Kalos kagathos

Kalos kagathos est une expression idiomatique utilisée dans la littérature grecque antique depuis le 5e siècle AV. JC. Cette locution est la forme abrégée kalos kai agathos qui signifie littéralement « beau et bon » : elle est composée de deux adjectifs, kalos, « beau ») et (agathos, « bien »). La kalokagathie, la condition de celui qui entretient l’idéal de la conduite personnelle, est un idéal dans lequel se fondent le beau et le bien. L’usage de cette expression est attesté depuis Hérodote (historien

Le canon grec La statue de Myron est un type particulier de « Kouros » qui respecte le « canon » grec. Canon : image de la perfection physique à laquelle doit correspondre une perfection intellectuelle, selon la tradition grecque du «  kalos kagathos » (« l’homme beau et bon »). Pour les grecs on ne pouvait pas être véritablement beau sans être vertueux, la beauté ne se limitant pas au physique. « Kouros » signifie, en grec ancien jeune homme, et les historiens d’art utilisent précisément

sur la base des textes homériques et qui étaient régis par le grammatiste → Une formation musicale (Lyre et Aulos qui étaient une double flute à bec, chant qui devait transmettre des valeurs morales, politiques [valeurs aristocratiques, « Kalos Kagathos » = idéal de l'homme beau et bon] etc.) enseigné par le cithariste → Une formation sportive qui se faisait dans le gymnase et était assurée par le pedotribe (l'entraineur) Avant cette age, le futur citoyens bénéficie de l'éducation ludique

Les deux beautés étaient donc étroitement liées. De plus, les dimensions des statues ne correspondaient aux corpulences réelles. Pour les Grecs, avoir un corps d'athlète allait de pair avec le fait d'être cultivé et vertueux, d’où l’expression Kalos kagathos qui signifie « beau et bon ».                                                                                                       Au Moyen-âge : dans les contes et récits médiévaux, les princesses ou les fées étaient belles et avaient donc

meilleur le contredit Aristote. On peut alors supposer que la connaissance ne rend pas meilleur mais rend différent l’homme. La connaissance rend meilleur l’homme : en effet sur le plan de l’efficacité c’est le cas mais l’homme accompli doit-être Kalos Kagathos et donc être vertueux, ce que prouve Platon qui affirme que la connaissance rend l’homme meilleur. La connaissance, c’est le fait d’avoir un jugement vrai sur les choses, de les comprendre dans leur totalité. C’est ce que visent toutes les

ils répondent tous les deux « non » - la Belle surpasse cette première peur. III/ La morale - la Belle est un personnage parfait, qui dit la vérité - proverbe du moyen âge : l'habit ne fait pas le moine - Kalos Kagathos : la Belle est belle de l'intérieur et de l'extérieur - contraste entre Kalos de la Belle et la monstruosité physique mais la bonté intérieur de la Bête - société où les préjugés sociaux sont prédominants. - c'est un conte philosophique (XVIII, Voltaire) : dialogue qui sert à l'argumentation

d'éternel et non dans ce qu'il a de particulier et d'individuel. En cela, c'est un art idéaliste. Il s'attache au vrai, plutôt qu'au réel. Dans la vie même, l'homme cherche à se rapprocher de cet idéal. – Pour les Grecs, l'idéal humain était le "KALOS KAGATHOS" = à la fois beau et bon. – Au XVIIe en France, l'HONNÊTE HOMME est celui qui a un idéal philosophique, moral, religieux, social et mondain. L’art classique En peinture, le classicisme se préoccupe plus de la recherche du vrai que de susciter

réalité un kalos kagathos, un homme « beau et bon » ? Il s’agit de l’homme d’hon- neur, au service de sa cité, sans héroïsme particulier, mais sachant adapter sa conduite d’homme libre aux impératifs moraux qui sont propres à lui et à son milieu. Cette adaptation de l’action aux objectifs poursuivis, le service avant tout du beau et du bon, s’appelle en grec to prepon, ce qu’il « convient » de faire. Toute la conduite et tous les discours de Socrate visent à incarner le kalos kagathos. Et pourquoi

et incontrôlable du désir. Il est né d'un adultère, possède un physique difforme, est laid; dieu de la forge, des volcans, il métaphorise ce qui emporte l'âme. Adonis est quant à lui l'allégorie de l'amour idéal, car il est d'une grande beauté -kalos kagathos, principe grec d'adéquation entre le beau et le bien repris au XVIème siècle les néo-platoniciens- et fût également aimé par Vénus. Cette déraison de l'amour est sous-tendue par l'évocation implicite de l'adultère. En effet, Vénus trompa Vulcain

céleste) « Astres », « Ames » II.V5 : → 2eme strophe relève de l’éthopé (Càd. De la desc. moral de Cass.) → 1er nom : « vertu » (Qualité moral) => Cass. = aussi belle que vertueuse → Beauté phys. = beauté moral. Il y a autre topos. => « Kalos et Kagathos » (grec) ← relève du néo-platonicisme (Platon) = « Le Bon et le Beau » → Strophe met en évidence beauté et pureté intérieur de Cass.V6.W → V. = binaire (2 temps). 2 parties bien séparées (avc « , ») → Poursuite du mvmt ↓ de la desc.