Les Diaboliques Narration

Nicolas Poussin, tout en associant le lecteur à la découverte de ce personnage. Le narrateur, celui qui voit, qui décrit, qui parle est absent de l'histoire racontée (la diégèse) : ce n'est pas un personnage de l'action racontée, de l'intrigue. La narration est dite omnisciente, objective même si Balzac se permet ici des intrusions d'auteur (intrusions dans le récit remarquées grâce à l'impératif « Mettez cette tête sur un corps fluet et débile... »). Dans cette situation narrative, le narrateur en

docteur Jekyll s’enferme dans son laboratoire et ne veut voir personne. Qu’est ce qui uni vraiment le respectable Docteur Jekyll au monstrueux Mister Hyde ? Uttervon va chercher à savoir qu’elle est la vérité mais celle-ci promet d’être diabolique. B. La narration, ou manière de raconter l'histoire •        1) L’instance narrative : L’auteur et le narrateur (L’avocat écoutait d’un air sombre; il n’aimait pas les fiévreuses de son ami) • 2) Le temps du récit : Le temps du récit est au passé

Echapper à soi-même : le leurre de la fuite a) Se fuir, un personnage double et antithétique La fuite première se redouble d’une fuite seconde signalée principalement par le changement des temps verbaux, on est passé en effet à l’imparfait de narration. La dynamique de la course autorise le retour du refoulé, libère le double caché et sauvage. Elle laisse émerger la folie. Aussi assiste-t-on à une fuite en avant vaine : "son unique pensée était d’aller tout droit, plus loin, toujours plus loin"

dramatisation du récit se fait également par les présent de narration, les phrases courtes et juxtaposer, la répétition du même verbe " piétine " vers 87, la phrase nominal (" soudain de long sanglots" vers 44 ) et enfin l'intrusion brutale du discours dans le récit. On assiste aussi au passage du registre réaliste au registre fantastique qui vise à transformer cette lessive en cérémonie sacrificielle et expiatoire, en rituel diabolique dans lequel le visage de la grand mère prend une expression

importante sont le décorateurs du film, Walter Rorhig, Walter Reimann (artistes) et Herman Warm (architecte). Il signent la particularité la plus frappante avec de décors stylisés en noir et plan. Les décors sont conçu comme apparenterais de la narration. « Les films doivent être des dessin vivants. L’histoire est simple, c’est celle d’un fou, raconté par un fou»,Karl Mayer, penseur de l’expressionniste allemand. C’est celle de fou, raconté par un fou. Tous les films sont tournés en studios,

parvenir à tout prix », « Où en prendre ? », jusqu’à partager même le rôle du jeune homme dans son discours (« notre cousine »). Doté d’un savoir et d’un pouvoir hors du commun, connaisseur « des manigances infernales », Vautrin est une figure diabolique : il cherche à s’emparer de l’âme de Rastignac en qui il a reconnu une proie idéale (« voilà un gaillard qui me va »,5). Il va tenter Rastignac afin qu’il pactise avec le diable (= lui). Vautrin à travers la leçon qu’il donne ici à Rastignac, va

faire de Lui et de son œuvre le thème central de son Évangile, ce qui nous apparaît comme une évidence. Sans doute désireux d'être le plus exact possible, il ne se permet que peu de libertés linguistiques avec les paroles de Jésus. Alors que sa narration est empreinte de culture hellénistique, lorsqu'il nous rapporte les dires du Christ, la langue utilisée est nettement plus sémitique. Le but premier du troisième Évangile est d'apporter, de présenter, la Bonne Nouvelle au monde grec, ce qui explique

Etude I Le personnage au cœur du récit : La narration adopte le point de vue principal, rendu omniprésent, point mire du récit et de l’attention de tous. Le point de vue exclusif de Rastignac organise la description de cette scène de saloon. C’est sa perception des choses qui est exposée. Il est présent grammaticalement dans toutes les phrases, il est appelé Rastignac, ou Eugène, ou l’étudiant, et plus souvent désigné sous forme de pronom sujet ou complément. Les effets

L'univers du héros de chevalerie est en partie réel (il reproduit la société chrétienne du Moyen-Âge), en partie rempli de l'imaginaire celtique avec des lieux merveilleux, des objets surnaturels, des phénomènes prodigieux, des personnages diaboliques ou féériques. Car tout y est symbolique : la forêt peut être interprétée comme un lieu inconnu propice aux rencontres ou un espace désertique pour faire pénitence. La femme peut également être une figure de la tentation ou bien un moyen de se dépasser

récit subjectif Poésie : - Marques de la présence du poète ? - Termes subjectifs ? Ex : « je » (pronom personnel) + « ma » (déterminant possessif)+ « beau » (adjectif mélioratif) = implication du poète Théâtre : - Personnage seul sur scène ou diabolique ? - Nature de l’échange ? - Volume des répliques ? Ex : violence dans une confrontation avec des répliques plus longues pour l’un des protagonistes = impression de domination Argumentation : - Marques de présence de l’énonciateur ? - Impression