Les Devoirs Du Maitre Maçon

Titre La Fraternité est'elle un devoir ? Fraternité Maçonnique : Droits et Devoirs La Fraternité Maçonnique La Fraternité Fraternité ou l’Homme est le Miroir de l’Homme Liberté - Egalité – Fraternité De la Perpendiculaire à l’Amour Fraternel La Truelle outil de la Fraternité La Fraternité en Loge Note de l'Editeur Page 3 10 13 16 20 24 28 31 35 37 D'autres planches sur La Fraternité et le Fraternel ►►► Clic R150-1 La Fraternité 2 1 La Fraternité est’elle un Devoir D'abord l'évocation du mot Fraternité

artisans)  et des confréries de métiers s’organisent. Elles adoptent des coutumes, des règles et pratiquent la charité. Parmi celle-ci, les corporations de bâtisseurs connaissent « l’art royal »de la géométrie et de l’architecture. Or ces ouvriers maçons participent a une œuvre sacrée en construisant à la gloire de Dieu de véritables  « livres de pierres »comme  le montre les façades des cathédrales ; par exemple le dôme de Wurtz bourg, devant la porte de la chambre des Morts, on peut encore lire

 Vénérable Maître, Mes très chers frères, en vos grades et qualité LE SERMENT D'APPRENTI La F.M. n’est pas un club ni une simple association, on n’y entre pas par hasard, sans y avoir murement réfléchi et sans qu'aient été vérifiées les intentions du postulant. Il doit être l’aboutissement d’une volonté de vouloir se parfaire, de s’intégrer à une communauté, d’apprendre encore et toujours, de partager ses connaissances, de progresser peu à peu sur ce chemin ouvrant vers la Lumière

 «Etes-vous franc-maçon ? Mes sœurs et frères me reconnaissent comme tel ».   Ce thème de réflexion posé par notre cher Frère second surveillant vient de notre livret d’instruction où se posent effectivement des questions sur la démarche et l’engagement maçonnique. Aussi ai-je d'abord commencé à réfléchir sur ce qu’est véritablement un franc-maçon ? Quelles qualités y développe-t-on? Et à travers cette pensée, me demander si trois mois après mon initiation : « Le suis-je devenu ? » Ensuite, j'avoue

m’exposent un langage bien étrange : « Bâtir un Temple »… ? Le mien, celui de l’humanité… Messieurs, pour le peu de mes informations, je ne suis pour vous que de la caillasse, êtes vous donc si habiles juges…  pour me coopter ? Êtes-vous de ces Maitres d’œuvres qui parcourent cette carrière qu’est le vaste monde… ? Et ainsi me juger, moi… « Pierre brute » dont vous soupçonnez qu’elle pourrait être « Pierre d’angle » ou « Clef de voûte » ; cela n’est-il pas     l’une  de vos contradictions : « Ne

« Frère premier surveillant, qu’avons-nous demandé lors de notre première entrée dans le Temple ? » « La Lumière, Vénérable Maître » « Que cette Lumière nous éclaire » « Que cette Lumière nous éclaire », pas la lumière du génie vaniteux de l’officier en loge, pas la lumière du savoir prétentieux, pas la lumière du maçon qui a appris les règlements généraux par cœur, pas la lumière de celui qui fait autorité dans la société, mais « cette lumière », celle-là et pas une autre, une lumière sans qualificatif

Vénérable maître, Lorsque le frère second surveillant m'a demandé de vous présenter une planche s'intitulant : la règle à 24 divisions, j'ai été dans un premier surpris du sujet car c'est quelque chose dont je n'avais jamais entendu parler, puis celui-ci m'a de plus en plus interpellé. En effet, en tant que fils de professeur de mathématique, la règle était un outil très présent dans la maison et finalement ne m'étais pas si étranger que cela. J'ai commencer par chercher cette fameuse

Vénérable Maître, et vous toutes mes sœurs et mes frères, en vos grades et qualités. Le Couvreur Pour cette planche, j'ai voulu avoir un regard personnel sur l'office que je rempli et je l'espère le plus correctement possible, mais je traite le sujet avec un regard extérieur, d'où l'emploi du « il » et non du « je » qui semblerai dire que je m'identifie à cette place, alors que c'est bien de l'office du COUVREUR, que je compte vous parler ce midi,

constitué en France entre 1774 et 1782 par deux groupes de maçons lyonnais et strasbourgeois, parmi lesquels on peut citer Jean et Bernard de Turkheim, Rodolphe Saltzmann et surtout Jean-Baptiste Willermoz qui en fut l'âme pensante. L'architecture du régime fut son œuvre, et c'est lui qui mit en forme la doctrine que celui-ci véhicule. Jean-Baptiste Willermoz, né à Lyon le 10 juillet 1730 mort dans la même ville le 29 mai 1824, fut un Maçon d'une envergure exceptionnelle, comme il ne s'en rencontre

Vénérable maître, Dignitaires qui siégez à l’orient, Et vous tous mes frères en vos grades et qualités, Lorsque j’ai reçu le sujet de ma planche d’apprenti, intitulée V.I.T.R.O.L j’ai de suite pensé à mon passage dans le cabinet de réflexion dans son ensemble. J’ai alors demandé à mon deuxième surveillant de m’autoriser à y retourner afin d’y revivre quelques instants les moments passés avant mon initiation.Il s’agissait d’un pèlerinage dans ce lieu qui m’a préparé à naitre franc maçon.