John Rawls

entre la conception des inégalités comme étant justes, ou injustes. De la même façon qu’on a vu apparaitre une opposition entre l’égalité de chances et de fait, il s’agit de voir de plus près l’acceptation des inégalités issue de la théorie de John Rawls (A), et la lutte pour la réduction des inégalités notamment issue de la théorie de Keynes (B). A. Une égalité injuste et des inégalités justes (libéraux) Les démocraties d’inspiration libérale, soient celles qui visent une équité, c'est-à-dire

notions du droit et de justice, et de là aux repères légal/légitime. Références. Éthique à Nicomaque - De la justice – Aristote ; Hippias Majeur – Platon ; Du Contrat social – Rousseau ; De l’esprit des lois – Montesquieu ; Théorie de la Justice – Rawls ; Déclaration Universelle des Droits de l’Homme Définitions. Y a-t-il des lois injustes? implique un constat. Cela suppose une compréhension/explication de ce constat ainsi qu’une réponse proposée au problème que pose le constat. Lois injustes devra

Les difficultés de prises en compte du mérite individuel font qu’il ne peut être le critère absolu de la justice sociale. ( recopier le doc 16, b) sans la note bien sûr, p. 202 ( 2) Définir une société juste : les apports de John Rawls[8] a) Qu’est-ce qu’une société juste ? ( lire les 2 textes du doc17, p. 205 / 206 et apprendre par cœur la synthèse ci-dessous ( • D’abord, une société qui offre à chaque individu les plus grandes libertés juridiques et politiques

construction dont chacun de nous est quotidiennement partie prenante. Il n'y a dès lors aucune raison pour que les règles qui la formalisent soient imposées à tous sans discussion possible. Cette idée est explorée par la théorie de la justice de John Rawls et elle peut déboucher sur une vision concrète de ce que serait une économie ouverte au 16 INTRODUCTION débat: une économie dans laquelle les certitudes assenées par les experts feraient place à une discussion entre différents choix possibles

que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu'ils apportent à leurs intérêts. Nous ne nous adressons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme ; et ce n'est jamais de nos besoins que nous leur parlons, c'est toujours de leur avantage. »[1]. John Rawls (Théorie de la justice (1971), Seuil, 1987.) , En quoi l’éthique s’oppose-t-elle a priori à l’intérêt économique ? ? La mise en place d’une démarche éthique peut être considérée, en première approche, comme s’opposant à l’intérêt 

œuvre et selon quels principes ? La grande thèse qui anime les débats contemporains sur la justice est celle que développe John Rawls, philosophe américain du 20e siècle, dans sa Théorie de la justice (1971). Se situant dans la tradition du contrat social, Rawls cherche à établir les principes de la justice que choisirait une communauté placée dans certaines conditions. Rawls aboutit donc à deux principes essentiels mais très différents. Le premier défend l’argument d’un partage absolument équitable

en justice distributive concerne la recherche de l’équité. John Rawls, dans Theory of Justice, pose sa conception de la justice notamment en présentant son « principe de différence », lequel propose qu’il est acceptable de tolérer les inégalités lorsqu’elles sont au bénéfice de tous, qu’il doit y avoir une égalité des chances et que le modèle social doit être « maximiné ». Malgré de bonnes intentions, le principe de différence de Rawls n’est cependant pas équitable. Tant dans sa tendance irrespectueuse

sanctionner et nous verrons qu'une règle le droit à des caractères spécifiques, c'est-à-dire qu'elle a un aspect coercitif. Dans cette première partie nous allons voir qu'il est possible d'avoir un droit sans sanction, pour John Rawls il faut fonder le droit sur la raison. John Rawls dans théorie of justic il évoque un droit qui serait juste. Pour cela il faut fonder le droit sur la raison. La raison peut fonder la justice, pour cela il faut faire l'expérience du voile d'ignorance. C'est un voile qui

d’ignorance, ne sachant pas qui nous sommes, quelles sont nos forces et aspirant comme tout homme aux libertés et biens de base, nous ne pouvons que trouver juste et réclamer l’égalité en droits et y voir une condition de notre liberté. TR: mais John Rawls souligne aussi que sous ce voile, les hommes accepteraient sous certaines conditions une certaine inégalité de condition au plan socio-économique; dès lors, si l’égalité en droits semble être une condition pour la liberté, faut-il pour autant exiger

chances équité, principe de différence, universalité, déclassement, discrimination positive, frustration relative, démocratie, liberté Notions complémentaires : Etat Providence, redistribution, liberticide, République Auteurs : Alexis de Tocqueville, John Rawls, Adam Smith, Friedrich V Hayek, JM Keynes, François Dubet Section 1 : Idéal démocratique, égalité et liberté A. Démocratie et idéal égalitaire 1. La notion d’idéal égalitaire Egalité des droits Egalité des situations Egalités des chances 2