Les Diaboliques Personnages

militaire : champ lexical de la violence : v.4 « un affût », v.5 « loi guerrière », v.9 « mitraille », v.18 « il les forçait » (cf. v.6 : violation du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes). L’ambivalence du personnage : oxymore v.37 « sinistre archange » (connotation diabolique, Satan étant l’ange déchu) ; démesure entraînant sa propre chute v.29 « ivre de sa gloire ». La mythification de Napoléon Ier peut donc aussi se lire comme une mystification.

Commentaire composé Montrer comment malgré la concision du texte Gautier réussit à donner à son personnage une dimension mythique. Au XIXeme siècle, Théophile Gautier écrit Carmen issu du recueil Emaux et Camées, publié en 1852, 5ans après était publié Carmen de Prosper Mérimée, et en 1875 l'opéra de G. Bizet. Le texte de Gautier est consacré à la bataille d'Hernani, elle est généralement connue aujourd'hui est toutefois tributaire des récits qui en ont été donnés par les témoins de l'époque

espèce » +v… question rhétorique « Est-ce un péché ? » à laquelle il répond tout de même par une double négation « Non, non. » Le loup. Il se fait l’avocat défenseur du roi qui lui permet d’inculper l’âne. C’est un personnage vindicatif, v… « harangue ». Il présente un âne diabolique, en opposition à la figure divine du lion v… « maudit animal ». Les autres puissants. Ils ne sont pas décrits en détail mais on sait qu’ils sont aussi hypocrites que le loup, le renard et le lion. L’ironie de LF à leur

Pascal Le masque dans l’œuvre de Molière est hypocrisie, et le Tartuffe devenu mot de notre langue, en est le parfait symbole, aujourd’hui en effet un Tartuffe définit une personne hypocrite dissimulant sa réelle personnalité. A l’instar de ce personnage qui porte tout au long de la pièce de Molière un masque sur sa réelle personnalité, il cache vice, avarice, envie et luxure derrière une parure de piété et de fausse dévotion chrétienne. Il convoite la femme d’Orgon, et abuse de la confiance de

- Sentiment d’exaltation : - exaltation mentale : « mes pensées me soulèvent » - exaltation physique : Clamence a de la fièvre et ne tient pas en place « Oui, je m’agite, comment resterais-je sagement couché ? - Mouvement du personnage aspirant à la liberté : « je sors, je vais, d’une marche emportée, le long des canaux », mvt caractérisant cette phrase, sentiment fort animant Clamence : « marche emportée » + vb de mvt « je sors », « je vais » employé seul au début de la phrase

(qui offre des apparences de forme diverse). La société dans laquelle se déroule e roman est donc calquée sur la société féodale contemporaine. A travers la peinture des animaux reflètent le miroir des êtres humains. Les personnages : * Renart : le goupil espiègle, personnage principal de ces récits. Complexe et polymorphe. Il incarne la ruse intelligente. * Isengrin : le loup bête et cruel, éternel ennemi de Renart, toujours dupé (trompé). Son épouse Dame Hersent la louve, fut jadis « violée »

lunatiques la chouette (symbole de la présence métaphorique diabolique chez Bosch) semble dominer la scène et se placer en vigile de celle-ciLe nautonier utilise une louche géante en guise de rame le deuxième qui guide la barque a un verre au-dessus de la tête et une cruche au bout de sa rame On peut voir un large choix de vaisselle qui nous indique bien le but de ce voyage : verres cruches hanap, tonneau de gnôle Pour ce qui est des personnages On peut voir une assemble hétéroclites (franciscain, une

d’argumentation se construit souvent autour de nuances, il convient de chercher la définition des mots dans le dictionnaire afin d’obtenir un inventaire complet de toutes ces nuances. · Définition de protagoniste : Personnage principal d’une histoire, d’une pièce, d’une affaire, etc. (Antidote) . · Définition de façon  : Manière d’être, de se comporter. Synonymes : méthode, approche, démarche, ligne de conduite, manière, méthode

perturbante. Le narrateur nous fait ainsi le portrait d’un personnage plus ou moins ambigu. L’intérêt du texte est d’intriguer le lecteur. En effet, nous nous demandons qui est ce personnage ambigu : se révèlera-t-il un complément ou un adversaire dans les événements qui ne vont pas manquer de se produire dans l’extrait étudié ? Nous analyserons d’abord les moyens mis en œuvre par le narrateur pour nous décrire avec réalisme cet étrange personnage, puis l’ambiguïté de celui-ci et du lieu énigmatique

L'homme qui rit, Victor Hugo Ursus → auto-représentation de l'auteur = clé[*] possible du personnage mais pers. = plus que le modèle réel. Le discours social d'Ursus ressemble à celui de V. Hugo Hommes de savoir U. = intellectuel, « philosophe », ancien précepteur d'un Lord mais a été EXILÉ à cause de ses idées . = être inentendu // V. Hugo → appel à l'INSURRECTION après le coup d'état de Napoléon III U. = petit créateur ex nihilo Il a écrit une pièce de théâtre