L'Enchanteur pourrissant

L'année suivante il tient une rubrique dans la revue d'art dramatique. Il essaie en vain de retrouver Annie à Londres. 1904 est une année fructueuse pour lui. Il publie le Festin d'Esope, sa propre revue ainsi qu'une première version de l'Enchanteur pourrissant. Il devient aussi l'ami de Picasso et de Max Jacob. Cette rencontre permettra l'élaboration d'une théorie artistique nouvelle: le cubisme, qui privilégie l'inspiration abstraite et géométrique au détriment de la représentation du réel. Grâce

La femme Assise et prépare un recueil de poèmes : Calligrammes | 1918 | Le 15 avril, publication de Calligrammes. Le 9 novembre 1918, il meurt à trente-huit ans, d'une grippe espagnole. | Œuvre : Alcool Calligramme Femme Assise l'Enchanteur pourrissant

de façon... Guillaume Apollinaire (1880-1918)        Poète français dont l’œuvre incarne l’« esprit nouveau » du début du siècle.   Son oeuvre : - Alcools - Poèmes à Lou - Calligrammes - Le Bestiaire ou cortège d'Orphée - l'Enchanteur pourrissant (1908) - l'Hérésiarque et Cie(1910) - le Poète assassiné (1916) - le Guetteur mélancolique Les débuts Né à Rome, fils naturel d’un officier italien et d’une aristocrate polonaise, Apollinaire, de son vrai nom Wilhelm Apollinaris

(receuil de poèmes) → Le Pont Mirabeau -1911 : Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée -1913-1916 : Calligrammes (receuil de poèmes) → Mai Romans et contes : -1907 : Les Onzes Mille Vergers -1909 : L'Enchanteur pourrissant -1910 : L'hérésiarque et cie -1916 : Le poètes assasiné Théatre et cinéma: -1917 : Les Mamelles de Tirésias -1917 : La Bréhatine → En collaboration avec André Billy. -1918 : Couleurs du temps

Apollinaire travaille dans une officine financière, la Bourse parisienne, et fréquente la bibliothèque Mazarine. Ebauche de L'Enchanteur pourrissant Première publication dans La Revue Blanche de L'Hérésiarque. Travaille comme journaliste à L'Européen et employé dans une banque. 1903-1904, Publie sa propre revue Le Festin d'Esope. Première version de L'Enchanteur pourrissant. Il décède à l'age de 38 ans de la grippe espagnol après avoir participé à la Première guerre mondiale. Il est inscrit

d’être ami avec les grands peintres. Il devient le défenseur de l’art nouveau. En 1909 il produit une œuvre poétique en prose prénommée « l’enchanteur pourrissant » qui est une vision des légendes oxydentales. C’est un ouvrage qui apparait comme inspirateur du surréalisme. On sent dans sa poésie le poids du mystère de l’origine, le secret des pouvoirs de l’enchanteur poète et les forces vives de l’amour. En 1911 il est inculpés de recèle d’objets volés dont la Joconde. Cela le déstabilise et a peur

revue blanche de l'Hérésiarque. 1902 il fonde le Festin d'Esope et écrit des ouvrages libertins comme « Les onze mille verges », « Les mémoires d'un don Juan » 1903 – 1904 Publie sa propre revue Le Festin d’Ésope. Première version de l'Enchanteur pourrissant. 1907 il quitte le domicile de sa mère au Véniset. 1908 dans la Phalange publication d'onirocritique et du noyau du bestiaire. Apollinaire écrit une préface au catalogue de l'exposition du Cercle de l'art moderne du havre qu'il intitule

représentation du réel. En 1907, il rencontre grâce à Picasso, Marie Laurencin. Il en tombe amoureux et aura avec elle une liaison passionnée jusqu'en 1912 elle le quittera car elle ne supportait plus sa jalousie maladive. En novembre 1909 il publie l'Enchanteur pourrissant, illustré par Derain. Il s'installe au Boulevard Saint-Germain en 1913, il donne des conférences sur le cubisme. Il publie le volume d'alcools. Au début de la guerre en 1914 , il fait une demande en tant que citoyen russe pour être incorporé

(1903) ; plus tard, Derain, Vlaminck, Picasso, pour ne citer qu'eux, seront ses amis. Apollinaire collabore alors à des revues, dans lesquelles il publie des contes et des poèmes. Les contes seront rassemblés plus tard dans des recueils : l'Enchanteur pourrissant (1909), dont la majeure partie parut dans le Festin d'Ésope, fondé en 1902 en compagnie de Jarry ; l'Hérésiarque et Cie (1910) ; le Poète assassiné (1916). Les poèmes paraissent au fur et à mesure dans des revues comme la Plume (1903 et 1905)

toutes les découvertes et avant-gardes de son temps : l'art naïf (le Douanier Rousseau), l'art nègre, le fauvisme, le cubisme avec Braque et Picasso (les Peintres cubistes, 1913). Plus encore que ses contes, pleins de fantaisie et d'humour (l'Enchanteur pourrissant, 1909 ; l'Hérésiarque et Cie, 1910 ; le Poète assassiné, 1916), ses recueils poétiques, d'inspiration autobiographique et où le mystère est une constante (le Bestiaire ou Cortège d'Orphée, 1911) ; Alcools (1913) ; Calligrammes (1918), constituent