La Femme en blanc

Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Picasso renoue avec le genre de la peinture d'histoire

celle-ci. Je suis quelqu'un de passionné par la famille royale du Royaume-Uni, et cette photo est une des plus mythiques de l'histoire de la famille royale britannique. Au premier plan se trouve une femme portant une jupe mauve et une veste rouge vif. Cette femme est assise sur un banc blanc. Derrière elle, se trouve une longue allée menant à un bâtiment. Cette allée est très symétrique et en son centre il y a de l'eau. De part et d'autre de cette eau se trouve un parterre d'herbe constitué

Devoir sur Chien Blanc 1. Chien Blanc est le symbole de la haine qui règne entre les noirs et les blancs. La femme de Gary se bat pour les droits des noirs et Gary comment à trouver cela pathétique. 2. Gary prend à sa charge un berger allemand qui vient du sud des États-Unis et qui a été dressé pour attaquer les noirs. C’est la police qui l’a dressé pour les aider contre les noirs. Gary est déterminé à le rééduquer pour ne plus qu’il attaque les noirs. Mais Jack veut le faire tuer, le piquer

personnages vus dans la rue durant les Trois Glorieuses, on n’y voit pas d’abstraction, pas de figure idéale puisée dans l’Antiquité. La foule converge vers le spectateur du tableau, dans un nuage de poussière en brandissant les armes, à sa tête, une femme qui les mène vers la Liberté. 3) Genre artistique : Peinture d’Histoire 4) Eléments biographique sur l’artiste : Ferdinand Victor Eugène Delacroix naît en 1798 à Charenton-Saint-Maurice et meurt en 1863 à Paris. Issu de la grande bourgeoisie

Introduction : L’œuvre romanesque de Ferdinand Léopold Oyono « Une vie de boy » est une œuvre négro-africaine parue en 1956.Cette œuvre nous relate la vie d’un jeune nègre du nom de Toundi Ondoua pendant la colonisation. Ce roman dénonce l’injustice des blancs à l’égard des noirs. I°) Présentation de l’auteur : Ferdinand Oyono : a) Biographie : Ferdinand Oyono est né à N'Goulemakong près d’Ebolowa, au Cameroun en 1929. Il entre à l'école primaire en 1939. Plus tard il travaillera comme "boy"

préjugés, et amenés à coexistés :celui du quartier noir, un village pauvre,celui de la résidence, une ville opulente, la ville blanche.IL retrace ainsi la vie de toundi qui mêlé à la vie de tous, rapporte les actes et les conversations de ses maitres blancs…… I-présentation A-l’auteur * | Né en 1929 à Ebolowa, dans la Province du Sud Cameroun, Ferdinand Léopold Oyono poursuit au lycée de Provins, en France, des études commencées au lycée de Yaoundé. Il réussit ensuite des études supérieures

promenade de Victor Hugo, alors âgé de 16 ans, avec une jeune femme de 20 ans, dans une nature vivante et verdoyante. A travers ce poème, Victor Hugo traite d’un thème universel, celui de l’éveil à l’amour et utilise tous les ressorts du romantisme : le culte du sentiment amoureux, le culte de la nature et le « moi » comme source d’inspiration. Dans un premier temps, nous envisagerons le lyrisme amoureux et sensuel à travers l’idéalisation de la femme et de la nature qui mène à une communion entre elles

autrement dit la mauvaise qu’on mène aux champs des travaux forcés et dans la prison mené aux noirs par les blancs. II- Les causes du suicide dans le roman Un piège sans fin et dans la vie mondaine A- Les causes du suicide dans le roman Un piège sans fin Elles se traduisent ici par deux aspects. D’une part les pages 48 à la page 60 mais lisons tous les mépris de Bakary par les blancs où cette illustration est l’envoie des gardes aux domiciles du riche Bakary pour l’exercice des travaux forces

La femme noire qui refusa de se soumettre Rosa Parks Auteur : Eric Simard Illustrateur : Carole Gourrat Oskar jeunesse édition octobre 2008 Résumé : Une histoire vraie, au début du XXème siècle dans le sud des Etats-Unis, celle de Rosa Parks qui en refusant de céder sa place dans un bus à un homme blanc et en étant jetée en prison pour cela, a déclenché une prise de conscience de la communauté noire, puis de la société américaine tout entière. Thèmes : racisme, tolérance

table verticale qui est en totale contradiction avec la perspective du tableau et chaque femme forment un plan avec un rideau. Ce groupe est inscrit dans un rectangle : Ainsi, on distingue des plans ocre, blancs, bleus et gris. Les plans bleu et blanc font ressortir les femmes qui constituent ce groupe. On remarque que ces femmes sont animées par un visage plus clair, plus net que les autres. Le blanc a, ici, symbole de pureté, de virginité et s’oppose donc dans l’idée générale du tableau