La Fin de Satan

Trompette ⁃ Éclairs, tonnerres, fortes secousses et fortes grêles. Une femme enceinte apparaît dans le ciel et le Dragon attend la naissance pour dévorer son petit. Les anges combattront le Dragon qui finit par être projeté sur la Terre. Alors Satan le dragon, entreprend la guerre contre ceux qui détiennent les 10 commandements. Une bête sortira des entrailles de la Terre marquant du signe 666 les habitants qui auront le droit de commercer. Dieu donne ensuite ensuite une coupe remplit de fureur

l'air d'un moribond caressant son tombeau. Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ? De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène, Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours, Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! - L'univers moins hideux et les instants moins lourds ? Fleurs du Mal

Introduction Les Misérables, vaste fresque romanesque publiée par Victor Hugo (1802-1885) en 1862, se présente comme un travail de longue haleine entrepris dès 1845 sous le titre Jean Tréjean puis Les Misères et plusieurs fois interrompu. Comme dans La Fin de Satan, le fil conducteur de cette œuvre est l'histoire d'une rédemption, celle de Jean Valjean, bagnard animé par une rancœur haineuse envers la société et envers Dieu qui, grâce au pardon et à la générosité d'un homme, Mgr Myriel (ou Bienvenue), s'efforce

une sorte d'impossible, trop beau, trop pur pour exister. Cette section montre la misère et la grandeur de l'homme, le combat éternel de l'homme sans issue : " Il y a dans tout homme, à tout heure, deux postulations, l'une vers Dieu, l'autre vers Satan " (Baudelaire). L'homme est condamné à vivre ces deux forces. Ainsi, notre florilège comportera huit poèmes issus de la section Spleen et Idéal : -L’Albatros : est un poème dans lequel Baudelaire se représente comme étant cet oiseau que tout le

passive de “l'ennui” qui ne laisse place à aucune activité possible, esprit- victime piègée-  inexorablement; les adjectifs “tristes, humide, pourris, infâmes, affreux, atroce” et la présence de tous les éléments qui suggèrent le monde du mal, de satan, de la mort, “ les araignées”,  des regrets ou des remords qui tissent leur piège, peut-être, “les esprits errants” comme les fantômes, les “corbillards”, contribuent à peindre une funeste image du désespoir. II) Peinture de la dépression

créatures parfaitement humaines, ce qui n'est pas sur ». Sépulvéda pense que ces indigènes sont des êtres d’une catégorie inférieur comparable aux animaux (l.8) « le renard » qu’ils sont faits pour être dominés et qu’ils s’apparentent au diable (l.7) «Satan », «le malin », il s’oppose à Las Casas qui lui au contraire pense que ces indigènes sont des hommes qui leur sont égaux. Pour lui, ils sont de véritables créatures de Dieu. A leur sujet apparaîtront deux interrogations, qui concernent leurs capacités

(p.117) 8. Christ, Dieu et le Saint Esprit (p.122) 9. Des boutures de Satan (p.97) 10. L’incarnation vivante du Diable et de l’enfer (p.97) Maladie

L’EVANGILE SELON PILATE Quel est l’identité de Jésus ? Première partie a) Jésus nous apparait vraiment humain b) P9 attachement Israël c) P9 résigné à la fin mais a peur quand même de mourir. « attendre en ce jardin une mort que je redoutes » (p10) d) P10 enfance rêveuse, sentiment de mélancolie, envie de voler, se rends compte qu'il est mortel e) P13 « comme tous les enfants, je m’étais d’abord confondu avec dieu. (…) je m’étais senti roi, tout puissant, immortel » « Grandir

provinciale 1.3 Son œuvre Atteint le grand public grâce notamment au Baiser au lépreux (1922), remporte le prix de l’Académie française avec le désert de l’amour Il écrit Thérèse Desqueyroux (1927), son plus grand succès, qui aura une suite : La Fin de la nuit et Thérèse apparaitra aussi dans Thérèse chez le docteur, Thérèse à l’hôtel … Bon accueil pour Le Nœud de Vipère et Le Mystère Frontenac Mauriac a aussi écrit des pièces de théâtre, des articles, autobiographie … Élu à l’académie française

sans te mettre en peine des affaires des autres. » l. 1049-1050. Vers la fin de la scène, on a « Va, va, je te le donne pour l’amour de l’humanité. » l. 1080-1081. Les deux citations montrent un Dom Juan méchant, et un Dom Juan plutôt gentil. Tout au long de la scène, Dom Juan provoque le pauvre à jurer mais lui laisse la pièce d’or quand même. Le spectateur hésite entre l’amusement au début et un sentiment de malaise à la fin. Dom Juan est un personnage insaisissable et provocateur qui défie a