Le Fantôme de Barbe-Noire

............................. Le Possédé........................................................................................ 29 58 Don Juan aux enfers........................................................................................ Un Fantôme........................................................................................ 30 59 Châtiment de l'orgeuil........................................................................................ 31 Les Ténèbres..........................

de murmures, Et d’un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s’exhale des ordures, Et d’un rayon d’hiver traversé brusquement ; Michel-Ange, lieu vague où l’on voit des Hercules Se mêler à des Christs, et se lever tout droits Des fantômes puissants qui dans les crépuscules Déchirent leur suaire en étirant leurs doigts ; Colères de boxeur, impudences de faune, Toi qui sus ramasser la beauté des goujats, Grand cœur gonflé d’orgueil, homme débile et jaune, Puget, mélancolique empereur

17 18 20 21 12 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 35 36 37 38 39 40 41 32 44 46 47 Collections 4 Litteratura.com Les Fleurs du Mal XXXII. XXXIII. Remords posthume XXXIV. Le Chat XXXV. XXXVI. Le Balcon XXXVII. Le Possédé XXXVIII. Un Fantôme XXIX. XL. Semper eadem XLI. Tout entière XLII XLIII. Le Flambeau vivant XLIV. Réversibilité XLV. Confession XLVI. L’Aube spirituelle XLVII. Harmonie du Soir XLVIII. Le Flacon XLIX. Le Poison L. Ciel Brouillé LI. Le Chat LII. Le Beau Navire LIII. L’invitation

séjourné en Arabie Saoudite comme Abdel Kader (ancien imam de Vénissieux), prônent une « vie pure » avec l’application des Hadiths, les paroles rapportées du prophète, Mahomet. Ainsi, à l’instar de prophète, les salafistes se doivent de porter la barbe et une tunique et les femmes doivent se couvrir le corps et le visage, afin de ne pas attirer les hommes, de ne pas éveiller de quelconque tentation. Ces intégristes, s’appuient sur l’interprétation de deux versets du coran demandant aux « croyantes

................................................... 56 XXXVI. – Le balcon................................................................... 57 XXXVII. – Le possédé ............................................................... 58 XXXVIII. – Un fantôme ............................................................ 59 XXXIX ....................................................................................... 62 XL. – Semper Eadem ................................................................ 63

.....................................32 XXXVI. – Le balcon ...........................................................................33 XXXVII. – Le possédé........................................................................34 XXXVIII. – Un fantôme.....................................................................34 XXXIX ................................................................................................36 XL. – Semper Eadem ...................................................

................................................... 56 XXXVI. – Le balcon................................................................... 57 XXXVII. – Le possédé ............................................................... 58 XXXVIII. – Un fantôme ............................................................ 59 XXXIX ....................................................................................... 62 XL. – Semper Eadem ................................................................ 63

sèche). « En un sens général, l’eau-forte, qui est à la fois le procédé, la gravure sur métal et l’estampe obtenue par cette gravure, s’oppose aux autres procédés de taille-douce (ou gravure en creux), exécutés aux outils (burin, pointe sèche, manière noire). »2 Parmi les différents procédés d'eaux-fortes, on trouve l’aquatinte, la gravure au lavis ou la manière de crayon. Toutes désignent une technique de gravure où l’image est creusée sur une plaque de métal à l’aide d’un acide. Elles diffèrent en

murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement ; Michel-Ange, lieu vague où l'on voit des Hercules Se mêler à des Christs, et se lever tout droits Des fantômes puissants qui dans les crépuscules Déchirent leur suaire en étirant leurs doigts ; Colères de boxeur, impudences de faune, Toi qui sus ramasser la beauté des goujats, Grand cœur gonflé d'orgueil, homme débile et jaune, Puget, mélancolique

jusque-là, étant donné que le pays n’a jamais été une terre de saints ; mais il était possédé d’une certaine humeur impudique et cruelle qui était la fable de tout l’Ouest. Il advint que ce Hugo s’éprit d’amour (si l’on peut baptiser une passion aussi noire d’un nom aussi pur) pour la fille d’un petit propriétaire rural des environs. Mais la demoiselle l’évitait avec soin tant la fâcheuse réputation de son soupirant l’épouvantait. Un jour de la Saint-Michel pourtant, ce Hugo, avec l’assistance de cinq