Jean-Pierre Léaud

Arte 2008 : La frontière de l'aube de Philippe Garrel En tant que réalisateur / 2008 : Mes copains En tant que comédien / Eli, Eli, de Thibault Vinçon, mise en scène de David Geselson 2004 : Les pas perdus, de Denise Bonal, mise en scène de Jeanne Champagne 2004 : Les Vagues d'après Virginia Woolf, mise en scène Guillaume Vincent 2005 : Être sans destin 2005 : Rester vivants et Poèmes 2005 : Un garçon naturel 2005 : Le livre de ma mère 2005 : Dionysos impuissant, mise en scène

Elle l'aide alors à repasser la frontière, en lui fournissant notamment de la teinture pour cacher sa très reconnaissable chevelure rousse[4]. Elle a été mariée à l'avocat Georges Kiejman, puis à Thierry Funck-Brentano, filleul[réf. nécessaire] de Jean-Luc Lagardère, et actuel directeur des ressources humaines et de la communication du groupe Lagardère, avec qui elle a eu deux enfants : Mathieu et Iris. Engagements[modifier] Intellectuelle engagée dans les combats de son époque (elle fut, en

à écrire (avant de voler des baisers), il va brûler le domicile conjugal, il va fuir l'amour de sa mère. Il trouve ainsi en Jean-Pierre Léaud son parfait alter-ego. Au delà de la ressemblance physique, l'air buté et farouche, souriant et charment, le jeune acteur transperce l'écran. Quand il annonce au proviseur le décès (mensonger) de sa mère, il rappelle la folie de Jean-Louis Barrault dans Drôle de drame avec un simple mais saisissant : "Elle est morte!" Son charisme nous pousse, naturellement

Fiche technique : Distribution : Jacqueline Bisset, Jean-Pierre Léaud, Jean-Pierre Aumont, Dani, Nathalie Baye Réalisateur : François Truffaut Scénariste : François Truffaut, Jean-Louis Richard, Suzanne Schiffman Musique : Georges Delerue Image : Pierre-William Glenn Décors : Damien Lanfranchi Son : René Levert, Antoine Bonfanti  Costumes : Monique Dury Photographes : Pierre Zucca Assistants réalisateurs : Suzanne Schiffman, Jean-François Stévenin Production : Marcel Berbert Directeur

HDA : LES 400 Coups de François Turffaut Réalisateur : François Truffaut Scénario : Marcel Monssy Production : Les Films du Carrosse Durée : 1h33 min Genre : Récit autobiographique et initiatique* Interprétation : Antoine Doinel → Jean-Pierre Léaud Monsieur Doinel → Albert Rémy Mme Doinel → Claire Maurier René → Patrick Auffray I- / L’AUTEUR : François Truffaut François Truffaut est né le 6 février 1932 à Paris, d’un père qu’il n’a pas connu et d’une mère distante. Il vit une enfance

Truffaut se lance dans la réalisation de ce film sans grandes expériences, ce film a connu un grand succès. L´enfance d´Antoine Doinel est d´une part autobiograhique, et c´est aussi pour cette raison que Truffaut a choisi pour le rôle d´Antoine, Jean-Pierre Léaud, puisque celui-ci avec sa rébellion lui rappelait lui-même. Truffaut et Doinel ont tous les deux été confié à des nourrices et ensuite jusqu´à un certain âge ont été élevé par leurs grandes-mères pour retourner à leurs mères et beaux-pères à

TRUFFAUT et Jean-Louis RICHARD, Suzanne SCHIFFMAN IMAGE : Pierre-William GLENN MUSIQUE : Georges DELERUE INTERPRÉTATION : François TRUFFAUT, Jean-Pierre AUMONT, Jean-Pierre LÉAUD, Valentina CORTESE, Jacqueline BISET, Nathalie BAYE, Jean-François STEVENIN, Bernard MENEZ, David HARKHAM FRANCE 1973 - 1h15 - Couleur - 35mm I ) SYNOPSIS A Nice, aux studios de la Victorine, Ferrand (François Truffaut) réalise son nouveau film : “Je vous présente Pamela”, coproduit par Hollywood. Alphonse, (Jean-Pierre Léaud)

Sauvage, L’Argent de Poche…- et sa rencontre avec Jean-Pierre Léaud, son double à l’écran (Antoine et Colette, Baisers Volés, Domicile Conjugal puis L’Amour en fuite). Les 400 coups s’inscrit dans « La Nouvelle Vague ». Il peut être difficile aujourd’hui de concevoir que ce film a été, lors de sa sortie, un véritable choc visuel (par exemple la séquence chez la psychologue). Aujourd’hui, cela nous apparaît comme étant la norme. De la même façon, Jean-Luc Godard dans Vivre sa Vie a fait scandale, notamment

ce qui ne signifie pas que le spectateur ne s’en fait pas un représentation : bonne occasion de montrer que le cinéma suscite l’imaginaire. Largement autobiographique, le film raconte l'enfance difficile d'Antoine Doinel, interprété par Jean-Pierre Léaud, ses relations avec ses parents, ses petits larcins qui lui vaudront d'être enfermé dans un centre pour mineurs délinquants. À la fin des années 50, Antoine Doinel, douze ans, vit à Paris entre une mère peu aimante et un beau-père futile. En

documentaire — Alain Resnais, Louis Malle ou Pierre Kast —, les cinéastes de la Nouvelle Vague partagent un même rejet d’une « certaine tendance du cinéma français » (titre d’un fameux article de François Truffaut écrit en 1954, et qui donne le coup d’envoi théorique du mouvement). Ils fustigent une certaine « qualité » qu’ils jugent trop académique, notamment le « réalisme psychologique » incarné par des réalisateurs tels que Claude Autant-Lara, Jean Delannoy ou encore René Clément. Leur double