Kees van Dongen

toiles du style plus « moderne ». Son œuvre ce caractérise par ses nombreux voyages (Algérie, Italie, Allemagne, Maroc, Russie, États-Unis...). Au Salon d'automne en 1905, l'accrochage des œuvres de Matisse, Albert Marquet, Vlaminck, Derain et Kees Van Dongen provoque un scandale par leurs couleurs pures et violentes. À la vue de ces tableaux regroupés dans une même salle, le critique Louis Vauxcelles compare l'endroit à une « cage aux fauves ». L'appellation de « fauve » est aussitôt adoptée et revendiquée

GAUGUIN ou VAN GOGH furent des précurseurs. + On remarque des influences telles que les arts primitifs, l’art de l’islam, du japon, ou l’art africain. Le Nabis Vuillard a influencé le Fauvisme dans ce sens où son autoportrait de 1892 présente des couleurs arbitraires et agressives. Enfin, je pense que les impressionnistes ont mis en évidence la couleur et son pouvoir autonome. Cézanne et son sens de la composition les aplats de MANET ou la violence des couleurs expressives dont VAN GOGH

sculpteur français. Au début de 1905, il présente une importante exposition particulière chez Bernheim-Jeune et participe au Salon des Indépendants. Au Salon d'automne de 1905, l'accrochage des œuvres de Matisse, Albert Marquet, Vlaminck, Derain et Kees Van Dongen provoque un scandale par leurs couleurs pures et violentes posées en aplat. À la vue de ces tableaux regroupés dans une même salle, le critique Louis Vauxcelles compare l'endroit à une « cage aux fauves ». L'appellation de « fauve » est aussitôt

comme Kees Van Dongen fasciné par le corps féminin, accepte 3 ans plus tard de collaborer à la réalisation d’une version illustrée. Ses dessins, avec leurs femmes minces et élégantes, leurs cheveux courts et leurs yeux en amandes, correspondent tout à fait à la « garçonne » décrite par Victor Margueritte dans son roman. Le texte et les images représentent tous deux l’archétype féminin des années 20. Contrairement à ce que l’on pourrait croire ce n’est pas le déshonneur qui attend Kees Van Dogen

vers le spectateurs et esquisse un léger sourire. Léonard de Vinci à peint à l’huile en adoptant la technique appelée sfumato, ce qui signifie « enfumé », « vaporeux ;». 3ème tableau  Ce tableau a été réalisé par le peintre hollandais Kees Van Dongen en 1903. Cet artiste est né le 26 janvier 1877 et meurt le 28 mai 1968. Le titre du tableau est « Fernande ». La femme ici représentée est Fernande Oliver la première compagne de Pablo Picasso. Ce tableau appartient au mouvement antistatique

peintres comme Gauguin ou Sérusier (groupe des Nabis) avaient donné à la fin du XIX° siècle des couleurs brutes et primaires à la peinture. Dès 1905, un autre groupe de peintres, parmi lesquels Maurice Vlaminck, André Derain, Henri Matisse ou Kees Van Dongen, qui exposaient au Salon d’Automne, provoqua la colère du critique Louis Vauxcelles qui les traita de « fauves » en références aux couleurs vives et criardes de leurs œuvres. Le fauvisme était né ! Henri Matisse, La danse, 1910, huile sur

deviendra plus tard le prix Fémina, récompensant la meilleure œuvre française écrite en prose ou en poésie. Anna de Noailles est si connue en son temps que plusieurs peintres de renom de l'époque firent son portrait, comme Antonio de la Gandara, Kees van Dongen, Jacques-Émile Blanche ou Philip Alexius de Laszlo (illustration sur cette page). En 1906, elle est le modèle d'un buste en marbre par Auguste Rodin, qui est aujourd'hui exposé au Metropolitan Museum à New York; le modèle en terre glaise est exposé

Ambroise Vollard. Au début de 1905, il présente une importante exposition particulière chez Bernheim-Jeune et participe au Salon des Indépendants. Au Salon d'automne de 1905, l'accrochage des œuvres de Matisse, Albert Marquet, Vlaminck, Derain et Kees Van Dongen provoque un scandale par leurs couleurs pures et violentes posées en aplat. À la vue de ces tableaux regroupés dans une même salle, le critique Louis Vauxcelles compare l'endroit à une « cage aux fauves ». L'appellation de « fauve » est aussitôt

Ambroise Vollard. Au début de 1905, il présente une importante exposition particulière chez Bernheim-Jeune et participe au Salon des Indépendants. Au Salon d'automne de 1905, l'accrochage des œuvres de Matisse, Albert Marquet, Vlaminck, Derain et Kees Van Dongen provoque un scandale par leurs couleurs pures et violentes posées en aplat. À la vue de ces tableaux regroupés dans une même salle, le critique Louis Vauxcelles compare l'endroit à une « cage aux fauves ». L'appellation de "fauve" est aussitôt

vrai pourrait-elle aux peintres qui ont succédé aux Impressionnistes. Mais seulement en donnant un sens moins restrictif au mot vérité. Et c'est ce qu'on fait les initiateurs de l'art moderne. En peinture, c'est en premier lieu à Cézanne, Gauguin et Van Gogh que l'on doit de s'est engagés dans cette voie, dès la fin du XIXe siècle. Ils sont les grandes figures de ce que l'on a appelé la période Post-Impressionniste. Au cours des trois décennies suivantes, Henri Matisse et les Fauvistes, Ernst Kirchner