L'Argent

convergentes. N’hésitant pas à partager les conditions de vie des misérables qu’il décrit dans ses romans, il a assisté à une grève de mineurs durant plusieurs semaines. Il a également tracé lui-même les plans de la Bourse de Paris pour préparer L’Argent, décor principal de cette histoire. Pour chacun de ses écrits, il s’imprègne au maximum de tous les cadres circonstanciels du scénario qu’il mûrit. Du langage au décor en passant par les tempéraments des personnages, tous les éléments de ses récits

(1883), La Joie de vivre (1884), Germinal (1885), L’Œuvre (1886), La Terre (1887). En 1888, Jeanne Rozerot, devient sa seconde compagne, et lui donne deux enfants. Zola achève ainsi Les Rougon-Macquart ave Le Rêve (1888), La Bête humaine (1890), L’Argent (1891) La Débâcle (1892) et Le Docteur Pascal (1893). Il est ainsi présenté comme l’un des plus grands auteur naturalisme de l’époque. Il entame deux autres cycles romanesque après les Rougon-Macquar : le cycle des Trois Villes (Lourdes, 1894 ; Rome

| | |Tante Phasie se dit |Les pulsions de Jacques | | | | |empoisonnée par Misard, son |La force de l’argent | | | | |mari pour 1000 francs |(l’appât du gain chez | | | | |Assassinat de Grandmorin, jeté|Misard)

amusement elle allait tuer le temps. » B) Valeurs et principes Zola décrit les valeurs qui règnent dans l’esprit des gens a l’époque comme des valeurs triviales concernant principalement le corps et l’argent : L’intérêt et la quête de la fortune, de la richesse priment sur les convictions. L’argent, les bénéfices sont l’essence même du régime. Les hommes forts du régime ne pensent qu’à leur enrichissement. Ils ne recherchent que le profit, au détriment des autres. En effet, en témoignent les deux

toutes deux une destinée déjà toute tracée. Tout au long du roman, chacune à leur manière, elles essayent de contrer cette fatalité, mais le pessimisme de Zola ne leur permet pas de s’en échapper et elles finissent « pourries », « délabrées ». L’argent : prédominance de cette valeur sous le Second Empire notamment à travers le personnage de Nana qui ne vit que pour s’enrichir et continuer à vivre dans la luxure, le trop-plein alors que le monde vit dans l’amoindrissement, la putridité. Cette thématique

s’attribue et cela veut aussi dire qu'il a prit la « Grosse tête » surtout suite aux publications de ses romans comme L'Assommoir qui provoqua à la fois un scandale et un succès. Les riches ayant l’argent pour se nourrir, Zola est donc représenté avec un gros ventre, pour montrer qu'il ne pense qu'a l'argent et n'a aucune motivation à part celle ci.

Émile Zola L’argent BeQ Émile Zola 1840-1902 Les Rougon-Macquart L’argent roman La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 59 : version 2.0 2 Les Rougon-Macquart Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire 1. La fortune des Rougon. 2. La curée. 3. Le ventre de Paris. 4. La conquête de Plassans. 5. La faute de l’abbé Mouret. 6. Son Excellence Eugène Rougon. 7. L’assommoir. 8. Une page d’amour. 9. Nana. 10. Pot-Bouille. 11. Au Bonheur des

de Grandmorin en arrive à pousser sa femme dans les bras de Jacques pour sauver sa peau. Il ne semblera pas souffrir de cette trahison physique de Séverine mais plus de la trahison morale avec Jacques. Il se réfugiera dans des taudis, jouera de l’argent sale et s’acculera de dette (“on fait souvent des choses inavouables pour être heureux, sans le devenir d’avantage”). Analyse des thèmes dans l’oeuvre : ! Le thème sur lequel est centré l’histoire est celui du milieu ferroviaire, particulièrement

de me faire arrété l’ecole et me marier a un homme de bonne famille selon mon père . De plus , Cet homme travaille et ne manque pas d’argent , biensur , tout ces critères attirent mes parents. Contrairement a moi, je n’étais pas du tout d’accord , l’argent ne fais pas le bonheur, l’homme de ma vie est celui que je choisis et non celui que l’on choisit pour moi , d’autant plus que j’avais déjà un petit copain que j’aimais et que je ne voulais pas perdre mais mes parents ne le savait pas parce que si

donne une image de Paris positive. A la première ligne, il ya une personnification de Paris : « Paris se mettait à table et rêvait gaudriole au dessert ». Cette personnification donne une image de Paris vivante et très dynamique. C’est une ville ou l’argent est une des principales préoccupations de la population. C’est également une ville très bruyante aux yeux de Zola car il la qualifie comme ayant « au fond de la cohue un frémissement sourd » et « un bruit naissant de pièces de cent sous, des rires