Le Paradis des riches

plus grand soit mien? As-tu peur que la jouissance D’un si grand heur me fasse dieu? Et que sans toi je vole au lieu D’éternelle réjouissance? Belle, n’aie peur de cela, Partout où sera ta demeure, Mon ciel, jusqu’à tant que je meure, Et mon paradis sera là. JOACHIM DU BELLAY (1542) Con large comme un estuaire Con large comme un estuaire Où meurt mon amoureux reflux Tu as la saveur poissonnière l’odeur de la bite et du cul La fraîche odeur trouduculière Femme ô vagin inépuisable Dont

comme un pied de nez, il construit avec une grande maîtrise son poème. Les vers sont des alexandrins, et mise à part une rime qui est pauvre (« eux, yeux » (v. 11 et 12)), toutes les autres sont partagées de manière équivalente entre suffisantes et riches. Toutefois, Baudelaire ne reste pas de marbre lorsqu’il constate qu’une femme qui compte pour lui – de toute évidence une de ses amantes (« la reine de mon cœur » (v. 28)) – fraye avec cette « troupe obscène » (v. 26). Il se sent renié par sa maîtresse

de vue classique, ou libéral, le bouclier fiscal est un élément positif pour l’économie nationale. En abaissant le seuil maximum d’imposition des ménages les plus aisés, la France verra l’exode fiscal de ses concitoyens les plus riches s’amenuiser. En effet, les paradis fiscaux constituaient jusqu’ici une terre promise pour ces individus qui désiraient payer moins d’impôt ; mais si les impôts de ces personnes aisées diminuent, celles-ci auront plus facilement tendance à rester en France, ce qui pourrait

premier hémistiche). C'est donc ici un poème composé de tétramètre. Ils respectent également l'alternance croisée entre les rimes féminines et les rimes masculines tout au long du poème. Le poème est constitué principalement de rimes suffisantes ou riches même léonine dans le premier et troisième vers de la 3ème strophe avec les mots « des astres » et « désastres ». On retrouve également dans ce texte plusieurs éléments poétiques qui relèvent d'une littérature classique. Ainsi dès la première strophe

la Folie. Nous pouvons déjà constater que toute la population est confondue, car les pronoms utilisés sont indéfinis : "ils, on, celui, ceux". De cette façon, Erasme regroupe toutes les parties de la population. Et donc les personnes les plus riches considérés comme les plus instruites et intelligente, sont aussi crédules. Dans cette première partie du texte, il critique la manière de penser des Homme. Il leur reproche implicitement d'être trop sur d'eux et de chercher à se blanchir de leurs

certains pays. La mondialisation : Les mouvements d’antimondialisation mettent en évidence certains aspects négatifs de la mondialisation. D’abord, les inégalités augmentent et la corruption s’exporte dans toute la planète. Elles touchent les pays riches comme les pauvres. Les écarts de rémunérations deviennent injustifiés, les relations sociales deviennent plus tendues. Les bienfaits de l’expansion économique peuvent donc devenir discutables. Même si la vérité est autre, certains accusent le libre-échange

loi. La mafia est passée successivement par plusieurs étapes. A l’époque moderne (vers 1900), il y eut d’abord des groupes d’environ 20 membres, avec règlement et hiérarchie. A cette époque, les grands propriétaires terriens (les célèbres et riches  Barons siciliens) quittèrent la campagne et s’installèrent à Palerme. Tout de suite la ville fut envahie par des individus louches, des escrocs, etc. Naissait alors la mafia urbaine. Elle organisa le « racket de protection », la menace, la violence

incitent les individus à travailler davantage alors que les politiques de redistribution ont un effet dés incitatif « trappe à inactivité », la fiscalité décourage l’activité économique, elle favorise «  l’évasion fiscale », les plus riches quittent le pays vers des paradis fiscaux. Les inégalités vont donc pousser chacun à être plus efficace, elles vont alimenter la concurrence, vont permettre les investissements productifs et donc amener à une meilleur affectation des ressources. Les inégalités seraient

jour de printemps pour vous annoncer mon départ et vous faire mes adieux. Je sais déjà que quitter Bétique ne sera pas facile, et c’est une décision que je n’aurais jamais pensé pouvoir prendre quand je suis arrivé ici. En effet, votre pays est un paradis. Lorsque j’ai débarqué ici, arrivant tout droit de Paris, d’un monde débordant de corruption, chargé d’un air saturé de superflu et de jalousie, tout me semblait parfait, idéal. Vous m’avez tous accueilli comme l’un des votre. Jour après jour, j’ai

constitue donc une évocation d’un monde idyllique, un « songe » auquel le poète invite la femme aimée et par lequel il semble vouloir la conquérir. On relèvera les champs lexicaux de la beauté, de la richesse et de l’exotisme : « rares fleurs », « riches plafonds » (plafond idéal, qui s’oppose aux plafonds pourris de « Spleen »), « senteur de l’ambre », « splendeur orientale », « d’hyacinthe et d’or ». On relèvera aussi le champ lexical de la lumière et de la chaleur : « soleils » (au pluriel !),