La Force du préjugé

……………………………………………………………………………………………….. p. 2 1. Historique des femmes policières 1. Dans le monde …………………………………………………………………………. p. 3 2. Au Québec ………………………………………………………………………………. p. 5 2. Présence des femmes policières 1. Préjugés et stéréotypes ……………………………………………………………. p. 6 1. Hausse de violence ………………………………………………….. p. 7 2. Baisse de violence …………………………………………………… p. 8 3. Impact inexistant ……………………………………………………. p. 9 3

24km/h 1 cycliste dans un peloton : 33km/h 1 cycliste suivant un meneur : 31km/h LA PARESSE SOCIALE chercheur nommé RINGELRANN 1882-1887 1 homme tirant une corde : 100% de sa force individuelle 2 hommes tirant sur la corde:80% de leur force individuelle Plusieurs hommes tirant sur la corde : 85% de leur force individuelle Les 2 expériences vont servir de base au principal courant de la psychologie sociale qui est des relations humaines. 3 expériences concernant les relations humaines :

Paul Henri Dietrich d’Holbach (1723-1789) Essai sur les préjugés ou De l’Influence des opinions sur les mœurs & sur le bonheur des Hommes Editeur anonyme, Londres, 1770 Un document produit en version numérique par Jean-Marc Simonet, bénévole, Courriel: jmsimonet@wanadoo.fr Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université

On qualifie de préjugé l'habitude contractée de ne pas juger en connaissance de cause. Le préjugé trouve son origine dans notre enfance. C'est lors de cette période que nous avons accepté un certain nombre de pensées que nous tenons pour vraies : mais celles-ci n'ont pas été soumises à examen. Ces jugements qui ne sont pas établis en connaissance de cause, ce sont les préjugés. Mais remarquons tout de même que nous ne sommes pas responsables d'en avoir dès l'enfance puisque le décalage entre la sensibilité

difficile de vaincre un préjugé que de désagréger un atome », Albert EINSTEIN. Le préjugé et l’atome sont deux choses bien présentes dans notre société, mais ce sont deux choses largement différentes. Selon Albert EINSTEIN « Il est bien plus difficile de vaincre un préjugé que de désagréger un atome ». Pourtant désagréger un atome était et reste aujourd’hui une tâche relativement compliquée. Cela amène à nous poser une question, pourquoi est-il si difficile de vaincre un préjuger ? Comme dit précédemment

maîtrise de son corps sont constamment présupposées dans tous nos actes moraux (la vie soutient la pensée sans la déterminer de manière réductive, il y a là le type même d’une condition ). De là ceci que la liberté s’éprouve d’abord comme une certaine force : un être faible n’est pas libre de ses actes. Il y a un sens moral de la dépendance physique, elle doit être dépassée afin d’accomplir notre autonomie (sous ce rapport, le handicap est bien un problème moral, il s’agit de rendre possible une conquête

philosophe pas pour nous expliquer comment les préjugés peuvent s'installer dans les esprits -Grâce à ce même exemple il nous montre comment elle peut être manipulable et indifférente quand au monde qui l'entoure -Puis en utilisant le pronom ''nous'' (désignant les philosophes), il explique que la vie est compliquée et inexpliquable si l'on se penche sur la question 2) Expliquez « préjugés dérivés du sens commun » Le mot ''préjugé '' est formé du préfixe ''pré'' et du mot principal

physique et pense que ce qui se produit chez un individu dans un groupe dépend de la distribution des fores qui s’y exercent. La base de ses travaux est la théorie du champ qui repose sur l’idée que le comportement social est déterminé par un champ de force psychologique et social. Il s’agit, en fait, d’un système d’interdépendance qui se créer entre le comportement de l’individu et le contexte dans lequel il se trouve. Ainsi LEWIN considère le groupe comme un tout dynamique où s’expriment des forces

capable de se détacher des principes fondés par la société pour mettre en place un jugement purement personnelle. Cependant, il est clair que pour constituer un avis personel, encore faut-il connaître celui des autres. Autrement dit, penser sans préjugés, c'est penser seul, mais si pour penser seul, je dois d'abord connaître les opinions des autres, alors ma liberté de penser dépend des autres. Or, cela reviendrait-il à dire que le fait de penser librement nous rend tributaires d'autrui ? Kant

de liberté pour la sécurité cela veux dire qu’ils acceptent un rapport dominant/dominé, qu’ils n’aiment plus la liberté. Mais alors s’ils n’aiment plus cette liberté, s’ils sont prêts à l’échanger contre une simple sécurité cela veut-il dire qu’à force ils vont faire une croix sur cette liberté ? Toutes ces questions et ces affirmations sont sous entendues dans cette citation de Benjamin Franklin. Cette citation nous ramène au problème posé : Les hommes préfèrent-ils la sécurité à la liberté ?