Le Musée imaginaire

le sujet d’un service de médiation pédagogique, pour le réaliser au mieux, nous avons pris l’exemple du Musée d’art et d’archéologie du Périgord appelé « M.A.A.P ». Pour comprendre et développer nos connaissances dans ce domaine, nous avons fait appel à Nathalie Lichtenberg, conservatrice du musée qui nous a agréablement accueillis. Nous avons pu lui poser toutes nos questions concernant ce musée en général ainsi que sur le service de médiation pédagogique et sur la « médiation pédagogique » elle

Ligne d’ardoise de Cornouailles A la fin des années soixante, l’esprit de révolte de la jeune génération manifesté partout se traduit plus particulièrement dans une mise en cause radicale du système marchant et des circuits traditionnels atelier-musée-galerie. Elle se sent en décalage avec les valeurs de l’art jugées trop classiques, et surtout trop sectaires pour l’aire moderne, et aspire à plus de liberté. Ces constats et cette perceptions nouvelle de l’espace artistique vont pousser de nombreux

professionnels redoutaient que la relation entre objets et savoirs dans l’exposition d’archéologie ne soit évacuée au profit d'une focalisation trop importante sur le visiteur, son déplacement, sa satisfaction, son activité de loisir, donc son imaginaire. Une telle focalisation, pensaient certains professionnels, risquerait de transformer les présentations in situ de l’archéologie en parcs de loisir. Ce glissement est au fond celui de la notion de patrimoine vers la priorité donnée à l’expérience

1904 et mort le 23 janvier 1989. Il est né et mort à Figueras, en Catalogne, où il a créé son propre musée en 1974, le Teatre-Museu Gala Salvador Dalí. Contexte (historique, social, artistique … ) : Dali connaitra le Paris des avants gardes (1900-1939) et rejoindra le groupe des Surréalistes Après la guerre il se fera connaître au Etats Unis, et retournera en Espagne où il construira son propre musée à Figueras. Analyse de l’œuvre Le tableau représente les célèbres « montres molles » devant un

explosions, démons, puissantes armées composées de soldats en uniforme des confédérés. problématique : N’ayant jamais reçu de cours de peinture et très éloigné du monde des arts, quelle technique un autodidacte peut-il mettre en oeuvre au service d’un imaginaire foisonnant. Description de l’oeuvre : Oeuvre de grandes dimensions : plus de deux mètres de papier : Darger de façon très ingénieuse collait des papiers entre eux afin de créer des sortes de rouleaux ainsi il obtenait une dimension satisfaisante

exprimée de plusieurs façons; dans 

son terme concret et dans l’évasion dans un monde irréel. Il y a deux personnages 

qui nous démontrent un besoin flagrant de s’échapper de l’inévitable. Laura qui elle, 

fuit constamment et s’évade dans un monde imaginaire qu'elle a peuplé de ses petits 

animaux de verre; sa ménagerie qui est le seul confident de sa misère et de sa 

solitude. Quant au fils d’Amanda, Tom, lui quitte sa mère pour devenir marin. Voilà 

comment s’exprime le besoin de chacun de ces

dans le quartier de Montparnasse en 1922. Il inventera le frottage en 1925, en laissant courir une mine de crayon à papier sur une feuille posée sur une surface quelconque. Cette technique, qui donnera naissance à des figures plus ou moins imaginaires, s'apparente à l'écriture automatique des écrivains surréalistes qu'il côtoyait comme Paul Eluard et André Breton. L'année suivante, Max Ernst collaborera avec Joan Miro et élaborera la nouvelle technique du grattage. Il contribuera à la naissance

chose de reconnaissable», se souvient Jacques Monory.  8 D'où vient ce nom ? Pour faire entendre leur voix, Bernard Rancillac et Hervé Télémaque organisent, en 1964, avec le critique Gérald Gassiot-Talabot, la première exposition du groupe, au musée d'Art moderne de la ville de Paris, dont le titre, Mythologies quotidiennes, se réfère à un ouvrage de Roland Barthes. C'est alors qu'apparaît l'expression «figuration narrative»: peindre de manière figurative, mais aussi raconter des histoires ancrées

toutes découvertes sur le site de la nécropole de Banditaccia à Cerveteri, dans le Latium, vers 1850 par le marquis Giampietro Campana. Exemplaire du musée national étrusque de la villa Giulia de Rome. Cet exemplaire du musée du Louvre était détenu dans l'ancienne collection Campana, en 1845, puis il fut acquis par Napoléon III en 1861 pour le musée du Louvre. Description Détail de la tête de l'homme. Détail des bustes. Ce type d'urne funéraire est conforme aux

réalisé par Léonard de Vinci entre 1503 et 1506 à la Renaissance. C’est Mona Lisa qui a servi de modèle. Ce tableau a était peint à la peinture à huile sur panneau de bois de peuplier, il mesure 77cm de hauteur et 55cm de largeur, il est exposé au Musée du Louvre à Paris. La Joconde représente le portrait d’une femme sur un fond d’un paysage montagneux aux horizons lointains et brumeux. Mona Lisa porte une robe sévère très sombre, plissée sur le devant du buste, le décolleté dégage le cou et