La Force du préjugé

suivre les préjugés ? a- Toute une tradition de pensée philosophique a donné du préjugé une image péjorative. En effet, nombre de philosophes ont défini les opinions comme étant des obstacles à la pensée personnelle empêchant le développement d’un jugement fondé, puisque ne faisant pas appel à la raison. Les préjugés sont des savoirs admis sans être soumis à l'examen de la raison. Ils sont des idées qui sont en nous, sans pour autant nous appartenir ou même émaner de nous. Les préjugés apparaissent

Les préjugés face a la vérité Qui a des préjugés prend pour vraies des idées qu’il n’a pas examinées et dont il ne sait pas finalement si elles sont vraies ou fausses. Dès lors, il semble suffisant de connaître la vérité pour faire disparaître ses préjugés. Cependant, qui n’a observé quelqu’un s’accrocher à ses préjugés envers et contre tout même s’il connaît la vérité. On peut donc se demander s’il suffit de connaître la vérité pour renoncer à ses préjugés. On peut définir les préjugés comme

rétablissement de cet ordre et l’exercice des libertés publiques reconnues à tous par “le contrat social’’. Protéger et rétablir l’ordre public constituent la fonction confiée à ce que nous nommons le pouvoir exécutif qui dispose, à cet effet, d’une force constituée de services auxquels au XIVe siècle on a donné le nom “police’’. La police est, étymologiquement, l’art de gouverner la cité et ce terme recouvre deux concepts qui ont entre eux des rapports étroits : l’ensemble des prescriptions imposées

des Lumières, les préjugés ont mauvaise presse. C’est pourquoi on invite chacun à penser sans préjuger. Est-ce possible ? En effet, si préjuger c’est juger avant d’avoir examiné, il semble évident que qui pense, c’est-à-dire réfléchit ou examine avant de juger, doit le faire sans préjuger. Pourtant, il est non moins clair qu’il n’est pas possible de tout examiner, de réfléchir à tout, travail infini, pour pouvoir juger, de sorte qu’il ne serait pas possible de penser sans préjuger. Dès lors, on peut

III- La tolérance pour lutter contre les préjugés Doc 1- Les préjugés : « On dira que les Noirs sont robustes mais paresseux, gourmands et malpropres », on dira que les Arabes sont « fourbes, agressifs et traitres ». […] Des noirs diront que les Blancs ont une drôle d’odeur […] ; il faut chasser de ton vocabulaire ces expressions toutes faites, du genre « tête de Turc », « trimer comme un nègre ». Ce sont des sottises. - Comment les combattre ? - D’abord, apprendre le respect […]. Le racisme

apprendre, BACHELARD (1938) Tout d’abord, cet extrait de texte de BACHELARD rend compte de la difficulté d’apprendre et des obstacles qui nuisent à la compréhension de l’enseignement. L’auteur soutient au final qu’il est nécessaire d’oublier ses préjugés, c’est-à-dire ses connaissances antérieures afin de comprendre de nouvelles sans aucune difficulté. Cet extrait est composé de trois principales parties : une plus ou moins introductive, une seconde qui présente l’exemple choisi par l’auteur, et

absolues. Marx se dit matérialiste car c’est une façon de se méfier des idées qui peuvent être trompeuses. Il se méfie donc de l’idéologie implicite et inconsciente. Il va donc à l’encontre des préjugés idéologiques où la société est figée. L’idéologie c’est comme une sorte de réalité dans le sens où elle nous force à voir une réalité d’une certaine manière car ça nous semble naturel que les choses soient ainsi. Donc, nous voyons le monde comme quelque chose de rigide alors qu’il ne l’est pas. C’est que

Que vaut une preuve contre un préjugé ? La preuve est quelque chose de vrai de subjectif car c’est une recherche rationnelle alors que le préjugé est une opinion fondée sans preuve, sans fondement qui sort de notre irrationnelle sans même connaitre. Elle nous empêche d’avoir une vision rationnelle et subjective des choses. La preuve et le préjugé peuvent se contredire mais aussi coexister. En quoi la preuve et le préjugé s’opposent- ils ? Dans un premier temps nos aborderons deux hypothèse :

Peut – on mettre fin aux préjugés ? D´une manière générale, le point de départ d´un préjugé est la généralisation superficielle ou le stéréotype. C´est une attitude normalement discriminatoire envers des personnes, des lieux ou coutumes qui nous sont étranges. Il y en a de différents types : les préjugés raciaux, religieux, sexuels, politiques, culturels, socio-économiques… Ceux-ci peuvent entraîner beaucoup de disputes entre les hommes et rendent difficile une vie en communauté. On peut

méthodique :   I Le jeu sur la force et la faiblesse        a. la force de l'argent et la faiblesse sentimentale         b. la faiblesse sociale et la force du refus         c. la force des préjugés et la faiblesse de l'amour  II La présence obsédante des autres        a. l'argent comme représentant de la société         b. la crainte du " qu'en dira-t-on ? "         c. la souffrance rédemptrice6. Lecture méthodique I - Le jeu sur la force et la faiblesse a) la force de l'argent et la faiblesse sentimentaleZola