Laconie

ressemblance, au-dessus de ces manants se plaçait une espèce de bourgeoisie également exclue de l'exercice des droits politiques, mais mieux traitée et plus riche que la classe des paysans. Ces hommes, Perrhèbes et Magnètes en Thessalie [601], et en Laconie Périœkes, descendaient certainement de différentes catégories de vaincus. Ou bien ils avaient formé les classes supérieures de la société dissoute, ou bien ils s'étaient soumis volontairement et par capitulations. Les étrangers domiciliés

Plutarque donne un chiffre de près de 10000. Seul Isocrate déclare qu’il n’y aurait eu que 2000 citoyens. Il faut donc plutôt admettre le nombre d’une dizaine de milliers de citoyens spartiates. Ce chiffre paraît être un maximum, car les terres de Laconie ne semblent pas avoir pu nourrir un plus grand nombre de citoyens oisifs, au sens antique. En effet, les auteurs antiques affirment que la terre était également partagée en lots pour assurer la subsistance des citoyens. Ce lot est appelé kléros. Donc

déclara seulement d’une voix forte : Victi sumus, magna pugna, « Nous avons été vaincus dans une grande bataille ». Comme les anciens Spartiates, les Romains pratiquaient l’art de la « parole brève » du « laconisme » (du nom du pays de Sparte, la Laconie). Mais Rome ne capitula pas. Nous touchons ici le secret des triomphes romains : l’opiniâtreté. Surclassée par le génie d’Hannibal, Rome ne céda pas mais leva de nouvelles légions. Dans sa longue histoire, Rome n’a jamais signé un armistice ou un

importante, Brundisium, dont le port excellent, en relations continuelles avec l’Hellénie, ne fut occupé par les Romains qu’en 244. Sur sa lagune étroite, stérile, circulaire, entourant un lac maritime délicieux, Tarente, fondée par des Doriens de Laconie (708), fut commerçante et industrieuse, demeura grecque. La Grande-Grèce, qui doit ce qualificatif aux montagnes de la Calabre comparées aux collines de l’Hellénie, clairsemée d’abord de races diverses, de Sicules, Itales ou Italiotes, reçut de nombreux

rapide Aello et Thoüs ; Lyciscé, et son frère le Cypriote ; Harpalos, au front – 65 – noir tacheté de blanc ; Mélanée, Lachné, au poil hérissé ; Labros, Agriodos, et Hylactor, à la voix perçante, tous trois nés d'un père de Crète et d'une mère de Laconie ; et tous les autres enfin qu'il serait trop long de nommer. Cette meute, emportée par l'ardeur de la proie, poursuit Actéon, et s'élance à travers les montagnes, à travers les rochers escarpés ou sans voie. Actéon fuit, poursuivi dans ces mêmes lieux

souveraineté, n'était qu'une erreur. Pensait-il par hasard à diviser la France en petites républiques fédératives? Pensait-il à rompre l'unité nationale en fractions dont aucune n'aurait été plus grande que le canton de Genève, l'Attique ou la Laconie? Je ne voudrais pas l'accuser d'une telle rêverie; mais il s'était beaucoup occupé de l'étude des fédérations, sujet tout neuf, à ce qu'il disait, et où sans doute son aventureux génie ne se serait pas épargné les innovations même les plus contestables

(ou Chelmno), ville de Pologne, sur la Vistule, 227 ; II, 115. Kunovica, ville de Serbie, 497. Kunvald, ville de Bohême, II, 12. Kustendil ou Velbuid, ville de Bulgarie, 215. Kutna Hora (ou Kuttenberg), ville de Bohême, 349, 376 ; II, 10. L Laconie, 191. Ladislas Ier, roi de Bohême, dit le Posthume (Ladislas V, roi de Hongrie), son règne en Bohême, 376, 399 ; II, 9, 25-26, 116, 336, 357 ; — en Hongrie, 459 ; II, 119, 120. Ladislas II, roi de Bohême, fils de Casimir IV Jagellon (Ladislas VI

que Sparte est menée à la grandeur et à la gloire; mais avec une telle infaillibilité de ses institutions, qu'on n'obtenait rien contre elle en gagnant des batailles, si on ne parvenait à lui ôter sa police . La Crète et la Laconie furent gouvernées par ces lois. Lacédémone céda la dernière aux Macédoniens, et la Crète fut la dernière proie des Romains. Les Samnites eurent ces mêmes institutions, et elles furent pour ces Romains le sujet de vingt-quatre triomphes

ils sont elevés comme les enfants des citoyens. Lysandre dit-on fut un de ces mothaces. sont aussi appelés Eleates. parce que les uns sont messeniens d’origine les autres ont les nom d’Eleates ayant autrefois habité ce qu’on appelle les lagunes de Laconie. les ilotes liv VII. pompiles (espece de thon) poissons sacrés. font la guerre aux dauphins consideré par les dieux protecteurs de Samothrace. boeekas ou bognes font un cri sont consacrés à Mercure dieu de l’éloquence comme la cithare à Apollon