Les Diaboliques Narration

la préface. Dresser une conclusion personnelle sur le pas- sage. S2 Schlemihl commet l’irrépa- rable. Le dialogue entre Schlemihl et l’homme en gris ( p. 41-43 , l. 206-262). Établir les caractéristiques du conte fantastique à travers le pacte diabolique. Dégager les interventions du narrateur dans le dialogue, tout en relevant les propos rapportés (discours direct et indirect). Relever les caractéris- tiques du conte fantas- tique. Substituer aux formules valorisantes des péri- phrases dévalorisantes

criminel. Mais lorsque Chuck Aule découvre que le pyromane responsable des malheurs de son collègue se trouve interné sur l’île, il s’interroge sur Teddy : celui-ci est-il venu pour enquêter ou pour se venger ? Dennis Lehane a construit un puzzle diabolique et subtil dans l’intention de jouer jusqu’au bout avec les nerfs de ses lecteurs qui vont s’interroger tout au long d’un récit où les apparences sont souvent trompeuses et la vérité entrevue, contredite au chapitre suivant. Dans son précédent opus

La femme "naturelle" qui est haïe par Baudelaire apparaît ici dans toute sa splendeur par la la comparaison avec le serpent qui est reprise par la femme elle-même au vers 12, « Lorsque j’étouffe un homme ». Dans ce poème la femme est souveraine diabolique, le pouvoir de cette femme-vampire n'est pas que physique, on a l'impression quelle détient des savoirs mystérieux dont elle se vante au vers 5-6 « Moi, j'ai la lèvre humide, et je sais la science », « De perdre au fond d'un lit l'antique conscience »

vivacité, un dynamisme qui maintient l'attention du lecteur. Le premier paragraphe est important, son rythme est soutenu et assure l'intérêt du lecteur. On assiste en effet à une succession d'actions dont les verbes sont conjugués au présent de narration, ce qui donne une impression d'importance de l'action. Par ailleurs, la parataxe et les deux rythmes ternaires composés l'un d'adjectifs, l'autre de noms ("rêveur, embarrassé, capable" et "le ministre, la maîtresse, le favori") soulignent l'impression

proposer une redistribution des rôles, et une véritable impasse sur les classes sociales des personnages ainsi Scapin figure de la pauvreté paysanne, devient une fois masqué, le portrait de dyonisos ou bacchus, dieu grec de l’ivresse, brille par sa diabolique ruse, tandis que Pantalon marchand avisé, devient ce personnage balourd, qui provoque le rire, et les moqueries. Nous nous sommes donc intéressé aux aspects dissimulateur du masque, a ce qu’il cache, et ne révèle pas, mais le masque quand celui

le lecteur s’informe de la puissance de la beauté de cette fille, celle-ci est si forte, que elle capture l’attention du Chevalier sur-le-champ. Malgré sa condition sociale, cette origine vile, son charme gagne l’aristocrate. Dans la suite de la narration sa beauté lui sert à attirer l’attention d’autres hommes nobles. Dans « Le Paysan Parvenu » de Marivaux, Jacob nous est présenté comme un jeune homme de naissance commune. Il est fils d’un fermier de Champagne que, dès qu’il se voit à Paris,

comme dans les short stories, où le récit se termine par un événement inattendu, un point fort de la narration). Toutes les péripéties convergent vers le dévoilement final, une révélation de l'aboutissement de l'aventure (ce que des théoriciens de la littérature appellent le « moment épiphanique »). C'est le coup de marteau qui enfonce le coin, la chute de l'histoire, le point d'orgue de la narration, le coup de théâtre, si l'on préfère. Flaubert cherche à maintenir en éveil l'attention et l'imagination

familial. Paule se retrouve coincée entre un mari, une belle mère et un fils qu'elle exècre, dans un coin de campagne reculé. Par désespoir et par désir de sortir de sa solitude, elle se lie avec un prêtre, ce qui lui vaudra au village une réputation diabolique. Guillou, ce sagouin, s'est fait renvoyé de deux pensionnats, parce qu'il mouillait ses draps; le prêtre prétexte un surcroît de travail et refuse de venir au château (la réputation sulfureuse de Paule n'est pas étrangère à cette décision) :

trouvait. Le nid était digne des oiseaux. A eux tous, ces vieillards réunis autour de cette cheminée formaient environ trois siécles et demi, et il est probable que les lambris qui les abritaient avaient vu naitre chacun d’eux. (p. 39) Le temps de la narration se situe a l’époque de la Restauration (1814-1830), sous le regne de Charles X, dans un petit salon qui présente des vestiges du temps passé et ot des personnes agées se remémorent leur jeunesse. Barbey d’Aurevilly trace en paralléle le portrait

véritable école_ [faute digne d’un écolier] est de vous être laissé aller à écrire.» C’est enfin la lettre qui permet le secret des relations entre Merteuil et Valmont : ils ne se fréquentent jamais en société, et c’est par la lettre que leur union diabolique se maintient. Chacun peut perdre l’autre, et leur mutuelle discrétion est leur seul garant. C’est en manquant à son plus grand principe, «_ne jamais écrire_» (lettre 81) que Mme de Merteuil se perd : Valmont a bien compris qu’en confiant sa correspondance