendu exclusivement par abonnement

journal L’Expansion. L’Expansion, le plus ancien magazine économique français, fondé en 1967, porteur dès l’origine de certaines valeurs, telles que le sérieux, l’approfondissement, l’analyse et le rejet des modes. Ses fondateurs, Jean-Louis Servan-Schreiber et Jean Boissonnat, ambitionnaient de faire de L’Expansion un outil pédagogique pour les cadres et nouveaux acteurs économiques des années soixante. L’exigence de qualité est particulièrement impérative pour la presse économique, qui s’adresse

et furent présidents du Conseil. Auguste Champetier de Ribes fut président du Conseil de la République et Pierre Schneiter, président de l'Assemblée nationale. Divisés sur la question algérienne ses membres se rallièrent au gaullisme, ou bien, avec Jean Lecanuet, fondèrent, en 1966, le Centre démocrate futur CDS qui compose l'UDF Les derniers ministres MRP ont été ceux du gouvernement de Georges Pompidou (Pierre Pflimlin (1956-59), Maurice Schumann (1944-49)). Ils ont démissionné à la suite de la

lorsque Jean-Jacques Servan-Schreiber devient secrétaire général du parti et rejoint définitivement les centristes réformateurs. Une partie des radicaux, toutefois, refuse cette alliance et créé le Mouvement des Radicaux de Gauche qui adhère au programme commun des gauches en 1973. Le mouvement radical est scindé en deux. Par ailleurs, on peut se demander s’il convient de voir, à travers cette scission, la fin du modèle radical. D’un point de vue sémantique, le parti mené par Servan-Schreiber, après

sont pas acceptables pour atteindre le but que l'on s'est fixé. En juin 1943, il rencontre Jean-Paul Sartre avec qui il se lie d'amitié et devient lecteur chez Gallimard. Trois ans plus tard, il quitte définitivement Combat et publie La peste qui connaît rapidement un franc succès. Engagé à gauche, il dénonce le totalitarisme en Union soviétique dans L'homme révolté (1951) puis se brouille avec Jean-Paul Sartre, après la publication d'un article dans la revue Les Temps modernes d'un compte

Républicains Iindépendants (centre). Au cours de ce spetennat, on a assisté à la mise en place de reformes de société ainsi qu'a un affrontement UDF (Union pour la démocratie française) du président et le RPR (Rassemblement pour la République) de Jacques Chirac ainsi qu'une montée de la gauche après la rupture du programme commun (Parti Socialiste - Parti Communiste – Radicaux de Gauche) en 1977. Comment ces différentes tensions ont-ils conduit à l'échec de VGE en 1981 ? 1) L'arrivée au pouvoir