La Seconde Chance

Yernur ZhaksylykLe Résume d’Argumentation Sur le chapitre de l’œuvre « Sur le processus de civilisation » de Norbert Elias « La loi du monopole »Norbert Elias était un sociologue allemand, né à Breslau en 1897 et mort à Amsterdam en 1990. Il commence sa formation d'abord dans le domaine médical, puis passe à la philosophie et à la psychologie pour finir par se lancer dans la sociologie. Mais avec l'arrivée

réussite à ces concours. Pour résoudre ce problème, depuis 2009 le gouvernement a imposé aux grandes Ecoles d’accueillir 30% de boursiers dans le cadre d’une démocratisation de l’enseigement supérieur afin d’atteindre l’objectif d’égalité des chances. Parmi ces grandes écoles on trouve science Po et l‘ENA ces deux écoles préparent à des fonctions de cadres supérieurs (employés qui travaillent dans des entreprise mais ils ont un cadre supérieur) ou de haut fonctionnaire. C’est pourquoi nous

Introduction L'égalité des chances en tant que valeur sociale est une exigence qui veut que le statut social des individus d'une génération ne dépende plus de caractéristiques sociales, ethniques, religieuses et surtout financières et sociales, des générations précédentes. André Comte-Sponville définit l'égalité des chances comme : « droit de ne pas dépendre exclusivement de la chance, ni de la malchance. C'est le droit égal, pour chacun, de faire ses preuves, d'exploiter ses talents, de surmonter

avoir les mêmes chances de s’approprier des choses ? (égalité des chances) 3. Ou enfin, cela signifie-t-il que tous doivent posséder la même quantité de choses ? (égalité de résultat) Nozick opte pour la première option. D’après lui, un droit égal à la propriété, c’est un droit égal de s’approprier des choses. Plus précisément, tous devraient avoir le droit d’essayer de s’approprier des choses. Nozick, nous le verrons, ne pense pas qu’une société juste ait à garantir des « chances égales » d’y arriver

Cependant, la chance, si elle n?est pas le lieu où le bonheur doit être recherché, est néanmoins une condition nécessaire et irréductible du bonheur : les événements de la vie qui dépendent des circonstances contingentes sont des occasions d?exercer la vertu, mais, de deux hommes aussi vertueux dont l?un dispose de la santé et de la fortune et l?autre non, il est évident que le premier aura un bonheur plus grand, et que le second rencontreras des obstacles qui, malgré le bonheur qu?il tirera de sa

professionnel de santé (I), puis dans un second temps que la Cour suprême réaffirme sa volonté de toujours indemniser le préjudice, subi par la victime d’un dommage, qui résulte du défaut d’information (II). I) Le refus justifié de retenir la responsabilité du professionnel de santé La responsabilité du professionnel de santé ne peut pas être retenue pour deux raisons valables : en premier lieu, le médecin n’a commis aucun manquement à son devoir d’information (A) et en second lieu, aucun lien de causalité

banqueroute) Avez-vous ou faites-vous l’objet d’une procédure de surendettement civil ? OUI NON ____________________________________________________________ ___________________________________________________________ LE VOLET DE LA SECONDE CHANCE LE REBOND 1/06/2004 Page 2 2 – ANALYSE DE LA DEFAILLANCE : RETOUR D’EXPERIENCE Quelles ont été, à votre avis, les raisons principales des difficultés ? Le marché et son évolution La concurrence de plus en plus agressive La politique des fournisseurs

société Les complices, qui était manifestement au courant. La société Alain Manoukian a engagé une action contre les consorts X et contre la société Les complices. Elle fait grief aux premiers d’avoir, de façon fautive, rompu les pourparlers. Aux seconds elle reproche leur complicité dans la rupture fautive des négociations. La Cour d’appel de Paris a condamné les consorts X à verser à la société Alain Manoukian des dommages-intérêts, mais l’a déboutée de sa demande en réparation à la charge des

ARGUMENTATION Avoir 20 ans aujourd’hui une chance ? OUI Paris Match : ur la première fois depuis la guerre, les enfants d’une génération vivront plus mal que leurs parents. Qu’elle soit issue des banlieues défavorisées ou diplômée de l’enseignement supérieur, la jeunesse ne trouve pas sa place dans la société. Un rapport de 2008 du Conseil d’analyse économique dénonce un « système qui fonctionne comme une machine à exclure les jeunes » à coups de stages ou d’emplois précaires. Hier, ce sont

trois principaux sont : l’âge, la nationalité et l’apparence physique. Par exemple : Un candidat de 48-50 ans reçoit trois fois moins de réponses positives qu’un candidat de référence âgé de 28-30 ans. Un candidat au visage disgracieux a 29 % de chances en moins d’être convoqué à un entretien d’embauche. En 2004, sur des emplois de commerciaux un candidat maghrébin avait 5 fois moins de réponses positives qu’un candidat d’origine française. Les discriminations à l’égard des immigrés en France