La Solitude Sainte Aux Faibles Est Fatale

/Paul et Virginie/ est souvent considéré comme un roman à thèse maladroit, dont l'organisation narrative contredirait en partie le message philosophique, lui-même passablement confus. L'excentricité de la pensée morale et religieuse de Bernardin de Saint-Pierre peut expliquer la réputation d'incohérence idéologique qui s'est attachée à cet énigmatique apologue. La mise en relation intertextuelle de /Paul et Virginie/ et des /Études de la nature/ éclaire en réalité nombre de difficultés de lecture celles

conflit faible vs fort > constat du rapport de force > morale qui indique les moyens de s’en sortir. Deux poètes latins du 1er siècle exploitent ce fonds ésopique : Phèdre et Horace (dans certaines de ses Epîtres ou Satires). Phèdre : originalité ds le style (forme versifiée ms qui maintient le tonde la conversation, dc effet de naturel) >> exple du style attique qui allie élégance et brièveté. Variétés des sujets, des tonalités, complexités des situations. Opposition ésopique fort vs faible se double

= transposition des comportements humains). Une leçon dégage la significat° morale. Ms la morale d’Esope est différente de celle d’un moralisateur : il se fait observateur des relations entre les hommes. ➢ Schéma de la fable ésopique : conflit faible vs fort > constat du rapport de force > morale qui indique les moyens de s’en sortir. ➢ Deux poètes latins du 1er siècle exploitent ce fonds ésopique : Phèdre et Horace (dans certaines de ses Epîtres ou Satires). Phèdre : originalité ds

s’amusait à se prolonger, et à l’abattre: Elle ne respirait plus comme les autres, ne rêvait plus comme eux; elle avait plutôt oublié les genres de rêves auxquels les femmes de son âge devraient-elles donner libre cours, elle ne savait plus à quel saint se vouer... Elle attendait seulement que le temps passe, on eût dit qu’elle attendait l’arrivée de quelqu’un ou la survenue d’un tel évènement, or, elle attendait tout bêtement, tout simplement, que les heures vides défilent. Elle languissait

possessions, sinon des choses que vous conservez et gardez par peur d'en avoir besoin le lendemain ? Et demain, qu'apportera demain au chien trop prévoyant qui enterre ses os dans le sable sans pistes, tandis qu'il suit les pèlerins dans la ville sainte ? 3 Et qu'est-ce que la peur de la misère sinon la misère elle-même ? La crainte de la soif devant votre puits qui déborde n'est-elle pas déjà une soif inextinguible ? Il y a ceux qui donnent peu de l'abondance qu'ils possèdent - et ils le

pour Roméo (et pour Juliette) un événement qui bouleverserait sa (leur) vie. Si le premier échange amoureux entre Roméo et Juliette est sous le signe d'une courtoisie toute conventionnelle qui réunit le profane et le sacré ( Juliette est une Sainte, Roméo un pèlerin qui la vénère : " ... je prendrai le fruit de mes prières [...] le péché de mes lèvres / Par tes lèvres est effacé" page 89), très vite il évolue en une passion irrésistible : Juliette est impatiente de connaître la réponse de Roméo

ne peut parler de film sans commencer par le début: L’histoire folle mais réelle de Chris Mccandless, un étudiant parti réaliser son rêve en Alaska. Son histoire est relatée dans le livre de Jon krakauer intitulé en Français Voyage au bout de la solitude avant d’être rééditer par Sean Penn sous le titre Into The Wild suite à la sortie du film. A travers le besoin de ce jeune homme , qui est de vivre seul sans autres ressources que celles prodiguées par la nature, le film pousse le spectateur à

négativement, en reprenant avec détermination les termes du questionneur dans le même ordre, cette symétrie, où, à la répétition des adjectifs possessifs, répond le martèlement des «ni», semblant indiquer un agacement plutôt que l’insistance sur une solitude qui serait pathétique. En 3 fait, il ne faut pas prendre cette réponse littéralement : il est impossible que l’«homme énigmatique» n’ait pas de père et de mère. Il affirme plutôt une ignorance totale ou, mieux, un rejet total de la famille, par

celle entre M de Renal et M Valenod qui selon Stendhal « sont des portraits de la moitié des gens aisés en France vers 1825 ». Ces rivalités éclatent à l’ occasion de la visite du roi, de la cérémonie de Bray-le-haut, de l’adjuration de la maison de saint-Giraud. Celui-ci, qui vivait a paris, qui était « l’as de cette comédie perpétuelle a laquelle oblige ce que vous appelez la civilisation du 19éme S » est venu s’établir a la compagne. Mais après avoir passé 4ans, il fuit « l’abominable vie qu’on mène

.............48 CXV. LA BÉATRICE...................................49 CXVI. UN VOYAGE À CYTHÈRE.............49 CXVII. L’AMOUR ET LE CRÂNE..............50 RÉVOLTE...........................................................50 CXVIII. LE RENIEMENT DE SAINT PIERRE.........................................................50 CXIX. ABEL ET CAÏN................................51 CXX. LES LITANIES DE SATAN................51 4 PRIÈRE.........................................................52 LA MORT......