Kiai

grade. La notion fondamentale du kendō est le ki ken tai no itchi (気剣体の一致, l'esprit, le sabre et le corps en un?)3 ou Kikentai itchi, autrement dit l'unité entre: l'esprit (ki), qui désigne la détermination dans l'assaut. Le ki se manifeste par le kiai, le cri que pousse le combattant lorsqu'il porte une attaque; le sabre (ken), qui représente le coup porté. Celui-ci doit être délivré avec la partie valable du shinai (datotsu-bu) correctement orienté (le "tranchant" du shinai devant "couper" la

Le Qi Gong D'origine chinoise, le Qi Gong est beaucoup plus qu'une gymnastique, c'est une véritable marche préventive pour le maintien de la santé. Cette pratique corporelle s'appuie sur les postures du corps, la concentration et la méditation, la régulation de la respiration et enfin, sur les mouvements. Le Qi Gong est facile à apprendre et à pratiquer par tous. Les mouvements réclament seulement conscience et détente. Il est d'ailleurs très adapté aux femmes et aux personnes d'âge mûr, mêmes

Hauptrichtung mit Gedan-Barai. 6. Gegenangriff Oi-Tsuki (der Gegner weicht zurück), deshalb nach kurzer Pause nachsetzten mit 7. Oi-Tsuki links, unmittelbar gefolgt von dem abschließenden 8. Oi-Tsuki rechts, mit dem wir dann diesen Gegner endlich "erwischen" - Kiai. 9. Wendung links hintenrum mit Gedan-Barai, gefolgt von 10. Oi-Tsuki rechts. 11. Große Wendung rechts herum mit Gedan-Barai rechts (ab hier verläuft die Kata gleich wie von Nr.3 an). Taikyoku Shodan Taikyoku Shodan (Nr.1) Heian Shodan (Nr

consiste à jouer une seule et même note continue pendant 20mn suivie d’un long silence de 20 mn également. C’est l ‘équivalent en musique du monochrome en peinture. Selon Klein cette symphonie est « une possibilité musicale du mythe de Kiaï en judo : soit le silence ». Le Kiaï dans les arts martiaux est un cri bref qui part de l’abdomen et dont la force vibratoire peut paralyser l’adversaire ou au contraire le ranimer. Il symbolise l’énergie vitale de tout individu. La performance s’achève par un débat

qui était saisit car sortir de l’autre côté provoquerait davantage l’étranglement. Voir coups de coudes Le kïaï C’est un cri court, exécuté en contractant les abdominaux générant puissance, intention et détermination afin d’exécuter une technique de défense. Lorsqu’on fait un kïaï la puissance de notre technique est amplifiée et plus convaincante. On utilise le Kïaï pour : 1- surprendre, impressionner l’agresseur 2- s’énergiser, se stimuler 3- protéger ses organes par la

nus. En karaté traditionnel les coups ne sont pas porté sur l'adversaire. Le karatéka attaque certains points vulnérables du corps humain situés sur la partie supérieur du corps. Les coups sont frappés avec le poing et le pied, et s'accompagnent du kiaï afin de libérer l'energie. Les combats durent 3 minutes et se déroulent sur tatami. Il existe cinq catégories de poids et plusieurs styles de karaté. Le tae kwon do, Mélange du karaté et du kempo chinois, le Tae Kwon Do, est un sport de défense

Katate ( kah-tah-tay) Une main (gauche ou droite). Keiko ( kay-ko) Séance d'essais, la formation. Ken ( Ken) sabre japonais. Ki ( clé) Esprit ... la force vitale de l'organisme; l'énergie universelle; un ruisseau ou flux d'énergie positive. Kiai ( clé des yeux) Un cri perçant ou pleurer avec la valeur pratique et psychologique sens - "Rencontre des Esprits". Kokyu ( coke-vous) la puissance du souffle ... la coordination des flux de ki avec la respiration. dosa Kokyu ( coke-vous de biche

partenaire attaque sans arrêt KEIKO: pratique, entraînement KEIKOGI: tenue d'entrainement KENDO: escrime japonaise qui se pratique avec des sabres de bambou KESA GIRI: action de couper en biais et de haut en bas KI: fluide vital , énergie cosmique KIAI: cri, souffle ou bien impulsion KIRI: de KIRU, couper (en composée, le K devient G ) KOBUDO: arts martiaux anciens KOSHI: hanches KOTE: poignet KUMI TACHI: travail du sabre a deux KUMIJO: travail du bâton à deux KOKYU: respiration, force de

sabre) est un art martial d'orgine japonaise. Il se pratique avec un shinai (sabre de bambou) avec lequel le kendoka frappe sur différentes parties de l'armure de son adversaire : la tête, les avants bras, le flanc et un coup d'estoc à la gorge. Le kiai est un cri puissant poussé dans le but de libérer son énergie et de menacer son adversaire. Il peut être poussé n'importe quand dans le combat et lors d'une frappe. Le combat commence par un affrontement de forces mentales puis continue par un affrontement

la peine du huitième degré. Ainsi le législateur étaitil sûr de ne rien laisser passer qui pût troubler l’ordre naturel. Mais il est évident que le juge se trouvait de ce fait entraîné à pratiquer une méthode d’interprétation analogique, lei t’ouei kiai che, dont est demeurée imprégnée la jurisprudence des tribunaux chinois. Et c’est assurément un procédé légitime d’interprétation, sauf, précisément — d’après les conceptions d’Occident — en matière pénale . Au surplus, la technique de cette méthode